OUAHIGOUYA : Youmoré libéré et porté en triomphe par ses partisans

La situation vécue à Ouahigouya permet de tirer nombre de leçons sur l’état de la nation. Elle devait être le thême que le premier ministre se devait de developper devant notre auguste Assemblée au lieu de servir des thème cousus de mensonges.Tout devait tourner autour de "le pays va mal. En effet voici un procureur qui n’a pas compris qu’il es dans une région ou l’on s’exprime autrement sans pour autant donner un contenu conflictuel à ce qui est dit. Deuxièment voici un chef coutumier qui confond l’esprit du commis d’état qu’il était d’avec la fonction de chef qu’il est. Un chef garant des coutumes et traditions se doit de parler peu de se départir des sujets qui ne nécessitent pas son intervention.I doit comprendre que le Burkina est une République et non une monarchie. A ce titre en sortant du cadre de garant de la tradition pour celui du terrain republicain les humiliations qu’il connaitra le discrediteront pour toujours. Qu’il se rappelle des conditions du déces de Naba Tigré et il comprendra qu’a vouloir s’imposer on fini par payer le Prix.A la population de Ouahigouya qui veulent par cette occasion exprimer leur ras le bol sur la mal gouvernance de la province elle peut le faire par la voix des urnes au lieu de monnayer sa voix pour de l’argent. Car la destruction des biens appauvrit la région. Quant à l’Etat les signes avant coureur d’un futur clash du pays ne semblent pas préoccuper les Hommes du pouvoir pressés d’amasser le maximum d’argent à travers les sociétés écrans et des faux marchés d’offres . Le Burkina est un pays de savane et tout se sait. Blaise a intérêt à travailler à rétablir une situation ou la justice (dans tout le sens du mot) soit soit rétabli et l’Etat respecté.Aujourd’hui c’est la rue qui gouverne. Et le fait d’avoir démis un ministre pour des raisons qui aujourd’hui sont tout autre que la version offielle montre que nous allons droit au mur.Un pays laissé à lui même fait courir des risques et chasse les investissements alors que nous devons payer les dettes contractées auprès des institutions internationales.Aussi il est temps de revenir aux comportements et valeurs des voltaiques d’antant connus pour leur droitures et leur probité et que malheureusement des faux revolutionnaires aujourd’hui saprophytes ont détruits.Sauvons le Burkina.