Situation nationale : « Il n’y a pas de quoi s’inquiéter », selon une délégation de la CEDEAO au CDP

A tous ces abrutis descendants de CDR-brouettes ou vieux cdr-brouettes à moins d’être miliciens des OSC transitoires qui crient et écrivent point/barre,point/barre, je leur dis ceci : un président élu sur la base d’une élection arrangée ne pourra jamais se prévaloir de la nécessaire légitimité indispensable à la mise en oeuvre de son programme et ce n’est pas en s’appuyant sur Supper BARRY et sa police politique (gendarmerie) que dirige un certain Commandant OUEDRAOGO Alain Serge pour terroriser des dirigeants et militants de certains partis politiques, que le vainqueur du 11 octobre sera dans ces conditions PRÉSIDENT ÉLU POUR TOUS, faute de l’AVOIR ETE PAR TOUS.
Et si vous donnez pour morts ou pour minoritaires des partis, à quoi bon user encore de subterfuges contre eux, puisque selon vous leur sort est déjà scellé ? Regardez bien l’orchestration honteuse qui découle de l’annonce du CSC sur les campagnes déguisées ; c’est après que des partis ont pratiquement achevé leurs jamborees électorales à travers tout le pays et au moment où d’autres entament leurs rentrées, que subitement le CSC se rappelle à nos bons(?) souvenirs qu’il existe une loi anti-précampagne déguisée qui interdit les reportages sur les activités politiques. Hé bien, allons seulement. Une chose est de claironner confortablement installé derrière son écran, une autre est de pouvoir influer sur le choix politique du frère ou de l’ami a fortiori du groupe. Ne vous faîtes pas d’illusion, car personne encore moins la CEDEAO ne sera le déterminant sur ce qui va UNIR ou OPPOSER les Burkinabé ; tout le monde sait que les AUTRES attirent tout au plus notre attention mais qu’en dernière analyse il appartient aux Burkinabé de choisir entre la paix et la guerre. Les Américains, dont toute l’opinion a été témoin des parades de leur ambassadeur sur les ondes de nos radios et sur les écrans de nos télés nous ont reconnu notre souveraineté sinon nos souverainetés pour gérer nos intolérances et subséquemment nos conflits. Depuis lors, leur Ambassadeur se fait oublier, certain que lorsque l’incendie sera déclenché, nous irons, nos souverainetés en poche, quérir sa contribution afin que la paix revienne dans ce pays souverain du Sahel.