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Abdoulaye SOMA

Publié le mercredi 21 octobre 2020 à 17h35min

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Abdoulaye SOMA

Adresse personnelle : 03 B.P. 7104 Ouagadougou 03 (Burkina Faso)
Portable : 0022676627511 ; 0022678979576 ; 0022670205025
E-mail : tikansonsoma@yahoo.fr ; Pr.abdoulayesoma@gmail.com
Date et lieu de naissance : 06/05/1979) à Banfora
Nationalité : Burkinabè

FONCTIONS ET TITRES ACTUELLES

- Docteur en droit, Agrégé des Facultés de droit ;
- Professeur de droit public à l’Université Ouaga 2 ;
- Président de la Société Burkinabè de droit constitutionnel (SBDC) ;
- Directeur du Centre d’études et de recherches sur le droit international général et les droits de l’homme (CERDIH) ;
- Expert - Consultant international en droit constitutionnel, en droit international et en droits de l’homme ;
- Expert et Jurisconsulte-Conseil auprès du Secrétaire Général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) ;
- Directeur de publication de l’Annuaire des Réflexions Constitutionnelles (ARC)
- Directeur de publication de la Revue CAMES/SJP
- Directeur de publication des Cahiers Africains de Droit International (CADI)
- Membre du Comité de direction de la Formation continue en droits de l’homme de la Faculté de droit de l’Université de Genève
- Président directeur exécutif fondateur de l’institut supérieur de droit international et des droits de l’homme (ISDH)
- Président directeur exécutif fondateur de l’institut supérieur international de Banfora (ISIBA, ) (institut universitaire)
- Fondateur du Cabinet SOMA&PARTERS SA
- Fondateur des LIBES, Sarl (Librairies, Imprimeries, Bibliothèques et Editions Soma).
- Promoteur des Prix pour l’Excellence Sportive, Scolaire et Académique dans le région des Cascades (PESSAC)
- Avocat, jurisconsulte-Conseil Fondateur du CABINET D’AVOCAT PROFESSEUR SOMA
- Président et membre fondateur du SOLEIL D’AVENIR, (Mouvement S.A.), Mouvement politique.
Officier de l’ordre international des Palmes académiques.

OBJECTIF PROFESSIONNEL

Enseigner à l’Université et/ou servir dans une institution nationale ou internationale. En toute hypothèse, exercer des fonctions mettant en valeur nos compétences de Professeur de droit public et de juriste spécialiste du droit constitutionnel, du droit international public, du droit international pénal et des droits de l’homme.

FORMATION ET DIPLOMES

• OFFICIER DE L’0RDRE INTERNATIONAL DES PALMES ACADEMIQUES. Décoration en Novembre 2019 par l’Ordre international des Palmes Académiques du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (OIPA/CAMES), en raison des apports à la science du droit et au CAMES.

• AVOCAT : Mars 2016 : Inscription au Barreau du Burkina Faso, sur le fondement du titre d’agrégé des Facultés de droit. Cette inscription nous donne le titre d’Avocat à la Cour.

• AGREGATION DES FACULTES DE DROIT : Novembre 2011 : Lors de la 15e session du Concours d’Agrégation des sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) tenue à Abidjan du 09 au 22 Novembre 2011, nous avons été institué au Grade de Professeur Agrégé des Facultés de droit, dans la Section Droit public. Cela donne droit à l’inscription sur la Liste d’Aptitude à la Fonction de Maître de Conférences (LAFMC), avec la Côte A.

• MAITRE-ASSISTANT : Juillet 2010, inscription sur la LAFMA. Lors de la 32e session des Comités consultatifs interafricains (CCI) du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) tenue à Saint-Louis (Sénégal) du 12 au 17 juillet 2010 nous avons été élevé par le Comité technique spécialisé (CTS) des sciences juridiques et politiques au grade de Maître-Assistant, de droit public, avec la côte A.

