Présumés terroristes morts à Fada N’Gourma : « Tous les douze ont été exécutés de manière systématique », confie le parent d’une victime

Pour être réalistes, il faut que les acteurs de ces structures de désordres reviennent sur terre et aller tenir un langage de vérité à leurs parents pour qu’ils arrêtent leurs bêtises. C’est en cela que vous leur rendrez service et partant, à toute la nation entière.
Au stade de la lutte actuelle contre le terrorisme, les forces de défenses sont contraintes de passer à la vitesse supérieure dans les zones opérationnelles. Les auteurs, coauteurs et complices du terrorisme doivent être purement et simplement mis hors d’état de nuire, c’est à dire, anéantis.
Les bonnes personnes se trouvent dans toutes les ethnies tout comme les mauvaises et même très mauvaises s’en trouvent également.
Cependant, sur les théâtres des opérations, la triste réalité est là et nos forces feront avec le terrain qui commande le combat. Nous sommes en guerre, donc face à des ennemis qui sont les terroristes de toutes ethnies et nationalités et non face à des adversaires. Nous avons trop enterré nos hommes du fait de notre passivité face aux terroristes dont beaucoup sont des Burkinabè. De ce fait, leur protecteurs de tous rangs, fonctions ou classes sociales seront également identifiés et traités de façon appropriée. Il y a des structures dites de société civile ou d’entraide qui sont pire que le terrorisme. Il faut que le désordre s’arrête. Evitons de confondre Etat de droit et anarchie, incivisme et malhonnêteté.
Les mossis, les Bobos, les Bwabwas, les Samos, les Peuls, Sénoufo, ect...ayant choisi d’être terroristes, sont invités à abandonner le terrorisme car, ceux qui y ont conseillé sont des délinquants criminels qui ne méritent pas la qualité de Burkinabè.