Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
24 avril, 20:27, par jeunedame seret
Ça commence les virements. Attention aux milieux des voies. Opinion tendancieuse. On ne peut pas accepter toutes les langues des autres. On n’a pas besoin d’arabe. On a besoin de paix.
Ça commence les virements. Attention aux milieux des voies. Opinion tendancieuse. On ne peut pas accepter toutes les langues des autres. On n’a pas besoin d’arabe. On a besoin de paix.