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Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » (Macky Sall)

Publié le lundi 3 juillet 2023 à 21h55min

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Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » (Macky Sall)

Le président sénégalais Macky Sall a annoncé ne pas vouloir se présenter aux prochaines élections. « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » a-t-il déclaré sur la Radio Télévision Sénégalaise (RTS), ce 03 juillet 2023.

Il a expliqué que sa décision était mûrement réfléchie , et de soulignar que même si « la Constitution m’en donne le droit, le Sénégal dépasse ma personne ».

En rappel, de violentes manifestations ont eu lieu au Sénégal après le verdict contre Ousmane Sonko (principal opposant au président) condamné pour corruption de la jeunesse.

Plus d’une vingtaine de morts ont été enregistrées au cours de ces manifestations.

Lefaso.net

République du Sénégal

Un Peuple-Un But-Une Foi

Message à la Nation du Président de la République, Son Excellence, Monsieur Macky SALL

Le 3 juillet 2023

Mes cher(e)s compatriotes d’ici et de la diaspora
C’est en forte conscience des responsabilités qui m’incombent que je voudrais m’adresser à vous, ce soir, en ma qualité de garant du fonctionnement régulier des institutions, de l’indépendance nationale et de l’intégrité du territoire.

Pour beaucoup d’entre nous, nous venons de célébrer la fête de la Tabaski, cette fête de la foi, de la solidarité et de la convivialité, en compagnie de ceux et celles que nous aimons et qui emplissent nos vies de bonheur, d’espoir et d’amitié. Pour certains de nos concitoyens cependant, la fête s’est déroulée dans l’ombre du deuil, parce que leurs chers enfants faisaient partie de ceux et celles qui ont perdu la vie dans des violences insoutenables, injustifiables et inexcusables. Des violences qui ont mis à l’épreuve notre cohésion sociale et notre longue et enviable tradition de paix et de stabilité en Afrique.

Vous aurez donc compris la tristesse et la douleur qui sont miennes. Vous, comme moi, nous n’étions pas cette année dans le même état d’esprit par lequel nous honorons et célébrons la fête du sacrifice.

Permettez-moi de m’incliner, à nouveau, devant la mémoire de nos enfants qui ont tragiquement perdu la vie, sous les effets brutaux de la violence et de renouveler mes condoléances à toutes les familles éplorées et à la nation toute entière. Je n’ai pas manqué, dans mes prières, il y a quelques jours, aux lieux saints de l’islam, de penser à nos regrettés disparus. Aucun de nos fils, aucune de nos filles, ne doit payer de sa vie les désaccords qui s’expriment dans nos sociétés. La vie de nos concitoyens ne peut être sacrifiée sous l’autel d’intérêts politiques. Nous avons l’obligation de protéger la vie et la dignité de tous les sénégalais, de toutes les sénégalaises.

Devant l’insoutenable, l’innommable, la prise de parole n’est pas toujours facile et souvent, les mots n’arrivent pas à exprimer le plein de tristesse qui nous envahit.
Nous avons vécu des événements particulièrement graves, marqués par une violence sans précédent, occasionnant des morts et des blessés, ainsi que la destruction massive de biens publics et privés.

Les scènes de violences et de pillages auxquelles nous avons assisté et leur coïncidence avec une cyber attaque contre des sites stratégiques du Gouvernement et des services vitaux, tels que l’eau et l’électricité, n’ont rien à voir avec une quelconque manifestation politique.

Rien, ni aucune revendication ne saurait justifier qu’on tue, qu’on diffuse des messages de haine et de violence dans les réseaux sociaux, qu’on saccage et brûle des biens publics et privés, y compris des moyens de transport, des commerces, des lieux de culte, des domiciles, des Consulats, des ambulances –même un corbillard- , des universités et des écoles comme pour éteindre la lumière du savoir, réduire au silence notre élite et notre relève scientifiques et intellectuelles et plonger notre pays dans les ténèbres de l’obscurantisme. L’objectif funeste des instigateurs, auteurs et complices de cette violence inouïe était clair : semer la terreur, mettre notre pays à l’arrêt et le déstabiliser. C’est un véritable crime organisé contre la nation sénégalaise, contre l’État, contre la République et ses Institutions.

Face à ces actes inadmissibles, l’État est resté debout et le peuple sénégalais, attaché à son vivre ensemble, a refusé de tomber dans le piège de cette machination insurrectionnelle aux antipodes des valeurs démocratiques et qui visait à s’emparer du pouvoir par la violence et détruire notre modèle de société.
Je renouvelle mon soutien et mon entière confiance à nos forces de défense et de sécurité dont la retenue, le professionnalisme et le sang-froid ont permis d’éviter un bilan plus lourd.

