Chaque matin, recevez gratuitement toute l'actualité du jour par mail. Inscrivez-vous à la newsletter
Chaque matin, recevez gratuitement toute l'actualité du jour par mail. Inscrivez-vous à la newsletter.
Le Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo, et son collègue de l’Urbanisme, des Affaires foncières et de l’Habitat, Mikaïlou Sidibé ont animé un point de presse, ce jeudi 30 mars 2023 à Ouagadougou. Ce point de presse s’inscrit dans le cadre de la reprise de l’exercice de redevabilité de la gouvernance publique par le Service d’Informations du Gouvernement (SIG).
Face à la presse, le ministre en charge de la communication, porte-parole du gouvernement Jean Emmanuel Ouédraogo est revenu sur des questions d’actualité comme la liberté d’expression et la création des comités de veille et de développement. Il a rappelé le contexte de guerre dans lequel se trouve le pays et la nécessité d’accompagner l’effort de reconquête du territoire national engagé par les autorités de la Transition.
Sur la liberté d’expression, il a réitéré l’attachement du gouvernement de la Transition à la liberté d’expression et d’opinion chèrement acquise au Burkina Faso avant de souligner que « nous n’accepterons pas qu’un média fasse ce que nous considérons comme étant de l’apologie du terrorisme ». Pour lui, « il n’y a pas de position médiane dans cette guerre qui est engagée. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire ». Il a notamment invité tous les Burkinabè, y compris les journalistes, à accompagner l’effort de reconquête du territoire.
Le ministre de la communication s’est également attelé sur la création des comités de veille et de développement. « Nous sommes dans un contexte où les autorités se donnent les moyens de pouvoir faire face à la situation critique dans laquelle notre pays se trouve. Nous sommes dans un contexte de guerre qui nécessite qu’on puisse gérer un certain nombre de situations avec beaucoup d’efficacité et beaucoup de diligence. Cela ne s’accommode pas toujours avec toutes les procédures qui doivent être respectées en temps normal, si bien que la loi offre des possibilités à l’autorité de pouvoir donc prendre un certain nombre de dispositions qui permettent d’être plus efficace sur le terrain. C’est le cas de la mobilisation générale et la mise en place de l’état d’urgence », explique-t-il.
Pour ce qui est des comités de veille et de développement, Jean Emmanuel Ouédraogo soutient qu’il s’agit d’une volonté des autorités de la transition de faire de l’ensemble des citoyens, des acteurs, non seulement pour la sécurisation du pays et au-delà, des acteurs de suivi des actions de développement. « Et c’est un maillage qui va toucher l’ensemble du territoire avec des comités qui auront en charge de participer de façon significative à des questions sécuritaires, à des questions de renseignements mais aussi à la question de suivi des actions de développement qui se mènent dans leurs localités. Aujourd’hui, on ne peut pas parler de sécurité, de développement sans les premiers acteurs concernés à savoir les citoyens burkinabè partout où ils se trouvent », précise-t-il.
Mamadou ZONGO
Lefaso.net
Avec la DCRP/MCCAT
Chaque matin, recevez gratuitement toute l'actualité du jour par mail. Inscrivez-vous à la newsletter
Vos commentaires
1. Le 31 mars à 16:09, par tapsoba_yassiki En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
revoila les CDR . Bien joué , c’est la seule manière de gagner cette guerre . sachons éviter les excès connus sous la REVOLUTION en les encadrant au mieux . vous verrez les valet locaux aux aboie tout de suite
Répondre à ce message
2. Le 31 mars à 16:45, par Yam Woumamey En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
Cette position s’appelle la discrimination positive. On ne peux traiter les terroristes fossoyeur de la democratie sur le meme pied d’egalité sous le pretexte de la soit disant liberté d’expression. Les terroriste ne peuvent beneficier des bienfaits de la democratie quand ils la detruisent eux meme. Qu’aucun media ne soit le relais ou le porte parole de ces demons sous pretexte d’infomer alors que cela contribue a terroriser les populations et a faire le jeux des terroristes.
