Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina : « Nous n’avons pas une armée républicaine, il faut créer cette armée », Hamidou Yonaba, conseiller technique du Centre parlementaire canadien
15 octobre 2020, 19:14, par
Mechtilde Guirma
« […], Hamidou Yonaba regrette que les projets de société des candidats à la présidentielle aient souvent l’apparence à « de la littérature
Pour lui, « on ne peut pas tout faire ; chaque candidat doit pouvoir dire quels sont les quatre domaines dans lesquels il axe son projet politique.
A ce sujet, l’une des quatre grandes réformes à entreprendre pour lancer le Burkina Faso sur le chantier de la démocratie solide reste la réforme de l’Armée : Nous n’avons pas une armée républicaine, il faut créer cette armée ».
En effet il me semble qu’au tout début de nos misères, un leader politique avait fait la proposition et même indiqué la stratégie et par anticipation. Il fut reçu par des injures grossières. Mais aujourd’hui que tout est rentré dans l’oubli (la mémoire de l’homme est si courte), ce n’est pas à moi de raviver les vieilles plaies, alors que nous sommes dans la fièvre des campagnes électorales et le refrain électoraliste de la réconciliation (dans sa styptique : V.J.R.). À moins que des copieurs-collés, tapis à quelque part, ne rebondissent et ne se jettent de nouveau sur cette pâture comme tombée tout droit du ciel pour agrémenter leur campagne.
« […], Hamidou Yonaba regrette que les projets de société des candidats à la présidentielle aient souvent l’apparence à « de la littérature
Pour lui, « on ne peut pas tout faire ; chaque candidat doit pouvoir dire quels sont les quatre domaines dans lesquels il axe son projet politique.
A ce sujet, l’une des quatre grandes réformes à entreprendre pour lancer le Burkina Faso sur le chantier de la démocratie solide reste la réforme de l’Armée : Nous n’avons pas une armée républicaine, il faut créer cette armée ».
En effet il me semble qu’au tout début de nos misères, un leader politique avait fait la proposition et même indiqué la stratégie et par anticipation. Il fut reçu par des injures grossières. Mais aujourd’hui que tout est rentré dans l’oubli (la mémoire de l’homme est si courte), ce n’est pas à moi de raviver les vieilles plaies, alors que nous sommes dans la fièvre des campagnes électorales et le refrain électoraliste de la réconciliation (dans sa styptique : V.J.R.). À moins que des copieurs-collés, tapis à quelque part, ne rebondissent et ne se jettent de nouveau sur cette pâture comme tombée tout droit du ciel pour agrémenter leur campagne.