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Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

Publié le vendredi 1er février 2019 à 00h56min

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Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

C’est désormais fait. Nommé le 10 janvier, c’est finalement ce 31 janvier 2019 que le nouveau chef d’Etat major général des armées a officiellement pris le commandement à la place de la Révolution à Ouagadougou. Le Général de brigade Moïse Miningou arrive dans un contexte sécuritaire marqué par la recrudescence des attaques terroristes. A presque chaque jour, son lot de désolation. D’ailleurs, la veille de cette cérémonie d’installation du nouveau chef, c’est à la roquette que le détachement militaire de Kompienbiga dans la région de l’Est a été prise à partie par des éléments armés non identifiés. Le défi est donc connu, détruire l’ennemi.

Les chefs militaires viennent à la tête de l’Etat major général des armées, ils en repartent et laissent toujours le même défi. La lutte contre le terrorisme, si harassante et si meurtrière pour les Forces armées nationales et les populations civiles est le défi pour toux ceux qui sont appelés à cette fonction si exigeante dans ce contexte nouveau. C’est la Place de la révolution qui a encore vu le passage de témoin entre deux chefs ; le Général Oumarou Sadou, nommé le 28 décembre 2016 à la tête de l’institution militaire, et remplacé le 10 janvier 2019 par le Général Moïse Miningou.

“Ce n’est pas le problème d’une seule personne, seul je ne pense pas pouvoir amener quelque chose de nouveau. Mais je sais que j’ai derrière moi, toute l’armée et je sais qu’avec la détermination et la bénédiction du tout puissant, nous aurons la victoire. Nous n’avons pas un autre pays, on n’a pas le choix, on est obligé de gagner.

Peut-être que ça va être difficile, actuellement je ne peux pas vous dire comment (Ndlr. la stratégie de lutte), je viens de prendre le commandement, mais avec les autres, l’Etat major, nous allons nous asseoir, réfléchir et voir comment arriver et nous savons que nous allons y arriver. Nous sommes confiants que ça va bien se passer”, ce sont les premiers mots du nouveau Chef d’état major général des armées (CEMGA), après avoir reçu le commandement des mains du ministre de la défense nationale et des anciens combattants, Moumina Chériff Sy.

Le CEMGA sortant lui, après avoir demandé une minute de silence pour tous les militaires tombés par le fait du terrorisme, a témoigné sa gratitude à tous ses collaborateurs et au gouvernement pour le soutien dont il a bénéficié durant son temps de commandement. Il a noté les acquis notamment l’amélioration des conditions de vie des militaires par la révision du régime de solde, l’instauration des primes d’opération , l’indemnisation des familles des militaires décédés en opération et surtout la loi de programmation militaire pour l’équipement progressif des forces armées afin de renforcer leurs capacités dans un contexte sécuritaire jamais auparavant vécu par l’armée nationale et la nation burkinabè armée.

Pour lui, ces efforts doivent être poursuivis et accompagnés avec l’engagement constant des hommes sur le terrain, leur adaptation et leur parfaite connaissance de l’ennemi hybride, sans compter la mobilisation nationale dans l’atteinte des objectifs.

“Nous pouvons être fiers de ce que nous avons accompli dans un contexte particulièrement difficile avec les moyens dont nous avons disposé et que nous avons utilisés le plus judicieusement possible”, a dit le Gal Oumarou Sadou. Il a en outre eu une pensée “ aux valeureux hommes et femmes qui ont été et qui sont encore sur divers terrains d’opération. Qui se donnent sans calculs, sans répit, sans esprit de recul dans l’unique but d’accomplir leur mission de défense de l’intégrité territoriale”.

La lutte contre le terrorisme ici et ailleurs est une lutte de longue haleine. A chaque attaque, surtout dans le contexte burkinabè où elles sont de plus en plus récurrentes, l’opinion publique s’indigne et se pose bien de questions. Le désormais ancien CEMGA semble avoir fait cette expérience des fortes et légitimes attentes des populations qui ne sont pas immédiatement comblées. Mais il rappelle, que “la lutte contre le terrorisme n’est pas une guerre éclaire comme beaucoup sont portés à le penser. Le combat contre les forces du mal sera une lutte de longue haleine où chaque acteur aura son rôle et sa place. Toute division, toute stigmatisation dans nos rangs ne fera que le jeu de l’ennemi”.

