Coffret Archives d’Afrique Thomas Sankara : Blaise Compaoré n’a pas accepté témoigner
30 mai 2015, 10:20, par Konkona
Seulement, merci Alain. « Nos voleurs sont chez nous. Nos tueurs sont avec nous. Le 15 octobre, par exemple, il n’y avait aucun blanc au Conseil de l’Entente. Il est donc temps de prendre notre destin en main. La France-Afrique, le Colonialisme, la Traite négrière n’existent plus. Il faut seulement arrêter de taper dans les caisses de l’Etat », foi d’Alain Foka. Bravo fils digne de l’Afrique.
Le 26 mars 1983 à la place de la révolution, le président Capitaine Thomas SANKARA, disait :
Thom SANK : "Est ce que vous voulez que nous gardions dans notre administration des fonstionnaires pourris ?
Le Peuple : "Non"
Thom SANK : "est ce que vous voulez que nous gardions dans notre armée, des militaires pourris ?
Le peuple : "Non".
Thom SANK : "Alors, il faut les chasser"
Le Peuple : " Oui"
Thom SANK : "Nous les chasserons"
Le peuple : "Oui oui oui "
Thom SANK : " Cela va nous coûter la vie peut être mais nous sommes là pour oser et vous êtes là pour continuer la lutte coûte que coûte".
Vive le Capitaine Président Thomas SANKARA ; La patrie ou la mort nous vaincrons.
leFaso.net
Seulement, merci Alain. « Nos voleurs sont chez nous. Nos tueurs sont avec nous. Le 15 octobre, par exemple, il n’y avait aucun blanc au Conseil de l’Entente. Il est donc temps de prendre notre destin en main. La France-Afrique, le Colonialisme, la Traite négrière n’existent plus. Il faut seulement arrêter de taper dans les caisses de l’Etat », foi d’Alain Foka. Bravo fils digne de l’Afrique.
Le 26 mars 1983 à la place de la révolution, le président Capitaine Thomas SANKARA, disait :
Thom SANK : "Est ce que vous voulez que nous gardions dans notre administration des fonstionnaires pourris ?
Le Peuple : "Non"
Thom SANK : "est ce que vous voulez que nous gardions dans notre armée, des militaires pourris ?
Le peuple : "Non".
Thom SANK : "Alors, il faut les chasser"
Le Peuple : " Oui"
Thom SANK : "Nous les chasserons"
Le peuple : "Oui oui oui "
Thom SANK : " Cela va nous coûter la vie peut être mais nous sommes là pour oser et vous êtes là pour continuer la lutte coûte que coûte".
Vive le Capitaine Président Thomas SANKARA ; La patrie ou la mort nous vaincrons.