Je redis avec fermeté que les auteurs, les commanditaires, les complices répondront de leurs actes inqualifiables devant la justice. En attendant, les enquêtes se poursuivent. Nous ferons toute la lumière sur ces événements et sur les forces occultes qui veulent ébranler notre pays. Pour ma part, j’affirme ici que je ne transigerai pas avec des fossoyeurs de la nation, de l’État, de la République. Ce serait trahir mon serment constitutionnel.

J’exprime encore ma profonde compassion et ma solidarité aux victimes de ces actes criminels qui ont perdu leurs biens, fruits d’années d’investissement, de labeur et d’efforts quotidiens. Je pense également à toutes celles et tous ceux plongés aujourd’hui dans la détresse, parce que leurs emplois sont perdus ou menacés. C’est le Sénégal qui se lève tôt, qui travaille dur toute la journée et qui se couche tard qui est ainsi atteint.

J’invite fortement les parents et les familles à plus de vigilance. Je demande solennellement aux citoyens, aux leaders d’opinion, à toutes les forces vives de la nation, politiques et apolitiques, soucieux de la sauvegarde des valeurs démocratiques, de la paix, de la sécurité et de la stabilité de notre pays, de soutenir, sans réserve, l’action de l’État pour mettre en échec le projet pernicieux de déstabilisation du Sénégal. Quand la paix, la sécurité et la stabilité de la patrie sont à ce point menacées, il n’y a point d’indifférence et de neutralité possibles

Au regard de cette situation sans précédent, j’ai demandé au gouvernement de faire un bilan exhaustif des pertes et d’examiner les voies et moyens d’assister les familles des victimes ainsi que les personnes et entités ayant subi des préjudices.
Le contexte est difficile, les inquiétudes, les angoisses sont là. Mais je sais que le peuple sénégalais a les ressources spirituelles, culturelles, traditionnelles, sociales pour transformer ces moments d’épreuves en une chance pour la paix.

Ainsi œuvrer à transformer nos divergences en des occasions de dialogues constructifs pour forger le Sénégal que nous voulons, un Sénégal de respect de la vie humaine, de la justice, de l’égalité et de la paix. Un Sénégal qui se réconcilie avec ses valeurs de « disso », de concertation qui ont traversé le temps et construit son histoire enviée.
L’heure du bilan viendra plus tard alors que des occasions se présenteront pour vous parler de ce que le Sénégal a été sous ma présidence.

Mais aujourd’hui, je voudrais interpeller toute la classe politique, sans exclusive. Notre pays nous demande de regarder ensemble vers l’avenir afin que nous soyons les bâtisseurs du Sénégal de demain. Consolidons les forces de nos institutions tout en remédiant à leurs faiblesses ; Abandonnons les postures populistes, nihilistes, extrémistes qui tentent de présenter notre pays comme un désert sans loi. Chaque nation peut être éprouvée, chaque société peut être traversée par des tensions. Mais voici plus de 60 ans que nous œuvrons à construire un Sénégal selon nos valeurs de paix et de solidarité. Des jalons ont été posés par mes prédécesseurs.

Continuons à bâtir sur ces acquis et éloignons-nous des radicalismes qui veulent faire de la violence l’arbitre principal de nos différends. Nous pouvons être des adversaires mais jamais des ennemis. C’est pour cela, qu’après le dialogue national réussi que je salue encore, ma main demeure tendue à toutes les voix de bonne volonté pour continuer d’échanger sur les bonnes idées, les bonnes propositions qui nous permettront de faire advenir un Sénégal de bâtisseurs et non de casseurs, d’asseoir une paix durable, de réussir des élections apaisées dont les résultats seront acceptés par tous, le lendemain du scrutin.

Cette vision de nous-mêmes comme un peuple ancré dans la paix et la stabilité n’est pas une utopie, même si notre histoire politique a rencontré quelques moments de fragilité, de tensions. Notre force a été d’avoir toujours su trouver les mots, les paroles, les rencontres pour converser, pour panser ensemble les plaies, guérir ensemble les maux. Et depuis mon investiture à la magistrature suprême, mon gouvernement et moi, n’avons ménagé aucun effort pour renforcer l’unité nationale, consolider les acquis de notre démocratie et le respect des droits de l’homme. Nous n’avons cessé de relever les défis liés au développement économique et social. Nous avons un bilan qui amène nos adversaires, même ceux parmi les plus virulents, à reconnaître que nous avons fait progresser le Sénégal.

