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Cryptomonnaies : Les fondateurs d’Africrypt "s’évaporent" avec 69 000 bitcoins soit 3,6 milliards de dollars

Publié le vendredi 9 juillet 2021 à 20h45min

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Cryptomonnaies : Les fondateurs d’Africrypt

Africrypt, la plateforme d’investissement en cryptographie basée en Afrique du Sud, ne fonctionne plus depuis le mois d’avril.

Les fondateurs Ameer Cajee (20 ans) et Raees Cajee (17 ans), auraient fermé la plateforme et se seraient volatilisés du même coup avec 69 000 bitcoins, l’équivalent de 3,6 milliards de dollars.

Les frères Cajee, auraient transféré ce fonds des investisseurs à partir d’un compte à la First National Bank (FNB) basée à Johannesburg.

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Source : Le Monde

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Vos commentaires

  • Le 9 juillet 2021 à 21:19, par WakatSera En réponse à : Cryptomonnaies : Les fondateurs d’Africrypt "s’évaporent" avec 3,6 milliards de dollars en bitcoins

    Quand quelque chose se passe en Afrique du Sud, il vaut mieux y aller chercher vos sources au lieu du Monde basé en France. C’est toujours problématique quand les Africains doivent passer par l’extérieur pour s’informer sur l’Afrique.

  • Le 9 juillet 2021 à 22:18, par ElMagnifico En réponse à : Cryptomonnaies : Les fondateurs d’Africrypt "s’évaporent" avec 3,6 milliards de dollars en bitcoins

    Ameer Cajee (20 ans) et Raees Cajee (17 ans), de futés bébés qui s’en tirent pleins les poches laissant de barbus attentionnés à leur triste sort !
    Les députés de la CEDEAO ont là un bel exemple de piège à étudier, eux qui se penchent ces temps-ci sur la cryptomonnaie.

    • Le 11 juillet 2021 à 13:08, par Abdoul En réponse à : Cryptomonnaies : Les fondateurs d’Africrypt "s’évaporent" avec 3,6 milliards de dollars en bitcoins

      Que la CEDEAO s’intéresse à la cryptomonaie est une indépendance financière. Il faut pas le comparé avec des plateformes d’investissement qui disparaît. Le Bitcoin est une révolution monétaires tout comme beaucoup d’autres cryptomonaie. Rappeler vous que quand l’arme à feu a été découvert les gens on laissé a petit peux les sabre et les flèche pour s’y adhéré

  • Le 9 juillet 2021 à 22:39, par ElMagnifico En réponse à : Cryptomonnaies : Les fondateurs d’Africrypt "s’évaporent" avec 3,6 milliards de dollars en bitcoins

    Ameer Cajee (20 ans) et Raees Cajee (17 ans), de futés bébés qui s’en tirent pleins les poches laissant de barbus attentionnés à leur triste sort !
    Les députés de la CEDEAO ont là un bel exemple de piège à étudier, eux qui se penchent ces temps-ci sur la cryptomonnaie.

  • Le 10 juillet 2021 à 09:03, par Le citoyen averti En réponse à : Cryptomonnaies : Les fondateurs d’Africrypt "s’évaporent" avec 69 000 bitcoins soit 3,6 milliards de dollars

    C’est là le véritable problème avec les plateformes d’investissement. Les premiers entrants gagnent toujours mais ceux qui viendront après n’auront que leurs yeux pour pleurer. Généralement quand les fondateurs ne se volatilisent pas, ils changent les règles du jeux encours pour compliquer les retraits par les clients. Du coup c’est encore eux qui gagnent. C’est le cas de pétron pay. Il faut que les jeunes investisseurs fassent très attention quant aux investissements qu’ils font dans les crypto monnaies.

  • Le 10 juillet 2021 à 10:53, par Jonassan En réponse à : Cryptomonnaies : Les fondateurs d’Africrypt "s’évaporent" avec 69 000 bitcoins soit 3,6 milliards de dollars

    Les africains sont des dindons de la farce. Quand une nouvelle technologie apparaît au lieu de prendre le temps de bien assimiler et chercher ensuite comment l’exploiter ils se ruent avec des connaissances réduites cherchant seulement à comment l’utiliser pour ruiner leurs frères et s’enrichir. Et les mots anglais et/ou ronflants sont à la vogue : trading, blockchain, bitcoin, ethereum lypftlife, dipgold, yem, petronpay, sarui,.. Ainsi naissent des plateformes ou des flottes d’arnaques au prétexte d’arrimer l’Afrique à la technologie. Combien de jeunes burkinabè ont-ils été déscolarisés par ces ignorants escrocs qui se pavanent sans se gêner dans nos rues et même sur nos écrans. (Attention, moi je suis passé furtivement à la télé mais c’était pour tenter de rétablir la vérité, ne me confondez-surtout pas à cette racaille-là, je ne mange pas de cette mayonnaise-là).
    Apprendre et comprendre soi-même avant de vouloir enseigner aux autres (les fausses formations par des enseignants eux-mêmes incultes = les dits "leaders" ou "coach") et apprendre et comprendre pour ne pas sacrifier la jeunesse dans les nombreux réseaux de Ponzi au prétexte de nouvelle trouvaille de marketing réseaux en inondant les réseaux sociaux et/ou de mobile money de projets bidons à fausse rentabilité avant de disparaitre avec la caisse.
    Les députés de la CEDEAO eux-mêmes ne sont pas sortis de l’auberge. Déjà leur communiqué annonçant la réunion fait une grave confusion entre la monnaie numérique et la crypto-monnaie j’ai espéré qu’après la formation cela serait rectifie. Hélas ! Le communiqué final en fin de sessions n’est pas plus brillant. La question est alors est-ce que ces experts-formateurs ont fait l’effort de comprendre avant de transmettre ou c’est le courant qui s’était coupé ou encore c’est seulement l’argent qui les motivait. Bref, l’essentiel c’est que les législateurs ont décidé de sévir contre les cryptos, espérant pouvoir séparer le bon grain de l’ivraie ou à défaut en finir avec les fourmis en tapant dans la fourmilière. Si c’est sous les conseils de ces experts-là, ils n’iront nulle part. Pourquoi n’ont-ils pas proposer de créer une monnaie numérique de banque centrale (MNBC) pour faciliter les échanges, surtout que certains parmi eux comme le Nigeria ou le Ghana sont sur la bonne voie. Est-ce l’effet des francophones sous influence du maitre français ? Ce n’est pas impisdible et dans ce cas les anglophones préfèrent garder le silence et aller poursuivre leurs avancées à la maison. Une monnaie numérique de banque de la CEDEAO aurait permis de fédérer les énergies pour que cette monnaie numérique de banque centrale soit l’unique dans la zone CEDEAO ce qui aurait naturellement et fatalement hâter l’avènement de la monnaie unique Éco. Encore un rendez-vous manqué ? L’avenir n’appartient pas aux africains : c’est écrit dans la Bible et dans le Coran, c’est aussi écrit dans la Torah, dans les livres d’histoire les plus anciens, c’est la malédiction qui nous poursuit.

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