Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Covid-19 au Burkina : Des enseignants proposent un modèle numérique de prédiction
1er avril 2020, 10:05, par
wsm77
Bravo aux auteurs pour cette belle étude qui nous montre ce qui aurait pu arriver si aucune mesure n’avait été prise ici au Burkina Faso, pour limiter la propagation du virus. Fort heureusement, je pense que nous n’irons pas vers ce scénario catastrophe.
Je suis impatient de voir ce que les prochains modèles des auteurs vont donner. Eventuellement, ils pourraient regarder du côté "Machine learning" ou "Deep learning", comme l’a suggéré l’internaute du Canada (Abou Sawadogo).
Toutefois, je me demande si les taux (bêta et lambda) ne devraient pas en eux-mêmes être considérés comme étant fonction du temps ? Car étant au début de l’épidémie ici au Burkina Faso, il est peut-être hâtif de dresser des "taux moyens" (quoique basés sur une analyse statistique solide). En se basant sur des nombres plus grands (donc malheureusement plus de cas d’infection), on pourrait à mon sens tomber sur des taux "plus stables".
Dans tous les cas, toutes mes félicitations ! Et merci aussi à Sidpawalemdé Sebgo pour avoir souligné la nécessité de prendre en compte les déterminants sociaux. Maintenant, avons nous assez de recul pour suivre assez de variables dans ce domaine particulier, afin d’alimenter assez vite un modèle (le décideur attend !) ?
Bravo aux auteurs pour cette belle étude qui nous montre ce qui aurait pu arriver si aucune mesure n’avait été prise ici au Burkina Faso, pour limiter la propagation du virus. Fort heureusement, je pense que nous n’irons pas vers ce scénario catastrophe.
Je suis impatient de voir ce que les prochains modèles des auteurs vont donner. Eventuellement, ils pourraient regarder du côté "Machine learning" ou "Deep learning", comme l’a suggéré l’internaute du Canada (Abou Sawadogo).
Toutefois, je me demande si les taux (bêta et lambda) ne devraient pas en eux-mêmes être considérés comme étant fonction du temps ? Car étant au début de l’épidémie ici au Burkina Faso, il est peut-être hâtif de dresser des "taux moyens" (quoique basés sur une analyse statistique solide). En se basant sur des nombres plus grands (donc malheureusement plus de cas d’infection), on pourrait à mon sens tomber sur des taux "plus stables".
Dans tous les cas, toutes mes félicitations ! Et merci aussi à Sidpawalemdé Sebgo pour avoir souligné la nécessité de prendre en compte les déterminants sociaux. Maintenant, avons nous assez de recul pour suivre assez de variables dans ce domaine particulier, afin d’alimenter assez vite un modèle (le décideur attend !) ?