• ASSISTANT UNIVERSITAIRE : Avril 2010 recrutement comme Assistant à l’enseignement et à la recherche à l’unité de formation et de recherche en sciences juridiques et politiques (UFR/SJP) de l’Université de Ouaga II par décision n°2010-103/MESSRS/SG/DRH du 14 juin 2010.

• SPECIALISTE DU DROIT CONSTITUTIONNEL, DU DROIT INTERNATIONAL ET DES DROTIS DE L’HOMME : Mars 2009- Mars 2010, Approfondissement de la spécialisation en droit constitutionnel et électoral, ainsi qu’en droits de l’homme. Après notre soutenance de thèse en mars 2009, nous avons poursuivi une spécialisation accrue sur ces matières au sein du département de droit constitutionnel de l’Université de Genève. Parallèlement, nous avons poursuivi nos fonctions de coordinateur scientifique du programme de formation continue en droits de l’homme de l’Université de Genève.

• DOCTEUR EN DROIT : Thèse soutenue le 06 mars 2009. A l’issue de la soutenance, le jury nous a reconnu « digne du grade de docteur en droit ». 19, 16/20, mention très bien, mention maximale dans le système académique suisse.

• ASSISTANT UNIVERSITAIRE : Du 1er octobre 2006 au 31 mars 2010 assistant au Département de droit constitutionnel de la Faculté de droit de l’Université de Genève, et coordonnateur scientifique du programme de formation continue en droits de l’homme.

• DPLOME EN PEDAGOGIE UNIVERSITAIRE : Décembre 2006-Février 2007, formation en pédagogie universitaire de l’Université de Genève. Module 1 « enseigner pour transmettre ». Obtention de l’attestation de formation en pédagogie universitaire.

• STAGE A L’ONU : 12 juillet 2006-11septembre2006 : Stage au Conseil des droits de l’Homme/Haut commissariat pour les droits de l’homme de l’ONU, sanctionné par une attestation de stage.

• DEA EN DROIT : Décembre 2004 : Etudes de troisième cycle. Diplôme d’Etudes Approfondies en Droit.

 1er juillet 2005 : Examen oral de DEA. 18, 33/20
 Le thème du mémoire de DEA est : « Le droit de l’Homme à l’alimentation : contenu normatif et mécanismes juridiques de mise en œuvre ».
 24 février 2006, soutenance du mémoire de DEA. 19, 58/20
 2 mai 2007, obtention de l’honorable Prix Arditi 2007 en droit sur la base de ce mémoire, qui correspond au prix du meilleur juriste de l’année des Universités de Genève.
• CERTIFICAT DE DROIT TRANSNATIONAL : Octobre 2003-mars 2004 : Formation en droit transnational. Obtention du Certificat de Droit Transnational avec mention très bien.

• MAITRISE EN DROIT : 2003-2004 : Formation de base en droit. Obtention de la Maîtrise en droit, option droit public. Thème de mémoire : « le principe de la spécialité de l’extradition au regard des droits humains ». Soutenu en juillet 2004, avec 16/20.

• LICENCE EN DROIT : 2002-2003, obtention de la licence en droit, session de juin 2003, avec mention

• DEUG II EN DROIT : 2001-2002, obtention du DEUG II, session de juin 2002, avec mention

• DEUG I EN DROIT : 2000-2001, obtention du DEUG I, session de juin 2001, avec mention, Major de la promotion

• BACCALAUREAT SERIE A4 : 1999- 2000, obtention du baccalauréat de l’enseignement du second degré, avec mention, (option philosophie-lettres), Admission à l’Université de Ouagadougou, à l’Unité de Formation de Recherche en Sciences juridique et politiques, Lauréat de la bourse nationale au mérite.

CONNAISSANCES LINGUSTIQUES

Français Comme langue maternelle
Anglais Courant
Allemand Notions

COMPETENCES INFORMATIQUES

Excellentes connaissances de la bureautique (Word, Excel, PowerPoint, Open Office, Ms project, etc.), de l’informatique et de l’Internet.

