Se nourrir au Burkina : Les secrets des habitants du Centre-Nord en période de crise
10 juillet 2013, 10:35, par Rakonré
Soit c’est l’étude qui est mal faite soit c’est le journaliste qui n’a rien compris. Je suis à Kaya mais j’ai du mal à comprendre comment les femmes sont une "catégorie socioprofessionnelle" à comparer avec les commerçants et les hauts cadres de l’administration et en plus elles s’en sortent comment ces femmes ? Elles font quoi pour avoir cette sécurité alimentaire quand on sait qu’elles vivent dans des familles qui sont exposées à l’insécurité alimentaire. En quoi être jeune marié à Nessemtenga permet d’être mieux lotis sur le plan alimentaire ? Il y alors urgence à revoir les variables et les indicateurs dans cette étude si je m’en tiens à ce que j’ai lu ici.
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Soit c’est l’étude qui est mal faite soit c’est le journaliste qui n’a rien compris. Je suis à Kaya mais j’ai du mal à comprendre comment les femmes sont une "catégorie socioprofessionnelle" à comparer avec les commerçants et les hauts cadres de l’administration et en plus elles s’en sortent comment ces femmes ? Elles font quoi pour avoir cette sécurité alimentaire quand on sait qu’elles vivent dans des familles qui sont exposées à l’insécurité alimentaire. En quoi être jeune marié à Nessemtenga permet d’être mieux lotis sur le plan alimentaire ? Il y alors urgence à revoir les variables et les indicateurs dans cette étude si je m’en tiens à ce que j’ai lu ici.