Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Filière karité : Le digital peut améliorer les rendements, selon une étude du Fonds d’équipement des Nations unies
29 mai 2020, 16:42, par
pitoyable
Depuis plus de 2 décennies, combien de milliards et de projets qui partent dans tous les sens ont été gaspillés dans cette filière karité avec une multitude d’acteurs (ONG, institutions internationales, PTF, experts internationaux en tout genre qui ne font que se succéder, etc.) ? et pour quel résultat ? Zéro et on n’avance pas. Pire, on recule ! car les parcs à karité sont vieillissant ! Une des tares majeures de cette filière est le désordre permanent des acteurs toujours très mal organisés depuis des décennies. La plus-value est toujours captée par les importateurs pour la production de cosmétiques vendus à prix d’or sur les marchés occidentaux ou revendus sur le marché burkinabè. Que faisons nous pour créer de la valeur ajoutée sur place en valorisant la production ? pas grand chose ! La seule innovation majeure est le karité greffé qui permet d’avoir des fruits et donc des noix très vite et, non attendre, 20 ans ou plus à partir d’un arbre planté ou issu d’une noix ! Donc, dans ce contexte, le digital n’apportera rien ! Il faut plus tôt s’attaquer aux problèmes évoquées et aux autres que je n’ai pas cité car la liste est longue ! Il est grand temps que les opérateurs nationaux s’organisent, investissent eux-mêmes dans la filière en mobilisant les ressources nationales (chercheurs, banques,...) et de dire STOP à ce grand cirque de la coopération dans cette filière où les projets se succèdent avec des experts nationaux, africains ou internationaux payés à prix d’or !
Depuis plus de 2 décennies, combien de milliards et de projets qui partent dans tous les sens ont été gaspillés dans cette filière karité avec une multitude d’acteurs (ONG, institutions internationales, PTF, experts internationaux en tout genre qui ne font que se succéder, etc.) ? et pour quel résultat ? Zéro et on n’avance pas. Pire, on recule ! car les parcs à karité sont vieillissant ! Une des tares majeures de cette filière est le désordre permanent des acteurs toujours très mal organisés depuis des décennies. La plus-value est toujours captée par les importateurs pour la production de cosmétiques vendus à prix d’or sur les marchés occidentaux ou revendus sur le marché burkinabè. Que faisons nous pour créer de la valeur ajoutée sur place en valorisant la production ? pas grand chose ! La seule innovation majeure est le karité greffé qui permet d’avoir des fruits et donc des noix très vite et, non attendre, 20 ans ou plus à partir d’un arbre planté ou issu d’une noix ! Donc, dans ce contexte, le digital n’apportera rien ! Il faut plus tôt s’attaquer aux problèmes évoquées et aux autres que je n’ai pas cité car la liste est longue ! Il est grand temps que les opérateurs nationaux s’organisent, investissent eux-mêmes dans la filière en mobilisant les ressources nationales (chercheurs, banques,...) et de dire STOP à ce grand cirque de la coopération dans cette filière où les projets se succèdent avec des experts nationaux, africains ou internationaux payés à prix d’or !