PRINCIPAUX CENTRES D’INTERÊT

• Activités académiques, pédagogiques et recherche scientifique. (Domaines juridiques de prédilection : droit international public, droit constitutionnel et électoral, droits de l’homme et libertés fondamentales, droit international pénal)
• Sport
• Excursion et voyage
• Politique et gouvernance de l’Etat
• Relations internationales

EXPERIENCE PROFESSIONNELLE (Depuis le 1er octobre 2006)

-  Depuis le 6 mai 2019, Membre fondateur et Président du Soleil d’Avenir (mouvement S.A), Mouvement politique. Candidat à l’élection présidentielle.
-  Mars 2019, Fondateur des LIBES, Sarl (Libraires Imprimes Bibliothèques et Editions Soma)
-  27 novembre 2017-12 juillet 2018. Directeur de Cabinet du Médiateur du Faso.
-  Octobre 2018, Depuis mars 2014, Fondateur de l’Institut Supérieur International de Banfora (ISIBA)
-  Depuis le 1er juillet 2017, Avocat-Conseil de l’organisation internationale Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES)
-  20 juillet- 20 décembre 2017 : Consultant du Gouvernement du Burkina Faso sur les questions environnementales. Réalisation pour le compte du Ministère de l’environnement de l’étude sur « l’intégration des données environnementales dans les politiques publiques »
-  30 Janvier 2017. Actionnaire- fondateur majoritaire et Consultant principal, au CABINET SOMA & PARTNERS SA, INTERNTIONAL CONSULTING
-  Depuis Mars 2017, Cordonnateur Scientifique du Master en droit international de la Faculté de droit de l’Université Ouaga II.
-  Depuis le 12 janvier 2017, membre du Comité de direction de la Formation continue en droits de l’homme de la Faculté de droit de l’Université de Genève
-  Depuis le 3 août 2016, avocat, jurisconsulte-Conseil. Prestation de serment en qualité d’avocat aux Barreaux du Burkina Faso et de l’UEMOA
-  Depuis le 28 Novembre 2016, consultant-formateur de l’UEMOA sur divers aspects du droit communautaire
-  Depuis le 29 novembre 2016, membre de la Commission constitutionnelle chargée de rédiger une nouvelle constitution pour le passage à la 5e République au Burkibna Faso
-  Août 2016, Fondateur du CABINET D’AVOCATS PROFESSEUR SOMA
-  Mars 2016 : Inscription au Barreau du Burkina Faso. Cette inscription nous donne le titre d’Avocat à la Cour.
-  Depuis 2015 : expert en harmonisation de système universitaire LMD. Participation pour le compte du CAMES au processus du Projet TUNNING de l’Union européenne et de l’Union africaine pour l’harmonisation des systèmes universitaires de curricula et de crédits.
-  Depuis 2015 : expert en système universitaire LMD : Membre du Comité LMD de l’Université Ouaga 2. Rédaction et suivi de l’application des programmes LMD en droit de l’Université Nazi Boni de Bobo-Dioulasso et de l’’Institut Africain de Management (IAM-Ouaga)
-  Du 10 décembre 2014 au 15 Janvier 2016. Conseiller Spécial de son excellence Monsieur le Premier Ministre du gouvernement de transition au Burkina Faso.
-  2015 : Consultant du Cabinet ACID SA. Réalisation pour le compte de la Fondation Stromme au Mali, de l’étude sur « La rédaction des textes fondateurs et fondamentaux d’une fondation internationale pour l’éducation en Afrique de l’Ouest ».
-  Du 4 novembre au 10 décembre 2014, conseiller spécial, jurisconsulte-Conseil auprès du Chef de l’Etat, dans la phase de préparation de la transition au Burkina Faso
-  Depuis mars 2014, Président-Directeur-Fondateur de l’Institut Supérieur de Droit International et des Droits de l’Homme (ISDIH)
-  Depuis le 24 avril 2010. Professeur de droit public (droit constitutionnel, droit international, droits de l’homme et libertés fondamentaux, droit international pénal), à l’Université Ouaga 2, et dans plusieurs universités Burkinabè, africaines et occidentales, notamment Genève, Lyon, Bordeaux, Abidjan, Cotonou, Lomé, Libreville, etc.
-  Mars 2014- décembre 2015 : expert-Consultant du Gouvernement du Burkina Faso sur les droits de l’homme. Réalisation pour le compte du Ministère des droits humains et de la promotion civique de l’ »Etude de base sur la situation des droits humains au Burkina Faso)
-  Juin-août 2012 : Consultant du gouvernement burkinabè sur les questions de réformes constitutionnelles dans une situation de crise latente
-  Depuis Mars 2014, Président-Directeur-Fondateur de l’Institut Supérieur de Droit international et des droits de l’homme, avec administration d’un Master II recherche en Droit international et des droits de l’homme.
-  Depuis mai 2012, Directeur exécutif et membre fondateur du Centre d’études et de recherches en droit international général et en droits de l’homme (CERDIH).
-  Depuis mars 2012, Président et membre fondateur de la Société burkinabè de droit constitutionnel (SBDC).
-  Février 2012, Expert auprès des cours et conseils constitutionnels Africains, Plateforme mise en place par la fondation Hans Seidel à Lomé (Togo).
-  Depuis le 21 novembre 2011 Professeur Agrégé des Facultés de droit. Encadrement et formation d’étudiants et d’auditeurs en acquisition de connaissances, en mémoires, master, doctorat. Jurys de soutenance de mémoires, thèses, et préparation au concours d’agrégation. Organisation de colloque, journées de réflexion, conférences, universités d’été
-  Depuis le 14 févier 2011, Membre du Conseil exécutif de la Fondation africaine de droit international
-  De janvier 2010 à mars 2013, Directeur exécutif de l’Institut pour la Gouvernance et le développement (IGD).
-  Novembre 2010 : Consultant de l’UNICEF sur la prise en compte des droits de l’homme dans la politique du Burkina Faso pour la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement.
-  Juillet 2010 : Consultant du CGD, sur les questions constitutionnelles, de de gouvernance politique et des droits fondamentaux
-  2009-2015, Président et membre fondateur de FIAN-Burkina : FIAN=Foodfirst Information and Action Network ou Réseau d’information et d’action pour le droit à se nourrir. FIAN-Burkina est la Représentation nationale de FIAN-International dont le siège se trouve à Heidelberg en Allemagne. C’est une ONG spécialisée dans la défense des droits de l’Homme liés à la nourriture, comme le droit à l’alimentation, le droit à terre, le droit à l’eau.
-  Depuis juillet 2009, Membre de l’Institut Magna Carta de Bruxelles dans le domaine des droits de l’homme.
-  Mai 2009 Consultant OMC :
• Note succincte rédigée à la demande de sa conseillère et adressée à M. Pascal LAMY, Directeur général de l’OMC, sur « L’OMC, le droit international et le droit à l’alimentation ».
• Note succincte rédigée à la demande de sa conseillère et adressée à M. Pascal LAMY, Directeur général de l’OMC, sur la question de savoir si « L’OMC est tenue de respecter les droits de l’homme », mai 2009.

