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François Compaoré sort de son silence : « Quand le temps sera venu, nous rentrerons »

26 septembre 2017, 15:56, par Ka

Monsieur François compaoré ta sortie du trou à rats ne peut convaincre un peuple averti et qui est sur ses gardes. Pourquoi vouloir provoquer un peuple meurtri dans sa chaire par tes crimes ? Quelquefois je pense que fermer sa gueule a une valeur raisonnable, et tu feras mieux de la fermer pour que le peuple Burkinabé panse ses plaies à cause d’un diable né a Ziuniaré que tu es. ‘’’’’’’Je vais te rafraîchir ici la mémoire avant que tu te prépares à rentrer dans le pays dont tu as mis le feu avant de fuir : Rappelles-tu de tes trophées qui sont David Ouédraogo et Norbert Zongo et tant d’autres sous terre ? Le 13 décembre 1998 on découvre sur la route de Léo-Sapouy les quatre corps calcinés dans leur voiture, parmi ces corps, le valeureux journaliste Norbert Zongo, journaliste qui enquêtait sur la mort de David Ouédraogo ton Chauffeur que tu as fait torturé et tué gratuitement. Notre frère Norbert Zongo n’avait que 49 ans avec une trempe journalistique qui te dérangeait. Il a été tué par ce qu’il s’est permis de critiquer ton frère Blaise Compaoré en écrivant dans son journal ‘’’l’Indépendant, quelques jours avant son assassinat,’’’’ il écrivait ceux-ci : (Comment fera le président Blaise Compaoré pour s’imposer aux intellectuels qui appréhendent les dimensions de sa dictature et le drame qu’elle représente pour notre peuple ? Une seule solution s’impose à lui : Emprisonner, tuer, faire disparaître. Il n’y a pas d’autre alternative, monsieur le président est bel et bien reparti pour la violence, qui fera bientôt de nouveau des veuves et de nouveaux orphelins par dizaines.) En complicité avec l’infirmier chef d de l’infirmerie de la présidence a l’époque, que vous aviez payé, aujourd’hui les bourgeois sanguinaires de 2000, malgré son serment d’Hippocrate, a écrit sur le certificat du décès de ton chauffeur David Ouédraogo, ‘’’’décédé le 18 Janvier à 6h50 de sa maladie.’’’’ Apres vos crimes ont continué sur des innocents, jusqu’à votre fuite la queue sous les jambes le 31 Octobre 2014. Si tu n’as rien à te reprocher, Pourquoi tu as pris la fuite ? Quand tu viendras nous éclairé sur tes crimes, et payer tes actes devant la justice du nouveau Burkina, tu peux prétendre que ton cœur appartienne au pays des hommes intègres. En attendant tu la ferme, pour que le peuple Burkinabé t’oublie pour panser leurs plaies.


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