Fonction publique : Une proposition de « mise à plat » des salaires
23 février 2018, 15:06, par Zangoté
Le fidèle lecteur n’est pas allé jusqu’au bout de sa logique. La France doit cesser d’être un modèle pour les pays sous développés comme le nôtre. C’est justement à cause d’elle que nous en sommes là ! Quand je lis l’exemple de grille salariale jointe, j’ai pitié de nous. En même temps ça nous permet de gesticuler moins : on ne se lève pas avec un BEPC en France pour aller transmettre le savoir aux élèves du primaire.
Je suis parfaitement d’accord pour la mise à plat des salaires et même s’il faut une loi référendaire pour ça il faut y aller. On ne devra plus permettre les grèves sauvages et les prises en otages arbitraires du service public. Si donc un syndicat provoque une grève - ce qui est son droit le plus absolu - que l’État fasse des retenus sur salaire non pas seulement pour le temps de grève mais également pour solder les conséquences financières de cette grève. Exemple : le syndicat des inspecteurs des impôts du fait de ses grèves régulières ou intempestives a fait perdre à l’État 200 milliards ; alors que l’État prélève les 200 milliards sur les salaires des grévistes jusqu’à extinction du manque à gagner et ce ne sera que justice.
Le fidèle lecteur n’est pas allé jusqu’au bout de sa logique. La France doit cesser d’être un modèle pour les pays sous développés comme le nôtre. C’est justement à cause d’elle que nous en sommes là ! Quand je lis l’exemple de grille salariale jointe, j’ai pitié de nous. En même temps ça nous permet de gesticuler moins : on ne se lève pas avec un BEPC en France pour aller transmettre le savoir aux élèves du primaire.
Je suis parfaitement d’accord pour la mise à plat des salaires et même s’il faut une loi référendaire pour ça il faut y aller. On ne devra plus permettre les grèves sauvages et les prises en otages arbitraires du service public. Si donc un syndicat provoque une grève - ce qui est son droit le plus absolu - que l’État fasse des retenus sur salaire non pas seulement pour le temps de grève mais également pour solder les conséquences financières de cette grève. Exemple : le syndicat des inspecteurs des impôts du fait de ses grèves régulières ou intempestives a fait perdre à l’État 200 milliards ; alors que l’État prélève les 200 milliards sur les salaires des grévistes jusqu’à extinction du manque à gagner et ce ne sera que justice.