-  10 décembre 2008- 31 mars 2010, Président du Conseil de la Faculté de droit de l’Université de Genève.
-  Septembre 2007 à octobre 2008 : Président de l’Association des Etudiants Burkinabé à Genève
-  Février 2007-mars 2010 : Membre du Comité exécutif et expert/spécialiste de FIAN-Suisse (ONG spécialisée dans la défense du droit à l’alimentation). A ce titre, nous avons participé aux derniers débats et consultations du 16 au 27 juillet 2007 conduisant à l’adoption du protocole au Pacte I des Nations Unies sur les droits économiques, sociaux et culturels.
-  De juin 2007- mars 2010 : membre de la Commission des études du Conseil de la Faculté de droit de l’Université de Genève. Le Conseil est l’organe délibératif à composition quadripartite (Professeurs, Assistants, Etudiants et Personnel administratif et technique) de la Faculté de droit.
-  Du 1er octobre 2006 au 31 mars 2010, Assistant au département de droit public de la Faculté de droit de l’Université de Genève. Dans ce cadre, nous avons été Coordinateur scientifique du programme de formation continue en droits de l’homme de l’Université de Genève. Dans cette qualité, nous avons été membre du Conseil de Faculté, Président du Conseil de Faculté et membre de la Commission des études de ce Conseil de Faculté.
-  De juillet 2006- septembre 2006, Stage au Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations. Affecté au secrétariait, j’ai eu l’historique privilège d’assister l’équipe dans la dernière session de la Commission des droits de l’homme, et aux premières session du Conseil des droits de l’homme.
-  Décembre 2004-mars 2007 : Vice-Président de l’Association des Burkinabés en Suisse