“Il connait la situation”

C’est dans ce contexte difficile qu’arrive le nouveau CEMGA, le Gal Moïse Miningou. Sera-t-il le Moïse pour sortir le Burkina Faso des eaux troubles du terrorisme ? En tout cas, à en croire son prédécesseur, il en a les moyens. Foi de Oumarou Sadou, le nouveau chef est connu comme un chef de qualité humaine et professionnelle, un chef qui écoute, aiguisé, doublé d’une forte et riche expérience dans le domaine du commandement, de la connaissance des hommes. “J’ai la ferme conviction qu’il saura relever le défi car il connait la situation, car il connait le terrain, car il connait les hommes, car il connait les moyens”, a-t-il lancé avant d’inviter toutes les Forces armées nationales et la population à faire bloc autour de lui pour accomplir les différentes missions qui lui seront confiées par le chef suprême des armées, le président Roch Kaboré.

Pour réussir sa mission, le Gal Miningou a d’ores et déjà sonné le rassemblement de toutes les compétences passées et présentes, de toutes les forces militaires, de gendarmerie, de police et toutes les intelligences civiles pour fédérer les capacités afin de circonscrire la menace terroriste.

Le Général Moïse Miningou est le 18e chef d’Etat major des forces armées nationales.

Cliquez ici pour lire aussi : Etat-major général des armées : Moïse Minoungou, le nouveau chef

Tiga Cheick Sawadogo
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 1er février 2019 à 04:43, par Arch En réponse à : Forces armées nationales : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    Il faut miner tout les pourtours des camps militaires
    Meme si c’est avec des mines artisanales comme eux.Au sortir de cette guerre l’armée doit etre aussi capable de fabriquer certaines armes de guerre.faites appels aux scientifiques meme civils l’armée americaine le fait.La guerre aujourd’hui n’est plus physique mais techniques.Des Burkinabè ici peuvent vous fabriquer des radars pour la surveillance du territoire. Mais avant tout si le commandement n’est pas depolitisé vous n’y arriverai à rien ceux en general doués ne sont pas politiques.Decorez,felicitez les militaires qui font preuve de bravours au combat. comme le dit quelqu’un les djhadistes vont nous obliger à recultiver le sens de l’honneur et la culture du mérite au detriment des deals et la corruption comme au temps de Sankara ou nous seront amenés à disparaitre.

  • Le 1er février 2019 à 07:02, par MICHEL ZONGO En réponse à : Forces armées nationales : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    QUE DIEU LE TOUT PUISSANT L ACOMPAGNE DANS SA MISSON DIFFICILLE MAIS PAS IMPOSSIBLE

  • Le 1er février 2019 à 07:55, par ACHILLE De TAPSOBA En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    Chères BRAVES FDS vous avez su intégralement défendre notre territoire contre les forces du mal et leurs complices qui attendent visiblement un chaos généralisé au Burkina. Ces attaques terroristes ne sont manifestement que des tentatives d’un groupuscule interne et externe mal intentionné pour protéger jalousement leurs intérêts inavoués et égoïstes. Toutes ces manœuvres de déstabilisation ne sont que le fruit indigeste des relations incestueuses avec les touaregs du nord Mali où Ouagadougou était ,pour eux, un paradis nourris et blanchis au frais du contribuable BURKINABÉ. Le parrain étant balayé par une tempête insurrectionelle, ces derniers ont évidemment une dette morale envers leur protecteur.
    Conséquence procéder par des frappes terroristes récurrentes au BURKINA pour démoraliser notre armée comme le confirment les écoutes téléphoniques de Soro et "ange"Djibril.

    Le BRAVE PEUPLE BURKINABE refuse obstentoirement la défaite. Il ne s’est jamais plié et ne se pliera jamais face aux forces du mal qui pensent que seule la terreur peut les faire parvenir à leurs fins. Tout naturellement le découragement et la résignation ne sont pas dans la culture du BURKINABÉ.

    Le BURKINA est béni par DIEU nous gagnerons à tout prix. Nous ne céderons jamais un millimètre carré aux terroristes et leurs amis car Le BURKINA est UN et INDIVISIBLE. Nos ancêtres nous ont transmis un BURKINA PAISIBLE et en retour nous leguerons par un BURKINA MEILLEUR, PAISIBLE et PROSPÉRE à nos enfants.

    Chères BRAVES FDS soyez assurés, le BRAVE PEUPLE toujours VICTORIEUX vous soutient massivement et indéfectiblement dans la lutte contre le mal. Grand Respect à vous pour l’excellent travail que vous menez chaque jour sur les terrains des opérations au péril de votre vie. Paix à l’âme des BRAVES FDS et des civils tombés.
    Chers frères militaires soyez bénis au Nom du SEIGNEUR lui qui est Juste et Bon. Le BURKINA ne tombera jamais car Dieu est du côté du BIEN. Tous ceux qui ont décidé de détruire notre chère Patrie ne pourront pas un instant parce que la VICTOIRE est BURKINABÉ.

