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QUESTION DE L’HABITAT AU BURKINA : « La cherté d’un bien résulte de sa rareté »

20 mars 2012, 03:08

bel article. tout est dit et bien dit.
J’ajouterai que si les villas azimo étaient une politique de l’état comme sous la révolution (cité AnII, anIII, anIV et 1200), combien de fonctionnaires seraient proprio aujourd’hui ?
Mais c’est laissé entre les mains de la belle-mère nationale et les prix ne sont pas accessibles aux burkinabè moyens.
C’est encore redistribué au sein de la sphère politique.

Que diront nous des lotissements. Pendant les lotissements, chaque bonze du pouvoir, les DG, DAF, députés, ex ministres, que sais-je ont des parcelles positionnées parfois même sans avoir demandé. Le zèle des maires, et aussi pour avoir du soutien en cas de la découverte de leur magouille. Certains maires ont tellement de parcelles qu’ils construisent pour loger les serveuses de leurs multiples bars et boites de nuit acquis par la vente des parcelles.