Mais aujourd’hui, ce n’est pas sur le bilan de nos réalisations que je veux surtout m’appesantir. Je veux parler avec vous de notre avenir en tant qu’il est façonné par les dynamiques de notre présent, de nos aspirations les uns à l’égard des autres, de la promesse que chacun peut être pour l’autre dans la construction du Sénégal que nous souhaitons léguer à nos enfants. Je veux donc parler de ce que, le Sénégal de demain exige de nous aujourd’hui, nous les contemporains. Je veux évoquer nos responsabilités en tant que communauté de destin.

Nous sommes condamnés à une solidarité susceptible de préserver l’unité de notre nation, malgré les tensions et divergences qui peuvent nous opposer. Cette solidarité ne signifie pas une totale convergence des points de vue, une uniformisation des consciences, une domination des uns sur les autres. Cette solidarité est celle qui nous empêchera de traduire nos désaccords, nos dissonances dans des violences meurtrières, justement parce que nous aurons su nous abreuver dans les sources démocratiques, morales, spirituelles et culturelles du grand peuple sénégalais. Cette solidarité, mes chers compatriotes, c’est celle qui poussera chaque individu à développer les comportements qui ne menacent pas l’avenir de notre nation. Cette solidarité enfin, c’est celle qui fera de chacun, de chacune de nous, une digue contre la violence.

J’entends bien les aspirations du peuple sénégalais, de sa jeunesse en particulier, de ses attentes légitimes en matière de justice socio-économique, de création d’emplois, de renforcement du système d’éducation et de formation professionnelle, de meilleurs cadres de vie. Je comprends la volonté de notre jeunesse de vouloir vivre une vie qui vaut la peine d’être vécue, ici au Sénégal et non ailleurs. C’est justement à nous concerter à repenser ensemble cette solidarité que nous parviendrons, en tant que société, à répondre aux justes revendications de notre jeunesse et de l’ensemble des citoyens sénégalais.

Jamais la violence n’a permis à un pays de répondre aux aspirations de sa population. Loin d’être une solution, la violence et les discours qui la construisent sont les signes d’une démission morale, intellectuelle, politique et citoyenne. N’est-ce pas à inventer, à réinventer de nouvelles manières de penser le développement de notre pays et de l’Afrique que nous devons nous atteler afin d’assumer notre destin dans un monde de plus en plus instable ?

Mais pourrait-on collectivement nous ouvrir à des possibles, produire le meilleur de nous-mêmes, si nos intérêts politiques personnels nous dressent les uns contre les autres, poussant ainsi une partie de la jeunesse dans la banalisation de la violence ? A l’heure où se reconfigurent les rapports de pouvoir au niveau global, où la révolution numérique nous plonge dans des ailleurs incontrôlés, le Sénégal et l’Afrique de manière générale, ont plus que jamais besoin de se réarmer scientifiquement et intellectuellement par la production des savoirs et des savoirs faire capables de défendre l’intérêt de nos populations et de nos cultures.

Nous avons des intelligences et des ressources humaines, ici, mais aussi disséminées à travers le monde, que seul le sens de la solidarité pourrait mobiliser au service d’une Afrique forte dans un monde malmené par des luttes d’influences et de domination. La violence est un frein à la mise en œuvre de nos capacités, de notre engagement à faire émerger un Sénégal prospère, un Sénégal de richesse partagée, bref, un Sénégal de tous, un Sénégal pour tous.

C’est fort de la conviction d’un Sénégal enraciné dans les vertus de la paix et du dialogue, que j’ai appelé à l’organisation d’un dialogue national ouvert, pluriel et inclusif. Je ne saurai assez remercier le coordonnateur de ce dialogue national ainsi que les présidents et rapporteurs de commissions, de même que tous les participants, sans exception, qui ont su mettre le Sénégal au-dessus de tout pour produire, en un temps record, des recommandations fort stratégiques, sur les différentes dimensions de la vie sociale, politique, économique et culturelle de notre pays. Je salue les conclusions très positives du dialogue national dont la mise en œuvre débutera cette semaine par la saisine de l’assemblée nationale pour la modification de certaines dispositions de la constitution et du code électoral entre autres.

Mes cher(e)s compatriotes,
S’agissant de l’élection présidentielle du 25 février 2024, je tiens à ce que le gouvernement prenne toutes les dispositions pour une bonne organisation du scrutin, comme par le passé.

En ce qui me concerne, j’ai suivi avec beaucoup d’attention et d’émotion les différentes manifestations de soutien à ma candidature pour un second quinquennat. La dernière étant celle des 512 maires et présidents de conseil départemental sur les 601 que compte notre pays. A cela s’ajoutent les soutiens de la diaspora, de mouvements de jeunes, de femmes, de nos respectés sages, d’enseignants, d’arabisants, de religieux et bien d’autres groupes, tous déjà prêts pour mener le combat de ma réélection.