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Vos commentaires

  • Le 31 octobre 2020 à 21:55, par walai En réponse à : Abdoulaye SOMA

    Lui, ne parle aucune langue burkinabè ? Ou bien il ne juge pas nécessaire de les faire figurer ici ? Dans un cas ou dans l’autre, c’est assez grave. Je suppose que c’est le ème cas qui l’emporte, à savoir qu’il parle au moins une langue burkinabè, mais ne juge pas nécessaire de la faire figurer ici. Et cela, c’est très grave pour quelqu’un qui prétend vouloir devenir président du FASO. Il ne prend pas ses langues endogènes pour des langues nécessaires à paraître sur un CV. Maladroit, produit du néocolonialisme.

    • Le 1er novembre 2020 à 13:04, par Ka En réponse à : Abdoulaye SOMA

      Walai tu dis : Lui, ne parle aucune langue burkinabè ? Pour Ka, il est né au Burkina, et certainement il en parle une. Mais farouche partisan de l’alternance politique du Burkina avec sa jeunesse, je conseil a ce jeune que pour être choisi dans les urnes le CV n’a aucune importance, surtout quand ce CV est de trois a quatre pages sans aucune signification que de raconter ce qu’on mange quotidiennement chez soi ou tout ce qu’on n’a touché durant sa petite vie. KKB a fait un CV de 7 lignes et il est face à un économiste réputé pour le fauteuil présidentiel Ivoirien avec un programme présidentiel précis qui est de gouverner avec tout le monde, même ses ennemis. Maurice Yaméogo en 1958 face à ses adversaires n’avait pas présenté un CV, mais avec un programme présidentiel dont il ne craignait personne en face et a été élu le premier président de la Haute Volta indépendante.
      On n’arrache pas le pouvoir dans les urnes avec un CV de plusieurs pages qui ne veut rien dire que des raccourcis, mais avec un programme en béton de quelques lignes compréhensif a la société primaire. Le peuple Burkinabé choisira dans les urnes un président avec une expérience de commerçant qui a pu réussir sa vie sans aucun diplôme : Ou un individu sans un CV de deux pages qui dira qu’il règlera le problème de la justice et surtout de l’impunité et la corruption qui mine la réconciliation nationale.

      ’’’’’’Et comme je l’ai déjà dit : Les Burkinabé mûri par les crimes gratuits, la corruption à ciel ouvert par les cols blancs au CV de plusieurs pages, l’impunité et l’injustice, veut comme candidat ni de jeune loup aux dents longues à peine sorti du berceau, ni de vieux cheval de retour rompu et qui met le peuple dans sa farine et aux détournements de fonds et d’idées. On veut un candidat compétent, intelligent, dynamique, ouvert, avec du charisme, doté d’une intégrité absolue, capables de s’entourer de gens de la même veine et de déléguer les tâches dans un véritable esprit d’équipe, sans arrière-pensée ethnique, tribaliste, régionaliste ou politicienne (en particulier pas un individu tordu qui va promettre je ne sais quel "rattrapage" à une sous-population de mafieux.

