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Académie militaire Georges-Namoano : 47 nouveaux sous-lieutenants pour servir la nation avec « dévouement »

LEFASO.NET | Par Marcus Kouaman

Publié le lundi 6 août 2018 à 22h20min

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Académie militaire Georges-Namoano : 47 nouveaux sous-lieutenants pour servir la nation avec « dévouement »

Le président du Faso, Roch Kaboré, chef suprême des Forces armées nationales, a patronné la cérémonie de sortie de la 17e promotion des élèves-officiers d’active. C’était ce samedi 4 août 2018, à l’Académie militaire Georges-Namoano, dans la ville de Pô, province du Nahouri (région du Centre-Sud).

Le 21 octobre 2016, 47 élèves-officiers d’active débutaient la formation initiale. Deux ans après, ils sont jugés aptes à porter le grade de sous-lieutenant et de renforcer les rangs des Forces armées nationales avec dévouement. « Dévouement », c’est avec ce nom de baptême donné par le chef suprême des Forces armées nationales, Roch Kaboré, que la 17e promotion compte servir le pays des Hommes intègres.

Pour le délégué de promotion, le sous-lieutenant Alexandre Bienvenu Sawadogo, les modules de connaissances des armes et services de connaissances du monde, la natation, le secourisme de combat et la sécurité incendie ; le module de directeur de mise en œuvre des explosifs ; la phase d’adaptation et de mise en train, le bahutage (étape de rupture avec l’esprit civil et la naissance de la vie militaire) ; le saut en parachute ; la grande marche de 192 km appelé Raid Akouhounkoun sur l’axe Léo-Gaoua, ont contribué entre autres à leur développement intellectuel et moral.

Taux de réussite de 100%

Des épreuves que les 47 élèves-officiers d’active ont surmontées pour obtenir un résultat de 100% pour chacun de ces modules et stages. Avec des moyennes allant de 10,85 à 15,15, soit une moyenne générale de promotion de 13,46. « Ces résultats sont le fruit de la détermination, du courage, du dynamisme et des efforts des élèves et surtout de l’encadrement ». Il a rappelé à ses camarades que : « le militaire prend des décisions et les exprime en ordres et les ordres ne sont bien exécutés que si ceux qui les reçoivent en ont compris le but et la portée ».

Selon le commandant de l’Académie militaire Georges-Namoano, le lieutenant-colonel Yves Ouédraogo, ces stagiaires ont bénéficié d’un programme de formation multidisciplinaire intégrant une gamme complète de savoir, de savoir-faire et de savoir-être qui les rendent ainsi aptes à remplir avec compétence, rigueur et professionnalise, les fonctions dévolues à un jeune officier. « Soyez de véritables professionnels et distinguez-vous toujours par votre disponibilité et votre souci constant de vous perfectionner », a-t-il souligné. Il a par ailleurs invité les futurs employeurs de ces jeunes à être des guides bienveillants disposé à les accompagner vers un épanouissement professionnel.

Le chef d’état-major général des armées, le général Oumarou Sadou, a remercié le chef suprême des armées d’honorer de sa présence ce grand rendez-vous de la vie des armées et à l’attachement particulier qu’il porte aux Forces armées nationales (FAN), en ces temps de crise sécuritaire et de lutte contre le terrorisme. Cela se traduit donc par les efforts consentis pour permettre aux FAN de faire face aux nouvelles menaces. Il a également exprimé sa reconnaissance au général Kodio Lougué, ambassadeur du Burkina au Mali, d’avoir accepté de parrainer la 17e promotion des élèves-officiers d’active.

