Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Augmentation des besoins humanitaire au Burkina Faso : La France apporte son soutien au PAM
17 juillet 2020, 09:31, par
kwiliga
@ Vérité indiscutable
Mais bien sur, c’est exactement de ça dont on a besoin en ce moment : "qu’on nous apprenne à pêcher".
Puisque après 60 ans d’indépendance, nous avons été parfaitement incapables d’apprendre à pêcher par nous même, il faut espérer qu’aujourd’hui, quelque pédagogue halieutique, doté d’une âme généreuse, se dévoue à cette cause.
Bien entendu, comme il s’agit ici d’urgence humanitaire, il devra nous enseigner très rapidement, de peur que nous tombions inanimés durant la première leçon. Au vu des conditions désastreuses que vit notre pays, notamment les régions sahéliennes, il semble qu’il doive nous apprendre dans le lit d’une rivière asséchée, sans filet et sans canne à pêche.
Bref, tout cela ne devrait pas être une sinécure et les morts de faim devraient se compter par milliers.
Mais, comme vous dites, beaucoup d’autres burkinabè n’ont pas besoin de cela, car ils ont appris depuis belle lurette à profiter des poissons des uns et des autres, même si cela se fait de manière plus discrète et plus indirecte.
@ Vérité indiscutable
Mais bien sur, c’est exactement de ça dont on a besoin en ce moment : "qu’on nous apprenne à pêcher".
Puisque après 60 ans d’indépendance, nous avons été parfaitement incapables d’apprendre à pêcher par nous même, il faut espérer qu’aujourd’hui, quelque pédagogue halieutique, doté d’une âme généreuse, se dévoue à cette cause.
Bien entendu, comme il s’agit ici d’urgence humanitaire, il devra nous enseigner très rapidement, de peur que nous tombions inanimés durant la première leçon. Au vu des conditions désastreuses que vit notre pays, notamment les régions sahéliennes, il semble qu’il doive nous apprendre dans le lit d’une rivière asséchée, sans filet et sans canne à pêche.
Bref, tout cela ne devrait pas être une sinécure et les morts de faim devraient se compter par milliers.
Mais, comme vous dites, beaucoup d’autres burkinabè n’ont pas besoin de cela, car ils ont appris depuis belle lurette à profiter des poissons des uns et des autres, même si cela se fait de manière plus discrète et plus indirecte.