Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
25 avril, 20:10, par SANKARA
Mais ce qui est bizarre c’est que tu dise que c’est malsain sans élaborer un argumentaire.
C’est le contraire de ce que l’auteur de l’article a fait.
Je ne vois pas en quoi un parleur de cette langue internationale n’ a pas le droit de s’interroger sur la raison pour laquelle elle n’est pas mentionné.
Lui il argumente mais ne dit pas malsain.
Mais toi tu n’argumente pas mais tu dis malsain.
Tu vois la différence entre vous deux ?
Mais ce qui est bizarre c’est que tu dise que c’est malsain sans élaborer un argumentaire.
C’est le contraire de ce que l’auteur de l’article a fait.
Je ne vois pas en quoi un parleur de cette langue internationale n’ a pas le droit de s’interroger sur la raison pour laquelle elle n’est pas mentionné.
Lui il argumente mais ne dit pas malsain.
Mais toi tu n’argumente pas mais tu dis malsain.
Tu vois la différence entre vous deux ?