A tous ces compatriotes, je voudrais exprimer ma profonde gratitude en réservant une mention spéciale et toute particulière à la coalition BBY, à mon parti l’Alliance Pour la République et à la grande coalition de la majorité présidentielle.

Mes cher(e)s compatriotes, ma décision longuement et mûrement réfléchie est de ne pas être candidat à la prochaine élection du 25 février 2024. Et cela, même si la constitution m’en donne le droit. En effet, depuis la révision constitutionnelle de 2016, le débat juridique a été définitivement tranché par la décision du Conseil Constitutionnel n°1-C-2016 du 12 février 2016.

Je sais que cette décision surprendra tous ceux et celles nombreux dont je connais l’admiration, la confiance et la fidélité sincères. Elle surprendra aussi ceux et celles qui souhaitent me voir encore guider la construction du pays qui trouve de plus en plus ses marques. Mais le Sénégal dépasse ma personne et il est rempli de leaders également capables de pousser le pays vers l’émergence.

On a tant spéculé, commenté sur ma candidature à cette élection. Cependant, Je n’ai jamais voulu être l’otage de cette injonction permanente à parler avant l’heure, car mes priorités portaient surtout sur la gestion d’un pays, d’une équipe gouvernementale cohérente et engagée dans l’action pour l’émergence, surtout dans un contexte socio-économique difficile et incertain.

Contrairement donc aux rumeurs qui m’attribuaient une nouvelle ambition présidentielle, je voudrais dire que j’ai une claire conscience et mémoire de ce que j’ai dit, écrit et répété ici et ailleurs, c’est-à-dire que le mandat de 2019 était mon second et dernier mandat. C’est cela que j’avais dit et c’est cela que je réaffirme ce soir. J’ai un profond respect pour les Sénégalais et les Sénégalaises qui m’ont lu et entendu. J’ai un code d’honneur et un sens de la responsabilité historique qui me commandent de préserver ma dignité et ma parole.

Je rends ici un hommage à mes prédécesseurs, les présidents Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade dont les parcours sont, bien sûr, différents mais qui ont contribué chacun à construire l’image de ce Sénégal démocratique qu’il faut perpétuer. Je ne saurai faire moins.

D’ici la transmission du pouvoir au futur président de la république, in shallah, le 2 avril 2024, j’assumerai avec responsabilité et fermeté toutes les charges qui incombent à ma fonction. En vertu du mandat que vous m’avez confié et en étroite cohérence avec mon serment constitutionnel, je continuerai de consacrer toutes mes forces à défendre, sans failles, les institutions constitutionnelles de la république, le respect des décisions de justice, l’intégrité du territoire, la protection des personnes et des biens. Je resterai à vos côtés, à votre écoute et au service de la république et de la nation.

Nous avons des réalisations indéniables et un potentiel incroyable. Mais soyons vigilants et conscients des difficultés, des obstacles qui sont réels et de l’activisme des ennemis de l’intérieur et de l’extérieur.
L’enjeu essentiel pour moi, c’est que notre cher Sénégal, ce pays que j’ai à cœur, que vous avez à cœur, garde le cap vers l’émergence dans la voie de l’action, de la paix, de la stabilité, du respect du droit, de l’ordre public, dans l’unité nationale et la cohésion sociale.

Cela exige de chacune, de chacun de nous l’adhésion à notre modèle de société fondé sur la démocratie, la liberté, le respect de nos valeurs socio culturelles, le respect de ce vivre ensemble qui a su jusqu’ici nous rassembler et nous ressembler, le respect de nos religions, de nos confréries et de nos guides religieux. En somme, le respect de notre identité collective sénégalaise qui est ancrage dans le socle socioculturel sénégalais et africain, mais aussi ouverture dans la modernité.

C’est seulement ainsi que nous pourrons poursuivre, ensemble, épaule contre épaule, notre élan commun vers notre destin commun, fidèles à notre devise nationale : Un Peuple, Un But, Une Foi.

Vive la République !
Vive le Sénégal.

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Vos commentaires

  • Le 3 juillet 2023 à 21:18, par Passakziri En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Merci au prtésident Macky Sall,
    Vous avez donné tord à vos détracteurs, le présumé violeur en tête.
    Comment une telle personne peut prétendre dirriger un peuple mûr ? Vivement qu#on ne voit plus jamais de 3e mandats en Afrique de l’ouest ou de modifications de complaisance des constitutions. Vive le peuple sénégalais !

    Passakziri

    • Le 3 juillet 2023 à 23:42, par Jean En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

      @ Passakziri :
      Pas de Merci mais HONTE à Macky Sall, il a voulu tripatouillé la constitution, le peuple a dit non. Macky est le type parfait de petits présidents africains qui rabaissent les institutions.