    • Le 10 novembre 2020 à 09:43, par Koumbem Tinoaga En réponse à : Abdoulaye SOMA

      Bonjour. Nulle part, le professur ne mentionne qu’il a fait les études à l’UO. Il ne parle pas non plus une langue locale. Mon frère, il faut descendre sur terre. Pourquoi tu mentionnes la Suisse et tu ne bipes mot sur l’institution dans laquelle tu as fait tes premiers pas en droit ?

      Man sugr mooré !

  • Le 5 novembre 2020 à 09:00, par LZ COUSIN DU VILAIN En réponse à : Abdoulaye SOMA

    Internaute " walai " il faut les autres avant de commencer à parler. C’est vrai que tu n’aimes pas l’homme le Professeur Abdoulaye SOULAMA, mais saches qu’il n’est pas le seul qu’ils n’ont pas mentionné les langues à parler. Il faut chez ton mentor RMCK et tu comprendras qu’ils n’ont pas mentionné en plus il y a d’autres candidats aussi qu’ils n’ont pas pris nécessaire de signaler les langues et la langue locale qu’ils parlent.

    • Le 16 novembre 2020 à 16:15, par walai En réponse à : Abdoulaye SOMA

      @LZ COUSIN DU VILAIN. Walai que j’aime bien le Prof Soma. Jeune brillant et courageux. C’est d’ailleurs pourquoi j’ai regardé son CV. Parmi tous les CV, je n’ai regardé que ceux de Zida, Farama, Soma et Kam. Donc, ceux que moi j’estime incarner un changement. Les exploits faits par Zida lors de la transition n’auraient été possibles sans la contribution du Prof Soma qui était son conseiller.
      Mais, il faut que vous admettiez les critiques, si d’avanture vous voulez du bien de Soma. Parlant de langues, vous dites que les autres candidats n’ont pas non plus indiqué une langue burkinabè. Je viensde jeter un coup d’oeil et la plupart n’a même pas cas de langues dans leur CV. Zida qui l’a fait, a metioné Dioula et Moore. Donc, la critique porte sur le fait que si on a pris la peine de mentioner des langues, qu’on mentionne sa langue intrinsèque aussi, à moins de de pas la considérer comme une langue au même titre que les autres.

    • Le 16 novembre 2020 à 16:53, par walai En réponse à : Abdoulaye SOMA

      @LZ COUSIN DU VILAIN. Walai que j’aime bien le Prof Soma. Jeune brillant et courageux. C’est d’ailleurs pourquoi j’ai regardé son CV. Parmi tous les CV, je n’ai regardé que ceux de Zida, Farama, Soma et Kam. Donc, ceux que moi j’estime incarner un changement. Les exploits faits par Zida lors de la transition n’auraient été possibles sans la contribution du Prof Soma qui était son conseiller.
      Mais, il faut que vous admettiez les critiques, si d’avanture vous voulez du bien de Soma. Parlant de langues, vous dites que les autres candidats n’ont pas non plus indiqué une langue burkinabè. Je viensde jeter un coup d’oeil et la plupart n’a même pas cas de langues dans leur CV. Zida qui l’a fait, a metioné Dioula et Moore. Donc, la critique porte sur le fait que si on a pris la peine de mentioner des langues, qu’on mentionne sa langue intrinsèque aussi, à moins de de pas la considérer comme une langue au même titre que les autres.

  • Le 5 novembre 2020 à 13:47, par SidNaaba En réponse à : Abdoulaye SOMA

    Mais que dites-vous des mossis du plateau central ?
    Probablement que SOMA ne veut pas mentionner sa langue maternelle dans son CV. Il est soit Goin, Senoufo, Karaboro, etc.

  • Le 5 novembre 2020 à 19:16, par MonOpinion En réponse à : Abdoulaye SOMA

    M SOMA, poouvez vous affichez votre programme et/ou projet de societe pour le mandat que vous souhaitez avoir ?

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