    Soyez toujours forts. Votre patriotisme et votre bravoure ne se mesurent pas.Vous avez majestueusement sauvé le BRAVE PEUPLE aux moments(putsch le plus bête) et nous comptons sur vos forces inépuisables. Merci merci merci.

    Merci toujours chères BRAVES FDS. Bon Courage au CEMGA Moïse et à ses troupes prêtes pour la VICTOIRE.

    Que le SEIGNEUR bénisse le BURKINA que nous aimons beaucoup. Amen
    Paix et joie à tous les BURKINABES. Amen

    ACHILLE De TAPSOBA le Bobolais(pur produit de Thom SANK et de Norbert ZONGO)

  • Le 1er février 2019 à 08:06, par James En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    L’UNION FAIT LA FORCE.

    NOTRE PAYS EN LAMBEAU TÉMOIGNE DE LA DIVISION DES PEUPLES, DES CORPS CONSTITUES CAR AUCUNE NATION NE PEUT ÊTRE VICTORIEUSE DANS LA HAINE ET LA DIVISION. AUCUN CORPS N’EST SUPÉRIEUR A L’AUTRE. APRÈS LE RASSEMBLEMENT DE TOUS CES DIFFÉRENTS CORPS, IL NOUS REVIENT INDIVIDUELLEMENT DE COLLABORER AVEC L’ARMÉE POUR BARRER LA ROUTE AUX FORCES INVISIBLES.
    ON LE SAIT BIEN SI DIEU NE GARDE UNE VILLE LES GARDIENS VEUILLENT EN VAIN.
    QUE LE DIEU QUI A DIVISE LA MER POUR PERMETTRE AUX ISRAÉLITES DE TRAVERSER A SEC LE FASSE POUR NOTRE TRÈS CHER NATION.

  • Le 1er février 2019 à 08:21, par HUG En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    Bonne chance à vous et toute la troupe. Courage aux FDS car nous sommes de cour avec vous. Que DIEU vous accompagne.

  • Le 1er février 2019 à 08:49, par Arch En réponse à : Forces armées nationales : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    Il faut miner tout les pourtours des camps militaires
    Meme si c’est avec des mines artisanales comme eux.Au sortir de cette guerre l’armée doit etre aussi capable de fabriquer certaines armes de guerre.faites appels aux scientifiques meme civils l’armée americaine le fait.La guerre aujourd’hui n’est plus physique mais techniques.Des Burkinabè ici peuvent vous fabriquer des radars pour la surveillance du territoire. Mais avant tout si le commandement n’est pas depolitisé vous n’y arriverai à rien ceux en general doués ne sont pas politiques.Decorez,felicitez les militaires qui font preuve de bravours au combat. comme le dit quelqu’un les djhadistes vont nous obliger à recultiver le sens de l’honneur et la culture du mérite au detriment des deals et la corruption comme au temps de Sankara ou nous seront amenés à disparaitre.

  • Le 1er février 2019 à 08:57, par QUID En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    Bienvenu et bonne assise à vous mon Général, bien que vous serez assez occupé pour résoudre les innombrables et complexes problèmes de l’armée du faso.
    En effet, le mal de notre armée se trouve dans sa hiérarchie et surtout dans TED.
    De la hiérarchie :
    Les nombreux officiers hautement supérieurs sont concentrés dans la seule région du centre délaissant ainsi les autres régions .
    Leur place n’est pas dans les bureaux mais sur le terrain. Que celui qui ne veut pas aller en province démissionne ou ne soit pas promus au grade supérieur ! Faites comme au Maroc où ceux qui n’ont pas fait la zone Sud ne peuvent prétendre à un certain grade. Vous verrez que les choses vont changer.
    Il est incompréhensible qu’en cette période de d’insécurité, des détachements soient commandés par des sous officiers et/ou des officiers subalternes. La confiance entre les hommes et ces derniers ne peut être au beau fixe.

    Du TED :
    La répartition géographique des effectifs doit être respectée en tenant compte des menaces comme ce fut dans les années 80. Pas besoin de concentrer les gradés à Ouagadougou et saupoudrer les autres parties du pays avec des détachements à la merci des djiadistes. Tant qu’il y’a rupture de confiance entre la troupe et le commandement, rien d’operationnel ne peut être atteint. Comme le disait quelqu’un, "commander c’est le 1/4, exécuter c’est les 3/4, surtout quand ceux qui ordonnent ne sont pas à côté ". Sachez aussi que lorsque vous courrez la troupe marche ; lorsque vous marchez elle s’arrete ; lorsque vous vous arrêtez elle sassoit et lorsque vous vous asseyez elle se couche... bref.
    Il serait très intéressant que le nouveau CEMGA rencontre les différentes catégories de l’armée afin de crever l’abcès et réinstaurer la confiance sans laquelle tout acte serait vain ! Rencontrez les soldats, les sous officiers, les officiers subalternes sans leurs chefs et vous serez ébahis par ce qu’ils vous poseront comme problème. Trop d’inedits, toute chose qui crée une grande frustration dans les rangs.