Répondre à ce message
3. Le 31 mars à 17:04, par AHMED En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
Il faut vraiment faire une mise aux pointx pour recadrer nos journalistes. Beaucoup ne comprennent pas ce que c’est que la liberté d’expression surtout en période de guerre. J’ai écouté un journaliste d’une radio de la place qui disait que lui il 26 ans d’ancienneté et que si le gouvernement ne communique comment les journalistes vont se comporter. De quoi il voudrait que le gouvernement communique ? Donc il faut à mon avis que tous les secrets de la guerre soient connus pour que lui il sache que la guerre est ou pas. Un journaliste qui ne sait pas qu’on ne gagne pas une guerre.
Répondre à ce message
Le 1er avril à 10:00, par kwiliga En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
Bonjour AHMED,
J’attends avec impatience de pouvoir trouver les 19 articles de la loi COVED. Il y a apparemment une populiste tentative d’imiter les CNR,... mais où va-t-on avec ça ?
Un curé est assassiné par nos militaires à Ouaga, c’est un incident dû à des "tirs de sommation" ?
La côte d’Ivoire nous livre des armes... rien n’est clair, le doute subsiste ?
On taxe les bières de 20 à 25% (pour soutenir l’effort patriotique, et c’est très bien) , mais pour l’instant les prix des vins, whisky et autres champagnes, restent inchangés.
Dans ce cadre de soutien à l’effort patriotique, n’est-on pas en droit d’avoir quelque redevabilité, d’être informés des résultats de nos cotisations ?
Dans les premières intentions de ce même soutien à l’effort patriotique, il s’agissait de taxer 1% des salaires. Il a suffit d’une déclaration des l’UAS, pour que le gouvernement y renonce, sans mener aucune négociation, aucun combat,
Les quelques jugements pour corruption, ou celui de l’aéroport de Donsin, en dehors de celui concernant la LONAB, donnent de piteux résultats, généralement des condamnations avec sursis, guère dissuasives.
Bassolé, qui est un évadé, nous donne des conseils, depuis l’un des pays qui financent le terrorisme qui nous endeuille, on n’est pas foutu de lui mettre un mandat d’arrêt international aux fesses. Par contre, si tu es petit et que tu as une voie discordante, les pires choses t’attendent, arrestations et détentions arbitraires, envoi forcé au front...
Vous interrogez : "De quoi il voudrait que le gouvernement communique ?"
Alors, je ne peux répondre à la place du journaliste, mais moi, il y a différentes choses que j’aimerais que nos dirigeants éclairent, précisent,...
Quand je lis dans la déclaration : " Jean Emmanuel Ouédraogo est revenu sur des questions d’actualité comme la liberté d’expression et la création des comités de veille et de développement." j’ai bien peur qu’il y ait un lien direct entre les deux. Est-on en train de créer des organes de surveillance et de délation ?
De mon point de vue, je rajouterai que, dans ma conception, qui me semble être l’acception générale, le révolutionnaire s’attaque aux puissants.
Hors, avec le gouvernement Kyelem, c’est l’inverse qui se produit :
Bon, beaucoup trop d’exemples qui démontrent que notre pouvoir craint les puissants, fait des exemples avec les faibles et s’offusque, s’insurge, lorsqu’on lui réclame un minimum de transparence.
Alors AHMED, vraiment, rien de tout ça ne vous interroge, ne vous inquiète ?
Répondre à ce message
4. Le 31 mars à 17:06, par HUG En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
S’il y a des gens qui commettent des manquements il y a des tribunaux pour ces gens.À ce que je sache aucun Burkinabè n est contre ceux qui luttent contre les terroristes mais par contre le mpsr 2 ne pourra jamais faire qu il y ait la pensée unique dans ce pays. Jamais de la vie la.pensée unique ne peut être instaurer au Burkina Faso même avec un pouvoir des armes.Acceptez l esprit de critique et bannissez l esprit critique.
