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Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF

27 février 2015, 18:42, par Avocats Mangeurs de Charogne

(N.D.L.R. : L’avocat n’était pas si voleur, ne chargeant que 100$ pour un testament...)

L’autre jour une avocate raconte à un ami : « Je viens de terminer un casse-tête et ça ne m’a pris que cinq mois ».

« Cinq mois ? », son ami demande. « C’est pas mal long pour un casse-tête. »

« Pas du tout », explique l’avocate. « C’était écrit 6 à 12 ans sur la boîte. »

Un avocat se retrouve devant la Cour municipale dans le cadre d’une cause impliquant des billets de stationnement...

« Votre Honneur, ma cliente plaide coupable. Mais je demande votre clémence. Elle n’a pas les moyens de payer les amendes, vu qu’elle ne fait pas un gros salaire...

 Elle fait quoi dans la vie, votre cliente, Maître ?

 C’est ma secrétaire juridique ! »

Un reporter d’une chaîne de télé bien connue a effectué un excellent reportage sur une poursuite de plusieurs centaines de milliers de dollars, intentée par un simple citoyen bafoué dans ses droits par une grosse corporation. Voulant faire un suivi de l’affaire afin d’informer les téléspectateurs, il cherche à reprendre contact avec l’homme en question. Il finit par le retrouver sur le coin d’une rue, vêtu en haillons et quêtant pour gagner sa pitance. Éberlué, le reporter lui demande : « Mais, que vous est-il arrivé ?!? Avez-vous perdu votre cause ? » Et l’homme de lui répondre : « Oh non ! Nous avons gagné... »

Deux amis discutent ensemble...

« Tu sais, j’ai l’impression que tout ce dont mon avocat est intéressé, par rapport à ma cause, c’est de faire de l’argent sur mon dos.

 Ah oui ? Et qu’est-ce qui te fait croire ça ?

 Bien... Sur son dernier compte d’honoraires, il y avait entre autres ceci : « Pour m’être réveillé en pleine nuit et avoir pensé à votre dossier : 25 $ (...) Pour avoir marché sur le trottoir et, ayant cru que c’était vous de l’autre côté, avoir traversé la rue pour vous parler de votre cause : 50 $" »

Le juge de la Chambre de la famille dit au défendeur dans une cause de pension alimentaire : « Monsieur Tremblay, j’ai analysé toutes les données de cette cause très attentivement. En conséquence, j’ai décidé d’accorder à votre ex-épouse 775 $ par semaine. »
Sur ce, le défendeur lui réplique : « Comme c’est généreux de votre part, votre Honneur ! J’ai justement décidé de lui envoyé moi-même de l’argent, de temps à autre... »

Éthique et tac...

Un défendeur dans une poursuite civile impliquant des centaines de milliers de dollars dit à son avocat :

« Si je perds ce procès, je serai ruiné !

 La cause est maintenant en délibéré, répondit l’avocat. C’est dans les mains du juge...

 Mais y a-t-il quelque-chose à faire ?, rétorqua le défendeur. Je sais pas, moi, je pourrais envoyer une boîte de cigares au juge pour qu’il penche en ma faveur...

 ABSOLUMENT PAS ! Le juge Marsouin est très sévère en ce qui concerne l’éthique professionnelle. Il ne badine pas avec ces choses-là. Vous risquez de perdre votre cause et de m’envoyer en pâture au Syndic du Barreau ! Ne lui envoyez rien, ne lui parlez pas, n’essayez même pas de lui faire un clin d’oeil dans le stationnement du Palais de Justice ! Compris ? »

Quelques mois plus tard, le juge rendit jugement en faveur du défendeur. Tout heureux pour son client, l’avocat l’appela pour lui annoncer la bonne nouvelle et lui dit :

« Tiens, je vous l’avais dit que vous auriez gain de cause, hein ? Vous n’aviez pas besoin d’envoyer ces cigares au juge dont vous parliez...

 Oh, mais Maître, je les ai envoyés finalement !

 QUOI ?!? Vous avez fait ça ???

 Oui, mon cher, pis vous seriez mieux de reconnaître que c’est ça qui nous a fait gagner !

 Je comprends pas...

 Ben, c’est pourtant simple : j’ai envoyé les cigares, mais avec la carte d’affaires de l’avocat de la partie adverse ! »

Sur ce, l’avocat éclata de rire et s’exclama : « Mais vous êtes ABSOLUMENT G-É-N-I-A-L !!! »

Qu’arrive-t-il si on donne du Viagra à un avocat ?

Son ego se gonfle !

Qu’est-ce qu’on obtient si on enterre 100 avocats dans le sable jusqu’au cou ?

Pas assez de sable pour finir l’ouvrage ! (N.D.L.R. : variation autour d’un même thème... )

Un avocat de la Nouvelle-Orléans avait établi pour son client un dossier de demande de prêt immobilier.

Il lui était demandé de joindre le certificat de propriété du terrain qui servait de caution au prêt. Ce que fit l’avocat en remontant après plusieurs mois d’effort jusqu’en 1803. L’office de prêt au reçu du dossier écrivit à l’avocat pour le féliciter de son travail mais lui fit remarquer que le certificat ne remontait pas à l’origine et qu’il lui fallait pour délivrer le prêt un document antérieur.

Réponse de l’avocat : Comme doit le savoir un employé d’administration de l’état où se trouve la propriété en question, la Louisiane fut achetée à la France en 1803 date à laquelle remonte le certificat.

La France avait obtenu cette terre de l’Espagne dans un échange contre un domaine en Italie pour le Duc de Parme le beau-frère de Charles IV roi d’Espagne en 1801. L’Espagne avait pour sa part reçue ce territoire de Louis XV roi de France à la suite de la guerre de 7 ans pour éviter de le céder au roi George III lui aussi roi de France.

La France possédait ce territoire en ayant empiété sur le territoire que l’Espagne détenait par droit de découverte par un certain Christophe Colomb capitaine de navire appointé par la reine d’Espagne. La reine d’Espagne, très pieuse mais prudente s’était fait confirmé ses titres de possession sur ce domaine par le Pape, avant de vendre ses bijoux pour affréter des navires.

Or vous le savez, le Pape est le représentant sur terre de Jésus Christ, le fils de Dieu. Dieu comme chacun le sait ici a crée le monde et donc aussi la Louisiane et le petit bout de terrain qui vous occupe. ET MAINTENANT ! VOUS L’ATTRIBUEZ CE PRET !!!