    Bonne chance encore mais si vous voulez faire mieux que votre prédécesseur et arriver au bout du terrorisme, écoutez la troupe car sans elle, pas de commandement !
    MES DEVOIRS MON GÉNÉRAL

  • Le 1er février 2019 à 11:43, par nikos En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    félicitations au nouveau CEMGA et surtout bonne chance dans cette mission noble celle de la défense de la chère patrie vaille que vaille coûte k coûte. internautes, je voudrais véritablement savoir si vrai ce k les gens racontent que notre armée fuit à chaque fois que les djihadistes arrivent. Personnellement je refuse de croire à ça, le soldat burkinabè a un honneur qu’il sait et doit défendre même au prix du sacrifice suprême. kon ne me parle surtout pas de la puissance de feu de leurs armes car les américains ont plié devant le génie des vietnamiens qui combattaient avec des armes rustiques. il y a véritablement kelke chose qui cloche. Que le tout puissant bénisse le burkina faso. seule sa bonne et puissante main peut veiller sur nous.

  • Le 1er février 2019 à 12:11, par le sage En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    bon vent. Pour la réussite de votre mission, il faut travailler à chasser de l’armée les infiltrés.Tant que ces infiltrés coopérants de la métropole seront là, aucune stratégie ne peut réussir. Ayons le courage de Maurice Yameogo pour avoir une vraiment armée burkinabé republicaine, integre, intrepide. Le coopérant infiltré ne doit plus être a cœur de notre défense. SI après nous avoir colonisé, donné leur langue, donner leur monnaie et ils vont maintenant jusqu’à gérer notre defense et sécurité, nous retournons inexorablement au temps de l’esclave. Bientôt, le burkinabé est esclave de la france, ouvrons l’œil et le bon

  • Le 1er février 2019 à 12:24, par le sage En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    bon vent. Pour la réussite de votre mission, il faut travailler à chasser de l’armée les infiltrés.Tant que ces infiltrés coopérants de la métropole seront là, aucune stratégie ne peut réussir. Ayons le courage de Maurice Yameogo pour avoir une vraiment armée burkinabé republicaine, integre, intrepide. Le coopérant infiltré ne doit plus être a cœur de notre défense. SI après nous avoir colonisé, donné leur langue, donner leur monnaie et ils vont maintenant jusqu’à gérer notre defense et sécurité, nous retournons inexorablement au temps de l’esclave. Bientôt, le burkinabé est esclave de la france, ouvrons l’œil et le bon

  • Le 1er février 2019 à 14:47, par delta En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    Pour savoir s’il va réussir, il ira rendre visite ou pas aux Chefs de la Police, Douane, Eaux et Forêts, GPS, Police municipale. Il dira à tous de façon sincère qu’ils ont une responsabilité dans la lutte. Il réfléchira à comment réaménager et améliorer la formation de tous ces corps pour les adapter au nouveau contexte. Il œuvrera à ce que ces hommes soient fiers d’appartenir à une nation et ne pas prendre l’argent de la popote et de la scolarité de leurs enfants pour payer des tenues paramilitaires

  • Le 1er février 2019 à 15:46, par GANDAOGO En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    nous vous souhaitons plein succès.
    Que Dieu vous accompagne, la victoire c’est pour très bientôt !

  • Le 4 février 2019 à 11:59, par SANOU FOUSSENI En réponse à : Forces armées nationales du Burkina Faso : Moïse Miningou tient enfin le bâton de commandement

    Nous vous souhaitons le courage nécessaire pour faire la réorganisation indispensable pour cette victoire qui nous est obligatoire. CEMGA soyez un chef de proximité visitez les soldats approchez vous d’eux et tous ceux qui sont sous vos ordre suivrons exemple. Et surtout instorez un service de renseignements poussé, afin de recenser tous les groupes de prêches islamiste radical sur l’étandu du territoire. Ils doivent planifier des actions, émettre et recevoir des plans aussi via les réseaux sociaux. Nous devons être capable de les traquer depuis leur source au jusqu’au cm2. Que Dieu tout puissant garde et bénis notre pays le Burkina Faso. La patrie ou la mort nous vaincrons.

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