Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
29 avril, 07:36, par Expert
Je crois que la publication n’est pas bien comprise par beaucoup.
Vous estimez que cet écrit jette les germes d’une division de notre société.
Moi je pense qu’on devrait réellement se pencher sur la remarque de notre chercheur SANOGO du moment où près de la moitié de nos intellectuels sont des arabophones.
N’est il pas plus avantageux pour le pays, la valorisation de la langue arabe afin de pouvoir mieux utiliser cette grande masse d’intellectuels arabophones ?
Je crois que la publication n’est pas bien comprise par beaucoup.
Vous estimez que cet écrit jette les germes d’une division de notre société.
Moi je pense qu’on devrait réellement se pencher sur la remarque de notre chercheur SANOGO du moment où près de la moitié de nos intellectuels sont des arabophones.
N’est il pas plus avantageux pour le pays, la valorisation de la langue arabe afin de pouvoir mieux utiliser cette grande masse d’intellectuels arabophones ?