Tout en félicitant les « jeunes gens » pour ce choix noble de s’engager dans les Forces armées nationales, le général Sadou leur a prodigué quelques conseils afin qu’ils aient une belle carrière militaire. « Mais quelles que soient les raisons profondes qui ont motivé ce choix, j’espère que vous en mesurez le sens et la portée. Le métier dans lequel vous vous engagez, est celui du devoir, du don de soi et du sacrifice. Il est exigeant autant qu’exaltant. De ce métier, très vite vous en connaitrez les contraintes, les rudesses mais également les âpres satisfactions. Plus encore, vous découvrirez les sublimes exigences du statut de l’officier auquel vous aspirez », a-t-il indiqué, tout en leur souhaitant « bon vent ».

Marcus Kouaman
Lefaso.net

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Vos réactions (19)

par Ka, 6 août 2018 14:34

Quelle gâchis pour nous autres affamés des informés suivis des images qui nous font rêvées ? Surtout à la jeunesse qui veut inspirer de ce qu’elle voit pour confirmer leur choix. La difficulté des politiciens du Burkinabé et leur armée de pacotille, se caractérise par l’absence de culture politique avancée dans l’ouverture. Exprimé par les commentaires muets a la Charli Chaplin sans des images vivantes qui donne des idées est révolu de nos jours. Merci à Lefaso.net de nous avoir dit pourquoi l’absence des images de cet évènement chaud aux cœurs des parents et amis des militaires. Nous vos lecteurs, vous comprennent parfaitement, sans comprendre les attitudes de nos bornés décideurs. Le nid construit par l’idéologue et valeureux Thomas Sankara a toujours ouverts ses portes au peuple et les photographes à chaque évènement de cet importance. A bas a un pouvoir qui veut faire taire la vérité, et manipuler son peuple.

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- par Mafoi, 7 août 2018 05:18
  
  Dans les plus grandes puissances militaires,ils sortent chaque année des milliers de valeureux combattants sans que la masse populaire ne soit au courant(ni cérémonie en grande pompe,ni reportage,ni photo télé-presse écrite) mais ça n’émeut personne.En fait ce que le citoyen lambda souhaite,c’est l’efficacité sur le terrain alors que sous nos tropiques,nous nous accrochons toujours à l’infiniment petit avec une certaine exagération où tout doit être pompeux afin d’en mettre plein la vue.Je veux dire par là que ce débat sur les images me laisse de marbre car je préfère me passer de ça tout en ayant l’assurance que les formés sont des professionnels,ce qui n’est pas le cas où nous avons des militaires mal formés,sous équipés et surtout manquant cruellement de conviction.Donc si j’étais journaliste,je me passerai de ce genre de cérémonies car image ou pas,ça n’apporte rien comme info sauf si bien sûr on cherche à meubler le temps de ses lecteurs comme je le suis présentement
  
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- par TANGA, 7 août 2018 08:36
  
  Insulter pour insulter, vous démontrer ainsi votre médiocrité. Le médiocre ce n’est pas celui qui a fait son boulot, ce n’est pas celui qui a décidé que tel ou tel autre appareil ne prendra pas de photo. Non, c’est celui là qui se croit tout permis. Il ne cherche pas à comprendre pourquoi. Et, c’est ainsi faisant que sous la pression, certains se laisse embobinés et ouvrent toutes les portes. Quand toutes les portes sont ouvertes, tout devient alors possible. C’est ce que vous voulez ? A ce journaliste, fais pardon et utilise ce que l’on te permet. Tu semble ainsi vouloir monter l’opinion contre la sécurité. Puis vous parlez de ce que Thomas SANKARA a bien construit, QU’EST CE QUE VOUS SAVEZ DE THOMAS ?
  