      • Le 4 juillet 2023 à 09:41, par Passakziri En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

        Bonjour Jean,
        Je sais que certains s’attendaient à ce que Macky Sall tombe bas comme bon nombre de nos 3e madaistes et violeurs ( de constitutions ou de masseuses ). Moi je félicite encore Macky Sall parce qu’on peut les compter dans nos contrées ces dirrigeants qui savent ce qu’est la parole donnée, c#est à dire l’honneur. Qu’ils soient issus de la classe civile ou militaire, ils ont tous cette bassesse de manipuler des groupiscules pour les apeller à violer les constitution s en les modifiants sauvagement pour satifaire leurs égos. Comatisés par les encens de ces courtisans, ils foncent droit jusqu’á rentrer dans le mur. Ici , Macky Sall a su réfuser de foncer tête baissée vers ce mur . Contrairement à d’autres. Alors pourquoi rentrer dans sa tête pour lui prêter des intentions ? Pourquoi ne pas le féliciter ? Moi je le fais et le refais, parce que je ne suis pas de ces panafricains de pacotilles qui ne s’attendent qu’á la première occasion pour sémer le chaos au Sénegal, oubliant que les sénégalais ne sont pas bêtes . Macky ici leur coupe en même temps l’herbe sous les pattes.

        Passakziri

        • Le 4 juillet 2023 à 21:48, par Gwandba En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

          Mon très cher Passakziri

          C’est sûrement sage de votre part de féliciter Macky SALL qui n’a fait que ce que nous attendons de nos hommes politiques de gré ou de force. C’est à a dire respecter la loi.

          Nos constitutions disposent de règles que nous devons tous respecter peu importe qui nous sommes et qui est derrière nous. Certains de nos politicards osent ne pas respecter les dispositions de nos constitutions parce que, comme le disent certains ministres de ceux qui nous veulent du bien, "les arrangements à l’africaines permet de violer la loi pour garder leurs pantins à la tête des colonies.

          Il est juste dommage et même idiot de perdre des vies humaines avant de se ressaisir pour respecter les règles. Si nous encourageons ce type de comportements, comment allons justifier nos combats contre ceux qui tuent nos populations ??

          Je n’ai aucun doute quant à votre bon sens et le respect que vous pourriez avoir pour la vie humaine. Ce qui grandi et augmente mon incompréhension quand on plébiscite des raclures comme Macky SALL.

          Comme vous le dites si bien, "ces panafricains de pacotilles" que vous allez bientôt rejoindre d’ailleurs ;-) parce que c’est la seule manière de prendre toute la dimension de ce que nous sommes, sont là pour rappeler à tous ces ploucs que a changé à jamais.

          Très cordialement.

          • Le 5 juillet 2023 à 15:29, par Passakziri En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

            Bonjour Cher Gwandba
            J’espère que c’est une blague quand vous dites que je vais bientôt rejoindre les panafricanistes de pacotilles :-) . Cela ne se réalisera jamais. je suis panafricain mais pas panafricanistes comme ces nervis qui ne cherchent que le désordre comme si le panafricanisme était le frère jumeau du désordre. Ces panafricanistes sankaristes qui n’ont de Sankarité que le poing lévé, on les connait. allez-y un jour vous asseoir sous un arbre au feu tricolore de la radio en allant vers le ministère des affaires étrangères. Vous risquez d’en voir qui grimperont pour une photo avec ThomSank et qui avant même d’atteindre l’ex CENATRIN seront entrain de négocier pitoyablement pour ne pas payer la contravention justifiée du feu rouge qu’ils viennent de brûler. s’ils sont en face d’un autre panafricaniste il se peut qu’un 2000 F règle l’affaire. Non, je ne peux pas chéminer avec ces panafricanistes á la Nyamsi.
            Quant aux morts au Sénégal que nous regrettons tous, est-ce qu’ils sont tombés parce qu’ils sortaient protester parce que le président Sall a dit qu’il sera candidat ? NON. Ils sont sortis pour empêcher qu’un présumé violeur reponde devant la justice de son pays. Donc la responsabilité c’est le présumé violeur qui la porte, pas Macky Sall.
            Même si jepense qu’un tel sinistre personnage ne meriterait pas de ternir la noblesse de la démocratie et du peuple sénégalais, c’est au sénégalais de décider de qui doit occuper les plus hautes fonctions de leur pays. ils peuvent officialiser que pour être candidat il faut avoir une expérience dans la dépravation. je n’y pourrais rien , mais c’est pas ce que j’ai comme idéal pour nos présidents. Par contre j eprouve un énorme respect pour tous ces présidents qui réfusent de violer ...... leurs constitutions. Parmis eux, on peut désormais compter Macky Sall , tout comme le grand Alpha Omar Konaré. on les compte au bout des doigts non ?

