Actualités :: Burkina : Le paysage politique va enregistrer, ce samedi, la création de la (...)

« Nous pensons que les bords et l’institutionnalisation de l’opposition gêne le combat, et cela doit même cesser ! ». C’est la hargne que laissent apparaître les fondateurs de cette nouvelle organisation politique en gestation. Selon des sources, tout serait fin prêt et le parti sera dévoilé à l’opinion publique nationale et internationale dans l’après-midi de ce samedi 31 juillet 2021 (à 14h30) à Ouagadougou, plus précisément à la Maison de la Femme sise à Dagnoën.

A en croire nos sources, l’initiative est portée par, entre autres, des « acteurs jeunes nouvellement émergents sur la scène actuelle, de jeunes universitaires, des cadres, des leaders de mouvements estudiantins des années 98, 99 et 2000, des mouvements citoyens de 2014 ».

« Notre initiative du 31 juillet 2021 consiste à mettre au point, un parti politique qui s’inscrit dans une option de Rupture dans un esprit d’une citoyenneté politique : rupture dans la gouvernance et d’acteurs de génération politique et de relève politique conséquente… », s’ouvre un des membres-fondateurs, leader bien connu des années de luttes estudiantines au Burkina.

« Nous subissons un personnel politique épuisé, envahissant et monopolistique. Et rupture dans l’élan d’un décollage et du développement réel du Burkina Faso. Enfin, notre rupture est celle d’une révision d’une approche dans les relations et institutions africaines ainsi le rapport de celles-ci avec le reste du monde ; une unité africaine concrète basée sur des objectifs, enjeux et besoin précis pour assurer les liens et bien être des africains », justifie-t-il avant d’ajouter que tous ces éléments concourent à une vision d’un Burkina moderne reposé sur un socle de valeurs endogènes et universelles.

Sondées sur la tendance de ce parti en naissance, les sources expliquent qu’il n’appartiendra à aucun bord. « C’est une opposition libre. Nous pensons d’ailleurs que les bords et l’institutionnalisation de l’opposition gênent le combat, et cela doit même cesser ! », perçoivent les porteurs de cette initiative de « rupture » et de ‘’combat’’.

De même, idéologiquement, « nous sommes progressistes ; nous mettons en avant l’intérêt général avec un progrès véritable de notre société dans un bien-être partagé. Nous nous situons dans une approche économique de transition (l’économie de transition) ».

O.L.O.

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