Foncier au Burkina : Les vérités du ministre de l’Urbanisme, Maurice Dieudonné Bonanet
18 janvier 2020, 07:37, par
TANGA
Quand on parle de taxes sur le foncier, il faut se mettre en tête que l’on demande à des pauvres de payer pour les biens que les ont légués leurs parents.
Un villageois sera obligé de vendre ces terres cultivables à défaut de paiement. Déjà avec sa daba, il ne s’en sort pas, maintenant on lui dit de vendre et d’aller louer pour cultiver et pour dormir. Après une seule saison, il se retrouvera clochard si non fou.
Il faut seulement que l’État décrète la fin des lotissements et achat sauvages. L’État seul a ces plan d’urbanisation.
On peut aussi faire comme ailleurs. Celui qui a les reins solides pour travailler X hectare va négocier avec les propriétaires. Il cultive, récolte et se barre.
Si non, nous ne finirons jamais avec les problèmes
Quand on parle de taxes sur le foncier, il faut se mettre en tête que l’on demande à des pauvres de payer pour les biens que les ont légués leurs parents.
Un villageois sera obligé de vendre ces terres cultivables à défaut de paiement. Déjà avec sa daba, il ne s’en sort pas, maintenant on lui dit de vendre et d’aller louer pour cultiver et pour dormir. Après une seule saison, il se retrouvera clochard si non fou.
Il faut seulement que l’État décrète la fin des lotissements et achat sauvages. L’État seul a ces plan d’urbanisation.
On peut aussi faire comme ailleurs. Celui qui a les reins solides pour travailler X hectare va négocier avec les propriétaires. Il cultive, récolte et se barre.
Si non, nous ne finirons jamais avec les problèmes