Répondre à ce message
Le 1er avril à 07:32, par Zambo En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
@HUG,
Qu’est ce la pensée unique dans ce cas d’espece. Demande de de ne pas relayer le message des terroristes n’a rien a voir avec la pensée unique ou alors qu’elle est ta definition et ta comprehension du terme ?
Répondre à ce message
Le 1er avril à 13:00, par Tampo En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
@HUG, soit pas naif, tu dis : "À ce que je sache aucun Burkinabè n est contre ceux qui luttent contre les terroristes "- mais tu es sur quelle planete ?
Mais precisement, il y’a des Burkinabé qui se sont fait enroller pour lutter contre leurs propre pays. Le Capitaine l’a dit pendant son discour de Kaya ; il y’a des opreateur economique qui supportent en cachette les terroristes.
Répondre à ce message
Le 2 avril à 06:23, par AOL En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
@Tampo
Le Capitaine l’a dit pendant son discour de Kaya ; il y’a des opreateur economique qui supportent en cachette les terroristes.
Le capitaine n’est pas une divinité pour que tout ce qu’il dit soit de la pure vérité à 100%. Si il a des preuves que y’a des opérateurs économiques qui supportent les terro-ristes qu’il saisit la juste au plus vite pour voire leurs cas.
Répondre à ce message
5. Le 31 mars à 17:53, par Mbalè En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
ILes mesures prises par le gouvernement sont bonnes et collent parfaitement à la situation de guerre que nous vivons.l faut que nous nous rendions à l’évidence : nous ne pouvons pas continuer à nous comporter par nos écrits ou nos paroles comme si nous étions dans une situation normale.
Répondre à ce message
6. Le 31 mars à 20:56, par Kladjou En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
Je ne vois plus les amis de HUG qui semble avoir disparu comme par enchantement. Tous ces vuvuzela de service qui ont passer le temps à rouspecter contre le Président IB l’on bouclé par que le temps leur a donné tord.
Vous savez, le temps est l’autre nom de Dieu.
Montesquieu disait dans l’Esprit des Lois que "il faut faire en sorte que ce qui est juste soit fort et ce qui est fort soit juste"
Même les américains, le chantre de la démocratie au lendement du 11 septembre ont promulgué le "Patriot act" qui permettait à l’exécutif de prendre toute mesure y compris restreindre toute sorte de libertés possible. Or l’attentât avait fait un peu plus de 3000 morts. Ici nous sommes à plus de 10 000 morts, près de 2 millions de PDIs et des gens sont entrain de nous pomper l’air au nom de soit disant démocratie, liberté d’expression blablabla blablabla
On repète comme un peroquet ce qui est trompeté par les autres pour nous, penser par procuration, tchrrrrr.
De toute façon le conseil constitutionnel à validé l’état d’urgence et le gouvernement a carte blanche maintenant, n’en déplaise au vuvuzela de service.
Répondre à ce message
7. Le 31 mars à 21:36, par Lom-Lom En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
C’est toujours les plus ignorants qui croient connaître les concepts mieux que les autres. On a même vu des journalistes qui ont voulu faire croire que leur simple totre de journaliste fait d’eux des hommes infaillibles dans le domaine de l’information , se donnant lemdroot de diffamer les autres citoyens par de fausses informations non vérifiées au préalable. ! Il a fallu le combat des uns et des autres (après le pouvoir de Blaise Compaore) pour que certains journalistes comprennent que les tribunaux ne vont plus blanchir un journaliste parce qu’il a le droit de diffuser une information. Pour notre situation actuelle, il n’est pas question qu’un journaliste se pwemette.de diffuser n’importe quoi pour mettre en peril la vie de ses concitoyens !
