Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
25 avril, 09:49, par YESWECAN
J’aurais applaudi si le chercheur avait voulu que nos langues soient mieux utilisées dans nos administrations au lieu de défendre la langue et l a culture d’un autre peuple.
Nos intellos nous perdent souvent et c’est dommage.
J’aurais applaudi si le chercheur avait voulu que nos langues soient mieux utilisées dans nos administrations au lieu de défendre la langue et l a culture d’un autre peuple.
Nos intellos nous perdent souvent et c’est dommage.