            Bien de choses à vous.

            Passakziri

        • Le 4 juillet 2023 à 22:56, par cc En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

          Après près de vingt morts ? Il aurait pu et du les éviter.

  • Le 3 juillet 2023 à 21:23, par West En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Macky Sall nous prend pour des stupides et c’est inadmissible !
    La constitution du Sénégal vous interdisait un autre mandat , vous ne savez pas lire ?
    Macky, vous avez tenté de contourner la constitution, ce qui a entraîné une série de manifestations les 5 et 6 juin dernier et qui ont fait des morts. Macky, la justice sénégalaise doit vous poursuivre pour troubles graves à l’ordre public !

  • Le 3 juillet 2023 à 22:25, par TANGA En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    N’GAW, tu étais où ?
    Maintenant que tu as foutu la merde et que tu as compris que tu ne peux pas par ce que tout le monde t’a vomis, tu fais la honte arrière.
    Tu risquais de prendre un vol spécial affrété par la Macron si il en aura le temps avec ce qu’il a chez lui pour rejoindre kouassi kouakou à Abidjan.
    Ce n’était pas toi a venir au Faso pour raisonner Le Gle DJENDJERE ?
    N’GAW !

  • Le 3 juillet 2023 à 22:33, par Lom-Lom En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Mr Macky Sall, pur produit du mensonge et de la duperie, fabriqué par ses Maîtres français qui ont pensé une fois de plus que les peuples africains sont si idiots et si amnésiques. De toute façon le mal est fait et ce Monsieur risque de sortir de l’histoire de son pays, pas par une grande porte, pas par une fenêtre mais pat une petite lucarne. Les sénégalais ne n’oublieront pas de sitôt car il est gravé négativement dans la mémoire collective africaine comme quelqu’un qui a tenté de sauver le clan sanguinaire du régime Blaise Compare du Burkina et qui a eu la malchance de vouloir reproduire le même coup au Sénégal. Conséquences, il laisse sur le carreau maccablés, supplicés et sacrifiés sur l’autel des intérêts égoïstes français et de ceux de quelques Bourgeois locaux ! Et ces juges qui ont condamné Mr Sonko, on espère que de toute leur carrière, ils n’oublieront pas cette épisode de leur vie et mieux, en feront une lanterne pour traiter tous les justiciables avec équité ! On espère que les autres dictateurs à la.solde de Paris ont bien appris leur leçon pour toujours !

  • Le 3 juillet 2023 à 23:34, par Nabiiga En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Je ne comprends les critiques à l’endroit de monsieur Macky. Pourquoi le critique-t-on au juste ? Qu’il ait renoncé à se présenter ou alors qu’il ait tenté de se présenter mais que la logique a eu raison de ses ambitions ? Ce qui importe est qu il ne sera pas candidat. Point !

    Le Sénégal s’apprête à se doter d’une autre personne pour s’occuper des fonctions suprêmes du pays. Applaudissons le courage du président sortant car lui, il a réussi où beaucoup ont failli, à commencer par notre pays pauvre.
    Où est Blaise ? Combien de coup d’état ont secoué la quiétude politique de notre pays depuis l’indépendance ?

    Parlez plutôt de cette histoire politique sombre de notre pays au lieu de critiquer le President Macky. Il est brave en ce qui me concerne.

  • Le 3 juillet 2023 à 23:56, par Sidpassata Veritas En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Tout ça pour ça ?!
    Il dit aimer son pays et refuse de se prononcer à temps pour éviter les dommages si graves. C’est quel amour ça !
    L’homme politique africain est une vrai catastrophe pour son pays. Il faut que ça change.

  • Le 3 juillet 2023 à 23:56, par Sidpassata Veritas En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Tout ça pour ça ?!
    Il dit aimer son pays et refuse de se prononcer à temps pour éviter les dommages si graves. C’est quel amour ça !
    L’homme politique africain est une vrai catastrophe pour son pays. Il faut que ça change.

  • Le 4 juillet 2023 à 01:17, par TANGA En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Chacun doit savoir que cette marche arrière de maki sale est aussi une conséquence du fait que leur maitre macron lui même se cherche.
    Donc si nous africains voulons etres libres, il faut continuer à prier pour que ceux qui nous torturent aient des problemes de tout genres chez eux ; ils n’auront plus notre temps comme le ptit macron n’a plus le temps pour ces protégers de la CEDEAO.
    A qui le tour ? Fais pa ça dedans, sors !

