Proverbe du Jour : “Il faut penser tout ce qu’il y a de pensable dans l’impensable” De Vladimir Jankélévitch
Retrait de la CEDEAO : Après le Mali, le Burkina Faso réitère le caractère irréversible de sa décision de se retirer sans délai
Dans un communiqué signé ce 7 février 2024 en réponse à la CEDEAO, le Gouvernement burkinabè, réitère le caractère irréversible de sa décision de se retirer sans délai de la CEDEAO.
Une décision qui intervient après celle de la République du Mali.
Tout comme le Mali, le Burkina Faso justifie cette décision par la violation par l’Organisation de ses propres textes, ainsi que les autres raisons légitimes mentionnées dans le Communiqué conjoint N°001 du Burkina Faso, de la République du Mali et de la République du Niger en date du 28 Janvier 2024.
Retrouvez l’intégralité du communiqué du Gouvernement du Burkina Faso dans le document ci-après :
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7 février, 20:23, par *
HUG
Tout cela.pour ne pas organiser les e elections. Mais c est peine.perdu car après juillet 2024, la cedeao va vous demander des comptes.La.loi est dure mais c esr la loi.
9 février, 15:51, par *
Vérité Indiscutable
M. HUG est un vrai plaisantin du Faso. Qu’ils viennent réclamer des comptes après Juillet et on verra. Les petits politiciens au Faso doivent s’armer de patience. Tant que notre Transition n’a pas assaini le pays, vous naviguez en vain !
Rires
7 février, 20:58, par *
Citoyen ordinaire
Avec ces réponses, qu’est-ce la CEDEAO attend pour faire tomber d’autres sanctions ou même mobiliser les troupes pour chasser ces gouvernements de putchistes ! Cela fera beaucoup plaisir à Emmanuel MACRON et à ses valets locaux africains ! Pendant ce temps, on ferme volontairement les yeux sur le nouveau putsch constitutionnel qui se déroule sous les yeux de tout le monde au Sénégal de Macky "Sale" qui, de par sa volonté de rester au pouvoir a envoyé beaucoup de sénégalais au cimetière ! Minable et indigne CEDEAO !
8 février, 04:27, par *
Zadi-bagnon
La loi est dure mais c’est la loi. À mon humble avis les dirigeants de ces trois pays font de l’amateurisme. On ne quitte pas une organisation comme la CEDEAO sans un minimum de concertation. J’ai bcp pitié pour le peuple qui est pris en otage. Gare à celui qui va s’exprimer à contre courant. C’est l’enlèvement direct. Burkina, mali et Niger vous allez droit dans le mur. Il est temps de se ressaisir.
8 février, 14:21, par *
Burkina
Ayez pitié de vous même et laissez le peuple tranquille. Quand le peuple estimera que les choix politiques du gouvernement ne font pas son affaire il s’exprimera comme il l’a maintes fois fait dans le passé. Et personne ne vous oblige vous à ne pas rester membre de cette cochonnerie.
9 février, 15:55, par *
Vérité Indiscutable
Mon cher Zadi-bagnon,
ce n’est pas toi le peuple. S’il y a referendum, tu verras que le peuple est d’accord à 99% avec les autorités actuelles. Vos petites agitations ne nous empêchent pas de continuer notre marche irréversible vers la libération totale. Vous perdez votre temps.
12 février, 14:42, par *
Mouna
Ils font pitié ces putschistes avec leur ministres qui ne savent pas ce qu ils veulent. Comme si c etait un chantage. Si vous etes sûrs de vous pourquoi tout ce tapage ? Tchrrrrŕ