François Compaoré sort de son silence : « Quand le temps sera venu, nous rentrerons »

Je crois que le projet a été présenté sous ce nom et accepté comme tel par le partenaire.
Apparemment dans ces genres de situation il y a une démarche compliquée et sûrement couteuse a faire pour rebaptiser le projet,pour ne pas dire que c’est impossible de le faire.
En ne respectant pas les désidératas du donateur ,cela peut conduire à une dégradation des relations entre ce dernier et notre pays.