Pour l’édition 2022 de la Journée nationale de la liberté de la presse, quatre équipes ont pris part au tournoi. Il s’agit de la Presse audiovisuelle et écrite, de l’Institut panafricain d’étude et de recherche sur les médias, l’information et la communication (IPERMIC) et de l’ISIS.

En élimination directe, la Presse audiovisuelle a été vite déclassée par les étudiants de l’ISIS aux tirs au but après un nul de deux buts partout (2-2, t.a.b, 2-0). En seconde opposition de la soirée, la presse écrite a corrigé les joueurs de l’IPERMIC par six buts à zéro (6-0). La hiérarchie a été respectée dans ce match.

Le capitaine de la presse écrite, Wend-kuuni Bilgo (noir), recevant le prix de son équipe des mains du président de l’Association des journalistes burkinabè (AJB), Guezouma Sanogo

La finale a opposé l’ISIS à la presse écrite. Dans une rencontre très disputée, les deux formations ont passé une première partie stérile (0-0). Mais à cinq minutes de la fin, les joueurs de la presse écrite ont ouvert le score sur un bolide envoyé dans le camp adverse. Malgré leurs efforts, les étudiants de l’ISIS n’ont pas pu revenir au score. La presse écrite reporte ainsi pour la deuxième fois consécutive le tournoi.

Les vainqueurs sont repartis avec un trophée, un lot de tee-shirts et une enveloppe financière. Les autres équipes participantes ont reçu des enveloppes financières et tee-shirts.

Le tournoi offre chaque année l’occasion aux journalistes de se fréquenter et de renforcer la confraternité.

J.T.B
Lefaso.net