Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Massacre de peuls à Barga : Le collectif contre l’impunité accuse l’Etat de complicité
15 mars 2020, 14:48, par
Le Vigilent
C’est quand même étonnant que les gens du CISC et leur avocat ne nous disent pas depuis quand des Kogleweegos sont équipés d’armes de guerre ; et surtout l’origine de ces armes de guerre. A la place des gens du CISC, et surtout de l’homme de droit qu’est leur avocat, je me serais posé beaucoup de questions avant de me lancer dans des affirmations qui pourraient être démenties par des enquêtes approfondies. Et puis, se contenter de condamner des Kogleweogos sans parler de celui où ceux qui leur ont fourni les armes de guerre, armes que l’on ne vent pas à tout le monde, c’est faire preuve de légèreté. De plus, les victimes, rescapés et témoins ont rapporté que les tueries ont eu lieu dans trois villages alors que les événements se sont produits dans deux villages.
Sur la base des déclarations des victimes, des rescapés et des témoins, telles que répétées par le CISC et leur avocat, l’on ne peut parler que « d’individus armés non identifiés ». En effet, est-il vérifié que ce sont toutes les personnes membres du Kogleweogo de la zone de Titao qui ont participé au massacre ? Qu’attend le CISC pour poser plante contre X et au moins les personnes formellement identifiées par les victimes, les rescapés et les témoins du massacres ? Peut-être le CISC a-t-il lui même quelques doutes sur les informations reçues des victimes, des rescapés et des témoins !?
Je rejoins l’internaute précédent qui se demande pourquoi les assaillants ne seraient- ils pas en fait des individus vêtus de tenues kogleweogos, comme on en a vus qui se sont parés de tenues de nos FDS pour tromper la vigilance et aller commettre des massacres dans des marches.
Et puis, conclure que les assaillants ne sauraient être de personnes appartenant aux groupes des « individus armés non identifiés », sous prétexte que lesdits groupes ne s’attaquent jamais aux peulhs, cela veut tout dire quant à l’idéologie défendue par les animateurs du CISC.
C’est quand même étonnant que les gens du CISC et leur avocat ne nous disent pas depuis quand des Kogleweegos sont équipés d’armes de guerre ; et surtout l’origine de ces armes de guerre. A la place des gens du CISC, et surtout de l’homme de droit qu’est leur avocat, je me serais posé beaucoup de questions avant de me lancer dans des affirmations qui pourraient être démenties par des enquêtes approfondies. Et puis, se contenter de condamner des Kogleweogos sans parler de celui où ceux qui leur ont fourni les armes de guerre, armes que l’on ne vent pas à tout le monde, c’est faire preuve de légèreté. De plus, les victimes, rescapés et témoins ont rapporté que les tueries ont eu lieu dans trois villages alors que les événements se sont produits dans deux villages.
Sur la base des déclarations des victimes, des rescapés et des témoins, telles que répétées par le CISC et leur avocat, l’on ne peut parler que « d’individus armés non identifiés ». En effet, est-il vérifié que ce sont toutes les personnes membres du Kogleweogo de la zone de Titao qui ont participé au massacre ? Qu’attend le CISC pour poser plante contre X et au moins les personnes formellement identifiées par les victimes, les rescapés et les témoins du massacres ? Peut-être le CISC a-t-il lui même quelques doutes sur les informations reçues des victimes, des rescapés et des témoins !?
Je rejoins l’internaute précédent qui se demande pourquoi les assaillants ne seraient- ils pas en fait des individus vêtus de tenues kogleweogos, comme on en a vus qui se sont parés de tenues de nos FDS pour tromper la vigilance et aller commettre des massacres dans des marches.
Et puis, conclure que les assaillants ne sauraient être de personnes appartenant aux groupes des « individus armés non identifiés », sous prétexte que lesdits groupes ne s’attaquent jamais aux peulhs, cela veut tout dire quant à l’idéologie défendue par les animateurs du CISC.