  • Le 4 juillet 2023 à 02:38, par West En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    @Internaute 4, Lom-Lom :
    Il va falloir que vous évoluez un peu dans votre phraséologie. Oui, Macron et la France ont le dos large à cause du passé colonial, mais ici, avec Macky Sall, il s’agit d’un petit politicien Africain sans envergures, moralement et éthiquement confus et corrompu qui voulaient s’accrocher au pouvoir, le grand peuple Sénégalais a dit NON !
    (tout comme l’avait fait le grand peuple Burkinabè dans le cas Blaise Compaoré) .

    • Le 4 juillet 2023 à 11:08, par Lom-Lom En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

      @West, ce que vous ne semblez pas voir c’est que derrière toutes ces manoeuvres de Macky Sall, il y a bel et bien les intérêts français en jeu et on ne peut convaincre tout le monde du contraire. L’Europe est entrain de rentrer dans un grand bouleversement et sans le gaz russe par exemple, certains pays comme la France et les français vont "chier" (excusez pour ce terme mais c’est pour traduire toute les difficultés à venir dans ces pays) ! Il se trouve que le Sénégal a un potentiel de gaz et de pétrole et la position des entreprises françaises au Sénégal est devenue fragile. Macky Sall a voulu jouer avec le temps et l’intelligence des Sénégalais en ne se prononçant à temps mais ce qu’il oublie c’est qu’il n y a plus de grand secret qui puisse être gardé pendant longtemps et dans les milieux politiques français, chacun sait qui est l’autre. Mr @ West, c’est à vous d’évoluer avec le monde pour ne pas être en retard !

  • Le 4 juillet 2023 à 03:41, par HUG En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Bon, pour la parole donnée, je ne serais pas candidat. Malgré la.petition de l alliance de maires et autres pour qu il se represente, il a refusé .Bon, c est la democratie qui gagne.

  • Le 4 juillet 2023 à 07:44, par Samuel En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    C’est une victoire du peuple sénégalais qui s’est mobilisé massivement pour empêcher à Macky Sall de se donner un 3eme mandat au prix de dizaines de morts. C’est la lutte déterminée d’Ousmane Sonko et des Sénégalais qui a obligé Macky Sall à renoncer à son projet, s’il ne voulait pas se retrouver à la CPI ou guillotiné par la rue. Ce n’est donc pas Macky Sall qu’il faut féliciter. C’est Ousmane Sonko qu’il faut féliciter pour avoir réussi à faire renoncer Macky Sall. Mais le combat n’est pas terminé car Macky Sall va essayer d’empêcher à tout prix Ousmane Sonko de se présenter aux élections dans des conditions libres, démocratiques et transparentes.

    Tout comme au Niger par exemple où l’obsession d’Issoufou Mahamadou a toujours été et est encore d’empêcher à tout prix son plus grand adversaire, Hama Amadou, de se présenter aux élections dans des conditions libres, démocratiques et transparentes, l’obsession de la France et de Macky Sall est d’empêcher à tout prix Ousmane Sonko de se présenter aux élections et de devoir rendre compte pour toutes ses années de corruption et de crimes. Au Niger, on se souvient que lors du second tour des élections de 2016 Mahamadou Issoufou avait fait emprisonner son principal adversaire avec la bénédiction de François Hollande, pour l’empêcher de battre campagne tout en le maintenant comme son challenger, pendant que lui sillonnait tranquillement le pays.

    Tout comme au Niger, Macky Sall veut donc désigner son dauphin (celui adoubé par la France), se choisir ses propres adversaires (ceux qu’il est capable de battre aisément) et organiser une mascarade électorale pour maintenir son clan au pouvoir.

    En effet, la nouvelle trouvaille des dictateurs africains, c’est LE DAUPHINAT (transmission du pouvoir à des successeurs désignés par la France dans le clan) et LA TRANSMISSION HÉRÉDITAIRE DU POUVOIR (transmission du pouvoir au fils du président comme cela est en train de se préparer au Niger et au Cameroun, et comme cela s’est fait au Tchad, au Togo, au Gabon, etc.). TOUT CECI N’A DONC RIEN DE DÉMOCRATIQUE DANS LA MESURE OÙ LES CANDIDATS CAPABLES DE POSER PROBLÈME AU POUVOIR SONT MIS DANS DES CONDITIONS QUI LEUR ÔTENT TOUTE CHANCE DE GAGNER ET QUE LES ÉLECTIONS SE RÉVÈLENT TOUJOURS ÊTRE UNE MASCARADE.

    Macky Sall va faire la même chose : TOUT COMME ISSOUFOU, IL VA DÉSIGNER SON DAUPHIN DANS SON CLAN ET EMPÊCHER A OUSMANE SONKO DE SE PRÉSENTER DANS DES CONDITIONS NORMALES. ET TOUT CECI EST CONÇU, PLANIFIÉ ET SUPERVISÉ PAR LA FRANCE OÙ NOS DICTATEURS VONT PRENDRE LEURS ORDRES.

