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Présidentielle de 2020 : Ça trépigne au CDP…, rupture entre Eddie Komboïgo et Blaise Compaoré ?

27 février 2020, 14:03, par Ka

Tout d’abords je remercie a notre honorable Webmaster de nous permettre avec la critique fondée de mon ami et promo Kôrô Yamyélé de se régaler de l’histoire de notre marigot boueuse qui est le couloir de notre politique, dont Ka connait par cœur et aussi avec tant de jeunes cadres des partis politique des années 1980 qui le savent.

Merci mon ami Kôrô Yamyélé pour cet historique limpide qui nourrira notre jeunesse qui n’a pas connu le démarrage de notre jeune démocratie en gestation après l’assassinat du visionnaire Thomas Sankara. Merci mon ami de remuer des bons souvenirs avec un visionnaire qui était notre honorable Clément Oumarou Ouédraogo un homme avec un courage dont je n’aurais jamais été capable.

Je confirme : ‘’’’Notre homme de la caisse de la péréquation devenu le maire populaire de la capitale Ouagadougou connu par le monde entier par ce qu’il se levait a 4heure du matin surveiller ses balayeuses pour que la ville soit propre, cet homme qui est Simon Compaoré, fait partie sans qu’on le sache un témoin de l’histoire récente de notre pays.’’’’

Oui mon ami Kôrô Yamyélé, c’est ce que nous relatons innocemment sans pudeur qu’autour de nous les hommes politiques se réveillent et sont de plus en plus dans l’élan démocratique et la défense des convictions personnelles.

Je confirme que le feu Saif Diallo fus un homme stratège : Ce commis planton de madame Juliette Bonkoungou première chef de cabinet du président Blaise Compaoré a su grandir en baobab politique, mais terrasser par un petit frère du président dont nous avons connu en P50 qui venait à nos bureaux a le zone indus- de Ghoughin, nous quémander quelques sous pour son essence. Mais la revanche de notre baobab politique fut brutale et payante après son retour de Vienne : La preuve est que la famille Compaoré a compris que quand on commence mal, on finit mal. Car, un en exil forcé au bords de la Lagune Ebrié qui négocie son retour sans la justice, et un a Paris qui aime son pays mais ne peut pas rentrer comme il veut sans passer par la justice.
Sans parti pris, je dis à la jeunesse Burkinabé de réfléchir avant d’agir en remontant l’histoire récente de notre pays et représentons-nous ce pays sous la coupole du CDP et sa clique de 205 a 2014 : Qu’aurions-nous vécu sous ces vendeurs d’illusions, dans un cas ou un autre ? Au-delà de la brutalité de leur départ du pouvoir, il y a une leçon à tirer : quand on commence mal, on finit mal.

Notre honorable C. O. Ouédraogo tuer en accident de voiture pourtant une grenade a fait l’affaire, après chaque réunion de notre parti, il reprenait la phrase mythique du père fondateur de la Cote d’Ivoire qui disait que seuls les imbéciles ne changeront jamais. De nos jours les dérives tribalisme gagne du terrain avec des cadres politiques qui ne connaissent pas la réalité de leur pays. Et les terroristes déguisés en profitent. Et le pouvoir tremble. Que Dieu nous vienne en aide.


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