Réaction du président du Faso à la situation nationale :« Il y a toujours un choix … »
13 octobre 2014, 11:58, par article 37
Il faut parler au Burkinabè, les yeux dans les yeux, par la presse locale avant que ce ne soit trop tard. Si le capitaine a peur de ses conviction, qu’il abandonne la modification de la constitution. J’espère qu’il comprendra que nous n’allons pas laisser inscrire les pages de notre histoire à partir de novembre 2015. Il a déjà écrit et effacer suffisamment de pages comme ça.
Il faut parler au Burkinabè, les yeux dans les yeux, par la presse locale avant que ce ne soit trop tard. Si le capitaine a peur de ses conviction, qu’il abandonne la modification de la constitution. J’espère qu’il comprendra que nous n’allons pas laisser inscrire les pages de notre histoire à partir de novembre 2015. Il a déjà écrit et effacer suffisamment de pages comme ça.