Doulaye Corentin Ki, président de l’ASCUNA : « En Afrique noire traditionnelle, le chef est à la fois une autorité politique, administrative et morale »
20 juin 2011, 15:07, par Dima
Il n’est plus à la fonction publique burkinabé. Courage Monsieur Ki. Les mécanismes de soutien à la culture de chaque province ou région culturelle doivent être trouvés et mis en oeuvre.
Comment financer ce soutien en harmonie avec les choix de politique nationale culturelle du pays ? Aujourd’hui les sanna demain les bissano après les nankana ?
Il n’est plus à la fonction publique burkinabé. Courage Monsieur Ki. Les mécanismes de soutien à la culture de chaque province ou région culturelle doivent être trouvés et mis en oeuvre.
Comment financer ce soutien en harmonie avec les choix de politique nationale culturelle du pays ? Aujourd’hui les sanna demain les bissano après les nankana ?