Répondre à ce message
8. Le 1er avril à 09:22, par Citoyen ordinaire En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
Ce n’est pas que tous les journalistes ne savent pas et ne comprennent pas ce que defend Mr le Ministre de la Communication, non, certains ont le choix de nuire à la Nation en utilisant leur plume et leur titre de journalistes ! Même les journalistes pigistes ne poseront des actes contre leur propre pays ! Il leur donc appartient dans ces temps de guerre de choisir courageusement leur camp afin que les parties en presence puissent les traiter de manière conséquente en amis ou en ennemis ! Pas la peine de se cacher dans une fausse neutralité ! Nous ne pensons pas que le Groupe de Soutien à l’Islam et aux Musulmans ou Al Quaida pour le Maghreb Islamique pronent la liberté d’expression mieux que le Gouvernement du Burkina ! Mieux, ces mêmes journalistes traîtres de la Nation savent bien que c’est bien ces djihadistes qui sont les partisans de la pensée unique ! Mr le Ministre de la Communication, vous avez notre soutien !
Répondre à ce message
9. Le 1er avril à 10:07, par kwiliga En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
Je prie pour que tous ces gens qui applaudissent l’instauration de la dictature soient mobilisés, cette situation leur permettrait de démontrer leur ardent patriotisme, ailleurs que derrière un écran.
Malheureusement, beaucoup d’entre eux nous manipulent et excitent les esprits depuis l’étranger.
Et puis, notre "révolutionnaire" gouvernement, ne s’attaquant jamais aux puissants, je sais bien que seuls les faibles, les pauvres, subiront les affres de la mobilisation.
Répondre à ce message
10. Le 1er avril à 13:50, par Un burkinabe En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
C’est suffisamment clair de la part du Mr le Ministre ! Mr le Ministre doit se rappeler que dans toutes les corporations et donc parmi les journalistes, il y a les excellents, les consciencieux, ceux qui recherchent toujours l’excellence à tout prix mais il y a aussi les médiocres, les cancres, les cancrelats, les méchants, les indignes prêts à vendre leurs pays pour vivre et se faire voir ! A chaque société de savoir quel traitement il faut réserver à chaque categorie de mediocres dans tous les corps de métiers. Nous tenons à dire que seul le diplôme de journaliste ne sera pas un passe-droit pour qu’un journaliste fasse ce qu’il veut de la vie des autres en mentant lamentablement et en difdamant ceux dont la voix ne porte parce qu’ils ne peuvent pas donner de droit de réponse ! A bon entendeur, salut !
Répondre à ce message
11. Le 1er avril à 17:43, par Didier En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
Les Africains en général et les Burkinabé en particulier ont mal compris 3 choses et c est là tout le drame de l Afrique : la démocratie, la liberté de la presse et les droits de l homme.
Tant que nous ne serons pas mieux éduqué s sur ces 3 notions nous serons toujours à la traine. Nous pensons avoir compris alors qu au fond RiEN
Répondre à ce message
12. Le 1er avril à 17:57, par Natah En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
Je ne comprends pas Kwiliga... Le gouvernement s’attaque aux faibles et laissent les forts ?
Vous citez plein d’exemples mais vous sautez plusieurs autres... Repartez voir l’historique des actions claires de ce gouvernement et soyez honnêtes vis à vis de vous même svp... Dès le début de leur mandat repartez voir ce qu’ils ont fait svp.
Que Dieu bénisse le Burkina et ses dirigeants 🙏
Répondre à ce message
Le 3 avril à 07:13, par kwiliga En réponse à : Burkina Faso : « Il n’y a pas de position médiane dans cette guerre. Aujourd’hui, il s’agit de soutenir l’offensive de reconquête du territoire », affirme Jean Emmanuel Ouédraogo
Bonjour Natah,
Ben oui, je donne " plein d’exemples" et je pourrais en citer encore d’autres, à propos de vidéos de propagandes, de contrats miniers,...
Alors que vous, vous contentez d’écrire "Dès le début de leur mandat repartez voir ce qu’ils ont fait svp.", et bien, je suis reparti et n’ai rien trouvé de probant.
Donnez moi donc des exemples précis, je vous prie.
Vous savez, au fond, moi, je ne souhaite qu’une chose, être convaincu des capacités martiales et de la volonté révolutionnaire de nos dirigeants. Le problème, c’est que pour l’instant, ils ne m’apparaissent pas convaincants, en dehors de quelques discours.
Répondre à ce message