Actualités :: Avènement du MPSR 2 : L’ex-députée Adja Zarata Zoungrana exprime son soutien au (...)

L’ex-députée de l’Assemblée législative de transition Adja Zarata Zoungrana, ne s’est pas faite prier pour exprimer son soutien aux nouvelles autorités du Burkina, arrivées au pouvoir à la faveur du coup d’Etat du 30 septembre 2022. C’était au cours d’une conférence de presse tenue ce lundi 03 octobre 2022. Adja Zarata Zoungrana a invité le capitaine Ibrahim Traoré, à écouter la voix du peuple, car dit-elle, il représente l’espoir de la nation entière.

Après avoir dépeint une situation sécuritaire des moins reluisantes, marquée par l’occupation d’une bonne partie du territoire national par les terroristes, Adja Zarata Zoungrana soumet ses attentes au "nouvel homme fort" du Burkina. « Nous attendons que vous vous mettiez déjà au combat avec toutes les personnes qui sont aptes, qui sont prêtes, sans distinction, à apporter leur contribution dans cette lutte contre le terrorisme...Nous fondons beaucoup d’espoir en lui et à son équipe pour que le Burkina Faso retrouve sa paix, sa quiétude d’antan », laisse-t-elle entendre.

Déjà, la coordinatrice du Mouvement des associations pour le développement et la protection des orphelins et des enfants démunis (MADPOED) relève que la déclaration du capitaine Ibrahim Traoré, sonne comme « une bouffée d’oxygène » pour les citoyens. C’est pourquoi elle dit prendre acte de ses engagements, sans manquer de lui témoigner son soutien et son accompagnement dans la mission de sécurisation et de libération du territoire.

Le présidium

« Il faudra rompre avec ces mauvaises habitudes et tisser des relations militaires gagnantes-gagnantes avec des puissances qui peuvent nous sortir de cette crise qui n’a que trop duré et qui continue d’endeuiller les familles », a-t-elle lancé en guise de conseils aux nouveaux tenants du pouvoir.

La conférencière du jour a aussi invité les Burkinabè dans leur ensemble, à l’unité pour la survie de la nation. « Il est plus que nécessaire d’unir les forces, mettons de côté les égos, actuellement il n’est point question de partis politiques, il n’est pas question d’organisation de la société civile. Il est aujourd’hui question de la survie de notre nation. Ce qui nous unit doit être plus fort que ce qui nous sépare », a-t-elle fait savoir.

Armelle Ouédraogo/Yaméogo
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