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Mise en accusation des dignitaires du régime Compaoré : Arthur Kafando a rejoint la MACO à son tour

21 août 2015, 08:23, par ka

A Jeanne Debo intervenant 8, en Afrique c’est cette méthode comme ce qu’applique le CNT et sa justice de la haute cour qui peut faire avancer les pays : Tous les responsables d’un service administratif d’un Etat Africain se prend pour un Dieu en oubliant son rôle de servir le peuple : il est temps de donner des bons exemples a ces vermines, même si Kafando est votre amant. Oui tous dirigeants en Afrique est voleur par continuité d’un mode de corruption intolérable, ce que Thomas Sankara voulait éradiqué avec sa révolution inachevée. Pour un nouveau départ d’un pays comme l’a fait ADO en Cote d’Ivoire, il faut tout nettoyer avant de recommencer : Rappelez-vous des pompes d’Affi N’guessan et Aké ancien premier ministre de GBAGBO devant les caméras du monde entier dans les prisons du Nord de la Cote d’Ivoire : Ces leçons ont faites des hommes nouveaux, avec des bonnes idées politique et économique qui vont pour le peuple Ivoirien, et non un seul individu au gosier large. Affi ou Aké vous diront le contraire, ils vous diront que le CNT fait du bon travail pour que ces charognards qui ont volé, tué, réfléchissent deux fois avant de refaire la politique d’autruche dans un pays comme le Burkina dont 99% de la population n’a pas un bon repas par jour. Je félicite les anciens responsables du FPI qui ont compris le peuple Ivoirien et les réactions d’ADO et son équipe. Aujourd’hui si AFFI de FPI arrive sur le trône de la présidence Ivoirienne, son premier souci sera le peuple en sentant les odeurs des prisons et non son arrogance. Vous ne savez pas qu’une journée de vie de Blaise Compaoré dans une villa de Cocody représente 20 écoles au Burkina, ou 100.000 repas pour un peuple meurtri ? Honte a la Cote d’Ivoire qui protège un criminel et ses acolytes comme Gando, Badini et sa fille, qui sont partis avec la caisse d’un Etat pauvre comme le Burkina. Que le Burkina émerge ou pas, ces personnes payeront un jour donner un bon exemple aux autres. Le peuple Burkinabé est patient, mais impatient de voir les bons résultats.