NAFA : « Il n’y a pas de plan B, Djibril Bassolé sera bel et bien candidat aux élections présidentielles d’octobre 2015 », dixit Mamadou Bénon

En politique rien est sûr. Ce que Allah prévoit pour le Faso comme Président, c’est ce qui sera fait. Ici nous passons notre temps à dire qui est présidentialble et qui ne l’est pas, mais Allah lui le sait. Donc, porter des mots qui frisent le respect ne sert à rien.Tous les partis politiques au Faso sont les mêmes. Pendant les élections, ils promettent monts et vallées à la population mais une fois aux affaires, le peuple est oublié. Donc ce qu’il faut faire s’est de sensibiliser la masse électorale sur le vrai programme concret, réaliste et réalisable pour le bonheur du peuple burkinabè. Nous crions alors qu’aucun parti n’a encore présenté son programme de développement. Or, il n’ y a pas plusieurs programmes de développement. Laisons les individus et demandons aux partis de nous donner leur programme. C’est à ce niveau qu’on verra qui vient pour se servir ou pour servir le peuple. On ne vote pas des individus mais le programme de développement pour notre bien être. Cessons de faire ou de tenir des langages de va t-en guerre. Faire la politique ce n’est pas se faire la guerre. Nous sommes tous les fils du Faso. Cependant, si quelqu’un possède des preuves contre X, qu’il saisisse la justice et le tour est joué. Mais ne nous lançons pas des flèches unitiles à travers des propos blessants. Dans tous les cas, nous voulions la paix et un Faso stable où tous ses fils doivent vivre ensemble. Le Faso ne peut pas jetter son fils parce qu’il est mauvais. Il le garde tout en comptant sur les bons fils pour emmener les mauvais sur le droit chemin. Il ne faut pas planter le décor de guerre électorial, comme cet adage qui dit que "la chèvre dit que ses côttes lui grattent, parce qu’elle voit le mur". Mes frères democrates, tous avec détermination, allons dans les urnes et faisons la différence pour un vrai changement.