    Ce n’est donc qu’une bataille qui a été gagnée au Sénégal. Celle qui suivra risque d’être plus difficile et plus décisive DANS LA MESURE OÙ OUSMANE SONKO A CRÉÉ LA PANIQUE DANS LES RANGS DE LA FRANÇAFRIQUE QUI FERA TOUT POUR L’EMPÊCHER DE SE PRÉSENTER AUX ÉLECTIONS CAR SI LE SÉNÉGAL BASCULE, C’EN SERA FAIT DE LA DOMINATION FRANÇAISE EN AFRIQUE.

    EN TOUT CAS, OUSMANE SONKO A PRÉVENU. S’IL GAGNE IL :

    1. SUPPRIMERA LE FRANC CFA .

    2. DÉNONCERA TOUS LES ACCORDS DE "COOPÉRATION" LÉONINS SIGNÉS AVEC LA FRANCE, NOTAMMENT DANS LE DOMAINE DU PÉTROLE, DU GAZ ET DU TRANSPORT (Train à grande vitesse sénégalais surfacturé et qui est en train de ruiner le pays).

    3. PROMOUVRA L’ENSEIGNEMENT DE NOS LANGUES MATERNELLES AU DÉTRIMENT DU FRANÇAIS QUI NE SERA PLUS QU’ENSEIGNÉ COMME DEUXIÈME LANGUE ÉTRANGÈRE APRÈS L’ANGLAIS.

  • Le 4 juillet 2023 à 08:09, par kwiliga En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Non, mais les panafricanistes intégristes, vous n’en avez pas marre de vos féroces diatribes, même quand on vous annonce une bonne nouvelle ?
    Il existe un pays en Afrique, où la démocratie avance, où l’armée se tient à sa place et n’a jamais commis de coup d’état, un pays musulman qui ne discrimine pas les autres, un pays multi-ethnique, où l’on arrive à s’entendre, un pays qui ne subit pas les affres du terrorisme,... alors, admirez et si vous n’en êtes pas capables, jalousez, mais retenez vos stériles critiques, quand on vous annonce que, pour une fois dans nos contrées, quelqu’un renonce au pouvoir,... quelles qu’en soient les raisons, réelles ou imaginées.

  • Le 4 juillet 2023 à 08:44, par Oula En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Un long et inutile discours de la honte ! Il se prévaut de ses propres turpitudes.

  • Le 4 juillet 2023 à 08:50, par Ka En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    Pourquoi avoir attendu qu’il y a des morts pour annoncer ce qui n’était pas possible ? L’Africain ne changera jamais. Je dis bravo au peuple Sénégalais : Car, ’’’’’’’’parmi les "valeurs qui fondent tout État démocratique", la première est des élections ouvertes, transparentes, sincères et honnêtes. Ce n’est pas de se maintenir au pouvoir à vie par des bricolages constitutionnels et des scrutins biaisés (tant pour faire adopter lesdits "bricolages constitutionnels" que pour fausser le résultat des scrutins qui en découlent). L’Afrique est à feu et à sang à cause de ces motifs et le Sénégal risquait fort d’emboîter le pas.’’’’’’’’ Qu’on ne vienne pas se plaindre que la CPI serait raciste ou partiale à l’endroit des pays africains : Et ce qui ne regarde que Ka, Macky avec des morts sous ses bras a cause de son entêtement, mérite la CPI.

  • Le 4 juillet 2023 à 09:09, par AHMED En réponse à : Afrique /Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » annonce Macky Sall

    WEND ya WINDÉ. Dieu est Dieu. Comment le dire en Wolf ? Il a compris comme BLAISE qu’après Dieu ce n’est pas eux.

  • Le 4 juillet 2023 à 11:10, par kaka En réponse à : Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » (Macky Sall)

    Hum. Pourvu qu’il tienne parole seulement, on a vu d’autres ici, des revirements de 280°....

  • Le 4 juillet 2023 à 11:19, par @@GOG En réponse à : Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » (Macky Sall)

    Après que des vies soient arrachées inutilement. Il aurait dû se renseigner auprès de l’autre en République de Côte-d’Ivoire !Heureusement que la CPI ait été saisie pour situer sa grande responsabilité dans le massacre d’innocents sénégalais !.Quoi qu’on dise , Sanko aura fait tomber un despote qui voulait illégalement rebélotter.
    Vive le peuple sénégalais !
    Vivent les peuples africains !

  • Le 5 juillet 2023 à 08:39, par HA En réponse à : Sénégal : « Non, je ne serai pas candidat à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 » (Macky Sall)

    Felicitations à Macky Sall pour cette belle rétroaction pour la démocratie !

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