CEFORE : Difficultés techniques liées à des dysfonctionnements informatiques sur le Système Intégré des Guichets Uniques
La Maison de l’Entreprise du Burkina Faso (MEBF) informe les usagers des Centres de Formalités des Entreprises (CEFORE) de Ouagadougou et des autres localités que ses services font face, depuis le mardi 19 avril 2022, à des difficultés techniques liées à des dysfonctionnements informatiques sur le Système Intégré des Guichets Uniques (SIGU).
Cette situation n’a pas permis aux CEFORE de recevoir et de traiter convenablement les dossiers des promoteurs qui souhaitaient accomplir des formalités d’entreprises.
L’équipe technique de la MEBF, en partenariat avec les structures impliquées, a travaillé à un retour rapide à la normale.
Tous les promoteurs qui souhaiteraient recevoir des informations, déposer leurs dossiers ou apporter des compléments de pièces sont invités à prendre attache avec le CEFORE de leur région. Nos conseillers restent disponibles pour les recevoir et faciliter le traitement de leurs requêtes.
Par ailleurs, il est porté à votre connaissance que, pour compter du lundi 25 avril 2022, les CEFORE vont migrer vers une nouvelle plateforme de création des entreprises, sur toute l’étendue du territoire national.
La MEBF présente ses excuses à tous les promoteurs et partenaires pour les désagréments causés par ce dysfonctionnement.
Par la même occasion, elle sollicite votre indulgence et votre accompagnement afin de réussir l’opération de migration vers la nouvelle plateforme qui vise à aplanir ces difficultés.
Karim OUATTARA
Directeur Général
Vos commentaires
1. Le 4 juillet 2022 à 16:02, par Sawadogo antoine En réponse à : CEFORE : Difficultés techniques liées à des dysfonctionnements informatiques sur le Système Intégré des Guichets Uniques
Les dossiers sont toujours bloqués à ce jour début juillet. C’est de l’incompétence caractérisée. Ou vont les fonds publics ? Une enquête globale devrait être sérieusement menée, car tout cela porte préjudice aux contribuables qui ont des projets de sociétés. C’est une veritable honte.