Des noms de personnalités attribués aux universités de Fada N’Gourma, de Ouahigouya et de Dédougou

Vos réactions (4)

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• par HA, 5 avril 2024 10:17

  Quelles sont les vraies raisons qui sous-tendent ces changements des dénominations ? "Université de Fada N’Gourma" ou "université de Ouahigouya" ou "université de Dédougou" honore toutes les régions concernées plutôt que les noms des individus. Si une université peut être spécifiée comme une classe, les éléments de spécification peuvent être composés des : éléments communs (nom et définition), et spécifications de la classe (responsabilités, attributs, opérations, contraintes, états, control des exports, cardinalité, paramètres, persistance, concurrence, complexité spatiale). Un nom est juste un identifiant et on donne une définition fonctionnelle ou sémantique à cela. Et les autres spécifications ? Il se peut même qu’il existe des universités qui n’ont même de livres, de bibliothèques pour remplir leurs responsabilités et opérations d’université simplement. Et pourquoi on identifie le nom de l’université à un fils ressortissant de la région ? Je trouve cette façon de faire non pertinente. "Université de Fada N’Gourma" ou "université de Ouahigouya" ou "université de Dédougou" honore toutes les régions concernées plutôt que les noms des individus.

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• par Le Duc du Yatenga Nouveau, 5 avril 2024 11:41

  Il faut rouvrir le Lycée Philippe Zinda KABORE qui est entrain de sombrer dans les ordures !

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  • par hummmm, 5 avril 2024 15:38

    Oui a l’ouverture du Zinda mais pas sous sa forme ancienne. Il est plus opportun de poursuivre le projet de sa transformation en centre d excellence. Les lycées des communes de Ouagadougou disposent de grands espaces ou il faut construire des classes pour rapprocher l écoles aux élèves. Le Zinda est bien très éloigné des élèves aux revenus faibles et moyens.

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  • par hummmm, 5 avril 2024 15:38

    Oui a l’ouverture du Zinda mais pas sous sa forme ancienne. Il est plus opportun de poursuivre le projet de sa transformation en centre d excellence. Les lycées des communes de Ouagadougou disposent de grands espaces ou il faut construire des classes pour rapprocher l écoles aux élèves. Le Zinda est bien très éloigné des élèves aux revenus faibles et moyens.

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