Chronique du Gouvernement : Journée nationale du souvenir 2014 : Envisager l’avenir sous le prisme de la cohésion sociale

Depuis 2003 l’année où la journée a été commémorée pour la première fois, il y a eu tellement d’injustice de la part du politique que cette journée n’a plus de sens. On dirait que le pardon doit être observé uniquement par la population et non par les dirigeants. Sinon comment comprendre qu’ils s’entêtent toujours à refuser à la veuve SANKARA de reconnaitre la tombe de son mari ? Ils doivent faire pardon et lui reconnaitre ce droit. Beaucoup de recommandations du collège des sages n’ont pas été respectées sous prétexte que le président n’est pas tenu par ces recommandations. Cet appel du Ministère des Droits humains doit être fait à l’endroit des gouvernants et en premier lieu le président car c’est à son nom et sous son autorité que ces dérives sont commises ; et si on demande pardon on doit en même temps changer de comportement sinon cela ne servira à rien.