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  - par Ka, 7 août 2018 12:10
    
    Mon cher ami, ou mets-tu le dur labeur durant sa courte vie pris par François Compaoré de notre valeureux frère Norbert Zongo pour la liberté d’exprimer, dont le Burkina est connu internatio-nalement ? Insinuer que je ne connais pas mon petit frère Tho-mas Sankara, tu es très malhonnête. Jeune cadre et conseiller technique d’orientation de l’état dans la capitale du Nahouri, j’ai vu comme tous la population de Pô débarqué en 1976 un sous-lieutenant Thomas Sankara avec 30 homme pour créer le CNEC. Ils ont installé leur quartier en ville dans bâtiment de la direction provinciale ou j’avais mon Bureau. Durant son séjour de création de ce camp d’entrainement commando (CNEC) on voyait le jeune Thomas et ses hommes participés à tous les évènements sociaux de la cité avec nous. Et si tous les cadres de Nahouri a l’époque peuvent être francs, ils peuvent confirmer, que la personnalité de Thomas Sankara et son ouverture d’esprit à favoriser le développement du camp, mais aussi il travaillait avec les jeunes civils de la ville, et a acquis rapidement la confiance de tout le peuple de Nahouri qui était fier du camp d’entrainement de Thomas Sankara. Et si Luc Kourouma peut me joindre, il peut confirmer mes arguments, et dire que le peuple de Nahouri considérait Thomas Sankara comme leur fils. Ce que je retiens de cet homme infatigable, il impliquait avec ses soldats dans les actions du développement de la ville de Pô et inculquait aux populations la né cécité de se prendre en charge quand elles développent des initiatives : Et surtout facilitait aussi notre travail de cadres d’orientions. Thomas nous appris à se révolter contre l’injustice, et je lui ai suivi jusqu’à ce 15 Octobre 1987 à 16h, même si j’étais a Bobo avec les pionnières et les pionniers. de la révolution. Alors tu la ferme. Quand a ce problèmes des militaires indisciplinés qui obéissent des pacotilles, il faut mettre dans ton petit crane de crapaud, que tous les reporters sous les ordres de l’homme a la plume d’or qui est Dr. C. Paré, suivent a la lettre le code de déontologie des journalistes au Burkina depuis la création du site de Lefaso.net. Ils savent jusqu’où ils peuvent aller, car dans ce code de la déontologie journalistique au Burkina, rien n’est mentionné qu’on ne peut pas filmer avec son téléphone portable. Et si Le CSC veut sanctionner de manière impitoyable tout manquement, ce sont les militaires et non les reporters, et c’est ma philosophie de voir ce qui se passe. Merci de me lire.
    
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    - par abdou, 8 août 2018 09:16
      
      Merci Ka pour cette réponse on ne peut plus claire. Quand quelqu’un vient dire Que sait-on de Thomas ? pour insinuer en fait qu’il n’a rien rein fait pour le CNEC de Po, on se demande ce qui se passe vraiment dans sa tête.
      
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      - par Ka, 8 août 2018 11:17
        
        Abdou Merci de me lire : Les deux internautes Mafoi et Tanga dont je croyais des internautes de bonne foi, me déçoivent sur cette analyse : J’attendais que le morveux Tanga réponde à mon auto critique si vraiment il connaissait Thomas Sankara plus que moi. Malheureusement il a fermé sa salle gueule. Thomas Sankara a créé le CNEC sous mes yeux et devant la population de Pô en 1976 avec ses 30 éléments, parmi eux Blaise Compaoré. Un centre devenu l’Académie militaire Georges Namoano. De 1976-1977, j’ai vu un Thomas Sankara travaillé très tard dans son bureau pour donner une vraie valeur a ce centre : C’est avec Thomas Sankara que les éléments de ce centre ont appris que la discipline, la sincérité, et l’intelligence, et autres, sont les qualités d’un bon militaire, et doivent être mis en avant pour le sens de l’honneur, la probité, le professionnalisme et le bon comportement : Et ces enseignements de Thomas Sankara a ses éléments, allaient aussi a la jeunesse de la ville de Pô qui l’écoutait comme leur grand-frère. Avec Thomas Sankara, on mangeait le riz au poisson de la vendeuse Mme Hien en se plaisantant. Et voir un petit morveux qui me demande qu’est-ce que je connaisse de l’idéologue Thomas Sankara me donne de vomir. Et je dis à ces nouveaux venus sur le forum de Lefsao.net, que pour des autos critiques, elles doivent être suivis des argumentations solides et du vécu.
        
