Burkina/Contrôle de présence et des rémunérations des agents de l’Etat : Plus de 500 agents en situation irrégulière
L’hebdomadaire conseil des ministres s’est tenu le mercredi 24 janvier 2024 sous la présidence du capitaine Ibrahim Traoré, président de la transition, chef de l’Etat. Au titre du ministère de l’Economie, des Finances et de la Prospective, le conseil a examiné un dossier portant guide de maturation des projets. Selon le ministre en charge des finances Aboubakar Nacanabo, le guide en vigueur date de 2018 et une étude a montré qu’il présente quelques limites et ne répond pas aux priorités du moment. Un autre dossier concernant ce ministère est l’opération de contrôle de services faits, de présence et des éléments de rémunération des agents de l’Etat particulièrement ceux de l’Agence nationale des soins de santé primaire. Il en ressort que plus de 500 agents sont en situation irrégulière ou perçoivent des rémunérations fictives ou encore font l’objet de double mandatement. Les explications du ministre Nacanabo.
Vos commentaires
1. Le 25 janvier à 17:09, par @@GOG En réponse à : Burkina/Contrôle de présence et des rémunérations des agents de l’Etat : Plus de 500 agents en situation irrégulière
Votre "fonction publique" n’est pas une fonction publique.500 agents en situation irrégulière ,c’est indigne d’une fonction publique.
C’est dans ces histoires d’agents en situation irrégulière que les détourneurs construisent leurs châteaux ,se payent des prados ou hailanders.
Comment ç’ a pu être possible.Tous les ministres de fonctions et d’économie publiques sont responsables de la situation.
.Comme si c’est des analphabetes qui gèrent les ressources du pays !Votre fonction publique est un casino
J’ai honte 2
Répondre à ce message
2. Le 25 janvier à 17:57, par Indjaba En réponse à : Burkina/Contrôle de présence et des rémunérations des agents de l’Etat : Plus de 500 agents en situation irrégulière
Commencer par les choses les plus simples d’abord. Il faut interdire la diffusion sur la RNB du fameux communiqué : ’’Madame ou Mr un tel ayant abandonné son poste depuis 3 mois (pendant lesquels son salaire tombe )est prié de le rejoindre dans un délai de 10 jours avant que la procédure de licenciement ne soit déclenchée." Pourquoi au privé une absence non justifiée de quelques heures peut conduire au licenciement et à la fonction publique il faut attendre que l’agent disparaisse pendant au moins 3 moins et il a luxe de bénéficier d’un communiqué et même d’un bonus de 10 jours au-delà des 3 mois cadeau ?
Répondre à ce message
3. Le 26 janvier à 11:48, par kwiliga En réponse à : Burkina/Contrôle de présence et des rémunérations des agents de l’Etat : Plus de 500 agents en situation irrégulière
Râleur impénitent, je ne peux que constater que, une fois n’est pas coutume, les choses vont dans le bon sens.
A quand la suspension des formations, séminaires, plateformes de truc,... décentralisés à Koudougou ou Ziniaré, souvent stériles et parfaitement budgétivores ?
Répondre à ce message