Actualités :: Burkina Faso : 28 décembre, journée de la démocratie

Chaque 15 septembre, la communauté internationale commémore la Journée de la démocratie. Cette année, l’évènement est commémoré en différé au Burkina par le Centre pour la gouvernance démocratique (CGD). C’est pour ce vendredi, 28 décembre 2018 au siège de l’organisation, sis à Ouaga 2000.

« La démocratie paraît actuellement plus vulnérable qu’elle ne l’a été depuis des décennies. C’est pourquoi cette journée internationale devrait nous amener à rechercher les moyens de la renforcer, ainsi que des solutions aux difficultés systémiques qui la menacent », estime António Guterres, secrétaire général de l’Organisation des nations unies (ONU). Cette halte se veut donc une occasion de chercher des moyens de revigorer la démocratie et de chercher des réponses aux défis systémiques auxquels elle est confrontée, poursuit-il. Cela implique, étale-t-il, de lutter contre les inégalités économiques et politiques, de rendre les démocraties plus inclusives en rassemblant les jeunes et les personnes marginalisées dans le système politique et de rendre les démocraties plus innovantes et réactives aux défis émergents tels que les migrations et le changement climatique.

Connu pour son combat pour la bonne gouvernance, la démocratie, le CGD n’entend pas clore l’année sans marquer cet arrêt important. C’est un instant pour les acteurs de la démocratie de s’interroger sur cette option de gouvernance : la démocratie.

Selon les responsables du CGD (http://www.cgd-igd.org/), cette journée, qui aura lieu à son siège, sera marquée notamment par une foire avec une rue marchande où seront positionnés les partis politiques et les organisations de la société civile pour parler de leurs activités et répondre aux questions et préoccupations des journalistes et visiteurs qui leur seront adressées.

« Cette année, avec le volume des activités, on n’a pas pu être à la date (15 septembre, ndlr). Donc, on a voulu commémorer ça en différé en mettant en avant les principaux acteurs : les partis politiques, les organisations de la société civile, etc. », explique le directeur exécutif du CGD, Dr Thomas Ouédraogo.

OL
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