Un exploitant agricole cherche un partenaire sérieux et un investisseur solide pour l’exploitation de deux espaces de cent ha chacune
Exploitant agricole cherche partenaire sérieux et investisseur solide pour partenariat pour l’exploitation de deux espaces de cent ha chacune, dans le Bazèga à 60 km de Ouagadougou et à 30 km de Sapouy dans la province du Ziro. Potentiel d’exploitation intéressant.
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Vos commentaires
1. Le 17 juillet 2019 à 10:09, par Sifpaa En réponse à : Un exploitant agricole cherche un partenaire sérieux et un investisseur solide pour l’exploitation de deux espaces de cent ha chacune
Bonjour, Votre annonce a retenu notre attention, pourrions nous faire plus ample connaissance par mail s’il vous plait
Dans l’attente,
Cordialement
2. Le 17 juillet 2019 à 17:34, par Haaba En réponse à : Un exploitant agricole cherche un partenaire sérieux et un investisseur solide pour l’exploitation de deux espaces de cent ha chacune
C’est très beaux vos terres agricoles. Pareilles comme comme les fermes dans les pays du nord, végétation comprise.
Le 17 juillet 2019 à 19:48, par Franck En réponse à : Un exploitant agricole cherche un partenaire sérieux et un investisseur solide pour l’exploitation de deux espaces de cent ha chacune
Haaba. Toi aussi c est juste une photo d illustration. cette photo c est pas au Burkina Faso.
3. Le 19 juillet 2019 à 08:26, par Shalom En réponse à : Un exploitant agricole cherche un partenaire sérieux et un investisseur solide pour l’exploitation de deux espaces de cent ha chacune
Voila des gens qui se sont accaparé les terres des pauvres paysans pour une bouchée de pain. Ils n’ont ni l’expertise, ni les moyens financiers pour les mettre en valeur. La situation est particulièrement pathétique dans le Ziro et la Sissili. A quelques 45 km de Léo, sur l’axe Ouaga-Léo, une richissime femme d’affaires opérant dans les produits du cru (sésame, karité etc.) s’est taillé 150 ha au bord du goudron. Elle avait promis aux pauvres paysans une usine de transformation des produits où leurs enfants seraient embauchés. Aujourd’hui, aucune de ses promesses n’a été tenue. La valeur du charbon qu’elle a tiré de la mise en valeur de cette terre peut représenter 1000 fois l’argent qu’elle a donné aux pauvres paysans. Le Burkina Faso va mal !