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- par bassou, 7 août 2018 12:25
  
  Alors le faso.net, equipez vos journalistes avec des appareils photos professionnels. Je suis d’accord qu’il y a des appareils portables de qualite moins sure pour la photo. Et pour une ceremonie comme celle-là, il y a de quoi. D’accord avec les organisateurs. Pour ceux qui en sont pas d’accord, organiser vos ceremonies et utilisez des appareils de mauvaise qualite. Ca ne traduira pas correctement que vous vous voudriez.
  
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- par Yako, 7 août 2018 12:46
  
  Vraiment ce petit vieux Ka nous casse les c...avec ses bla bla mal conçus qui ne respectent ni les règles de la langue dans les formes ni la cohérence dans les idées.En quoi le président Thomas Sankara est un idéologue ? leader n’est pas synonyme d’idéologue.Certes le cnr avait une idéologie comme axe politique qui est lui même difficile à définir comme idéologie.Le président Thomas Sankara n’était ni marxiste/léniniste ni un révolutionnaire de type latino.C’était un patriote issu de l’armée qui a accédé au pouvoir par un putsch faute de pouvoir y parvenir par les schémas réglementaires.Puis où est le rapport avec le sujet,les injures..?Il va falloir voir un psy pour quelqus séances car tu en as vraisemblablement besoin.Prompt rétablissement.Fraternellement Yako
  
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  - par Ka, 7 août 2018 14:29
    
    Yako es-tu capable d’écrire sur ton mentor Blaise Compaoré que Thomas Sankara a fait de lui, et de ce qu’il était à Pô ? Surtout jusqu’au jour il a été appelé par le CMRPN comme ministre, et céda sa place de patron a l’introverti poltron qui lui a canardé sans aucun état d’âme ? Ne t’aventure pas sur des sujets que tu ignores totalement. Quand Thomas a décidé de faire sa révolution en 1983, tout le camp d’entrainement était avec lui, même si la population de Nahouri ne savait pas ce qui se tramait, elle a fait bloc derrière leur fils Thomas Sankara, à cause de ses idées sorties d’un cerveau d’un super idéologue. La révolution de l’idéologue Thomas Sankara a ouvert par la suite les yeux de toutes et tous les Burkinabé, et fortifié l’unité de toute une nation durant quatre ans. Yako, si tu peux sortir une argumention solide sur ton mentor Blaise Compaoré, avec des témoins comme je le fais avec le peuple Nahouri sur Thomas Sankara, fait le pour que les lecteurs de Lefaso.net puissent nous juger. Le cas contraire, tu la ferme. Eh oui, la vérité blesse parfois, mais il faut savoir la regarder en face plutôt que faire la stratégie de l’autruche ou imputer vos propres faiblesses. Toi le faut partisan de Blaise Compaoré pour se faire voir comme LAGUI, je te demande d’arrêter et devenir un adulte au lieu de gâcher tout ce que Thomas Sankara nous a apporté.
    
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par Waguess, 6 août 2018 16:11

Merci là bas, je pense que c’est comme ça qu’il faut faire avec tous ces organisateurs zélés. Comment comprendre que vous même vous adresser une demande de couverture médiatique à des orhanses, vous organisateurs convoyez les journalistes dans votre propre véhicule jusqu’à destination pour venir dire sur place que leur appareil ne doit pas être utilisé ? Quelle absurdité ? Pourquoi n’avoir pas signalé ça dès le départ ?

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par Le JET7, 7 août 2018 02:12

Merci au Président ROCH KAKORE qui a accepté continuer l’œuvre gigantesque du visionnaire Blaise COMPAORE, l’initiateur de cette académie militaire. Le Général Diendiéré doit s’en féliciter ; lui qui a forgé cette académie.

