L’ acte de l’Etat sénégalais vient de conforter l’ONG Urgences Panafricaines dans sa lutte pour l’autonomie financière et économique de la zone franc. Une fois de plus, l’Etat sénégalais et ses pairs montrent la servitude légendaire que les responsables africains ont pour l’Etat français. A cette action, nous pouvons tirer trois enseignements politiques :
1°) Cet Etat et ses pairs servent plutôt les intérêts français que ceux de leurs concitoyens ;
2°) Ils sont sans orgueil et esprit patriotique, par conséquent ne se préoccupent aucunement de l’épanouissement des citoyens de la zone UEMOA ;
3°) Ils portent un affront à toute l’élite intellectuelle, à toute la nouvelle génération des économiste favorables à l’indépendance financière et économique de la zone UEMOA.
4°) Il y a lieu que les Etats africains soumettent la questions à leurs concitoyens à travers une voie référendaire. C’est possible ???
Enfin le ridicule est le suivant : si la France n’a pas d’intérêt dans le CFA, pourquoi développe-t-elle toute une stratégie pour son maintien à travers la mise place urgente d’un Conseil présidentiel ? A chacun son agneau. Qu’il soit gras ou chétif !
leFaso.net
L’ acte de l’Etat sénégalais vient de conforter l’ONG Urgences Panafricaines dans sa lutte pour l’autonomie financière et économique de la zone franc. Une fois de plus, l’Etat sénégalais et ses pairs montrent la servitude légendaire que les responsables africains ont pour l’Etat français. A cette action, nous pouvons tirer trois enseignements politiques :
1°) Cet Etat et ses pairs servent plutôt les intérêts français que ceux de leurs concitoyens ;
2°) Ils sont sans orgueil et esprit patriotique, par conséquent ne se préoccupent aucunement de l’épanouissement des citoyens de la zone UEMOA ;
3°) Ils portent un affront à toute l’élite intellectuelle, à toute la nouvelle génération des économiste favorables à l’indépendance financière et économique de la zone UEMOA.
4°) Il y a lieu que les Etats africains soumettent la questions à leurs concitoyens à travers une voie référendaire. C’est possible ???
Enfin le ridicule est le suivant : si la France n’a pas d’intérêt dans le CFA, pourquoi développe-t-elle toute une stratégie pour son maintien à travers la mise place urgente d’un Conseil présidentiel ? A chacun son agneau. Qu’il soit gras ou chétif !