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Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

14 juin 2018, 06:58, par Ka

Qu’il pleuve ou qu’il neige, sous le régime du président au cœur du Christ qui est Roch Kaboré, les vrais criminels qui se disent malins et puissants ne dormiront pas tranquille. J’ai connu le jeune Banquier a son bureau a la BIB, une personne de type sangsue très maniable par tous, mais quand il décide de piquer, il ne veut laisser aucune goutte de sang échappé de sa gorge. Qu’il soit un Diendéré Gilbert, Un François Compaoré, Un Djibril Bassolé, tous mêlés aux anciens crimes de sang et qui se disent amis a se président mouta mouta y passeront par la justice.

Pour ce président maniable par tous, Il y a un point qu’il ne badine pas, ‘’’’la promesse et la parole donnée.’’’’ Si je me permets de dire que le régime Roch Kaboré se rattrapera des erreurs du passé, comme les crimes de sang en respectant ses promesses et sa parole donnée, ce n’est pas que je défends ce régime, loin de là : Voilà ce que le président mouta mouta promettait a son peuple, et aussi à celles ou ceux, plus de 50% l’ont voté : ‘’’A l’occasion de célébration du 57e anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso dans son discours radiotélévisé, il a dit au peuple ; ‘’Nous devons tout faire pour que la justice soit rendue dans toutes (les) affaires sensibles pour aider notre peuple à se réconcilier avec son histoire, pour ramener la paix des cœurs et créer les conditions propices à la contribution de tous les Burkinabè à l’œuvre de construction nationale."
"La réconciliation nationale reste un enjeu majeur que nous devons réussir, dans l’intérêt supérieur de la nation", a-t-il dit.

La justice militaire, une juridiction d’exception, doit solder une longue série de dossiers, dont principalement ceux du putsch manqué de septembre 2015 et de l’assassinat du "père de la révolution" burkinabè, le capitaine Thomas Sankara, tué lors du coup d’Etat qui porta l’ex-président Blaise Compaoré au pouvoir en 1987.

Également en instance, le dossier du journaliste d’investigation Norbert Zongo, tué en 1998 avec trois compagnons, a connu une évolution avec la mise sous contrôle judiciaire de François Compaoré, frère du président déchu Blaise Compaoré, poursuivi pour "incitation à assassinats".

Pour finir son discours il a dit "saluer l’avancée des dossiers pendants devant la justice", tout en rappelant aux acteurs chargés de les vider que "la soif légitime de justice des Burkinabè reste intacte."

Chers internautes, si ce président nommé Roch Kaboré, digne fils de Bila Kaboré et sa clique ne tienne pas leurs paroles et leurs promesses, aucun lecteur du pays des hommes intègres ne s’aventura à voter en 2020 un enfariner menteur et trompeur. Ce qui a fait couler le navire de la famille Compaoré, ce sont les non respects des paroles et des promesses données. Et Roch Kaboré a ça dans sa mémoire.