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- par Azimmo15, 7 août 2018 09:21
  
  Tu fais rire toi ! Si Blaise n’avait pas créé cette académie, quelqu’un d’autre l’aurait fait. Dans presque tous les pays du monde, il y’a des écoles d’officier. C’est régalien et c’est tout à fait normal. Ne venez pas nous faire croire que c’est Blaise qui a inventé l’eau chaude !
  
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  - par le choco, 7 août 2018 11:05
    
    Si Blaise ne l’avait pas fait .........bla bla.. mais Blaise l’a fait et il convient de le rappeler à ceux qui veulent, au mépris de la réalité têtues des faits, le passer sous silence...Soufrer qu’on en parle si c’est vrai....Il n’a pas inventer l’eau chaude sauf que c’est lui qui a chauffer l’eau tout de même pour le thé de papou...
    
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- par Sawad, 7 août 2018 13:43
  
  L’Académie militaire Georges Namoano a été créée le 18 octobre 1984 par décret N° 84-40/CNR/PRES/DN-AC. A ses debuts , elle portait la denomination de "Académie militaire de Pô (A.M.P)" puis de "Académie Militaire Georges NAMOANO (AMGN) " le 23 août 1985 pour rendre hommage à l’élève-officier Georges Namoano décédé lors d’une mission. Mon cher monsieur, Sankara fut le véritable créateur de cette académie. Ne dites pas des contre vérités. Sawadogo
  
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- par Le Roi, 7 août 2018 16:35
  
  Tu mens c’est sous la révolution de Thomas Sankara que l’Académie militaire de Po fût créé . Ou bien c’est l’ignorance ou bien c’est la malhonnêteté. Dans tous les cas c’est un flagrant délit de mensonge. Si d’aventure tu es un vrai burkinabè tu devrais tirer toutes les conséquences !
  
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par Atrap Le Moize, 7 août 2018 07:27

Monsieur Le JET7, tu en as encore combien les conneries de ce genre ? Blaise le visionnaire...et puis quoi encore ? Pourquoi pas Blaise le Grand Leader Éclairé de 4000 ampoules LED ? etc, etc. Tu ne serais plutôt pas monsieur le PET7 ?

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par yerbanga henri joel, 7 août 2018 09:19

Merci à tous ceux qui ont dirigé ce centre d’entrainement commando qui fait la fierté de notre pays aujourd’hui comme quoi les hommes de vision ne meurt pas mais ils s’incarnent dans leurs œuvres et vive le Burkina-Faso. Nous sommes très fier de cette école de formation qui dépasse les frontières du Burkina et vive nos forces de défense et sécurité. Que le seigneur vous bénis tous et vous protège abondamment parce que nous sommes fier de vous.

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par tororoso, 7 août 2018 14:03

Courage à vous Vive le Burkina Faso Vive la patrie

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par sheiky, 8 août 2018 14:28

On n’a pas vraiment besoin des images il me semble. En plus, avec les téléphones, les images vont directement sur les réseaux sociaux. De grâce, je pense qu’il faut arrêter cette polémique sur l’oeuvre de Sankara à PÔ. Il n’est pas un sain, c’est vrai. Il a commis des erreurs c’est encore plus vrai. Une de ses plus grandes erreurs se nomme Blaise Compaoré même si celui-ci lui a été d’une certaine assistance à un moment donné. A Césare ce qui est à César. Il est notoirement connu la qualité de Tom Sank en matière d’organisation et d’innovation ainsi que sa valeur. La paternité du CNEC devenu AMGN n’a pas lieu d’être et ceux qui le remettent en cause ne me semblent pas objectifs ou c’est simplement une méconnaissance ou une mauvaise analyse de l’histoire. Au délà des personnes, c’est une question nationale. Les occidentaux font assez pour travestir et tronquer certains pans de l’histoire de nos pays. Blaise a mis beaucoup d’energie également à effacer/tronquer l’histoire par rapport à Sankara. Il est temps d’arrêter cela.

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