Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Demande d’audition de Simon Compaoré : Les partis de la majorité répondent à Eddie Komboïgo
22 novembre 2019, 15:17, par
Réconciliation Nationale
Depuis janvier 2016, on note que trois ministres de la Défense (y compris le Président du Faso lui-même) et trois ministres de la Sécurité se sont succédé sans qu’il n’y ait le moindre indice d’une amélioration de la situation. En dépit de déclarations péremptoires qui ont accompagné leur arrivée aux affaires, tout ce beau monde a étalé une incompétence notoire et une incapacité à nous faire voir autre chose qu’une lente descente aux enfers du pays.
Là où les Burkinabè attendaient une amélioration, ils ont vu une dégradation constante.
Il est important que cet échec soit souligné et admis, avant même de parler d’autre chose. Et les supporters du régime doivent l’admettre. Or, il s’en trouve qui, par ignorance ou par malhonnêteté politique, cherchent à semer la confusion, soit en voulant trouver des excuses, soit en voulant parler d’une responsabilité commune à l’opposition et au pouvoir.
Pour expliquer ou excuser leur échec, le pouvoir du MPP et ses supporters aiment à nous dire soit que c’est l’ancien régime qui leur met les bâtons dans les roues, soit que le phénomène du terrorisme est mondial et que le Burkina Faso n’est pas le seul pays touché.
Depuis janvier 2016, on note que trois ministres de la Défense (y compris le Président du Faso lui-même) et trois ministres de la Sécurité se sont succédé sans qu’il n’y ait le moindre indice d’une amélioration de la situation. En dépit de déclarations péremptoires qui ont accompagné leur arrivée aux affaires, tout ce beau monde a étalé une incompétence notoire et une incapacité à nous faire voir autre chose qu’une lente descente aux enfers du pays.
Là où les Burkinabè attendaient une amélioration, ils ont vu une dégradation constante.
Il est important que cet échec soit souligné et admis, avant même de parler d’autre chose. Et les supporters du régime doivent l’admettre. Or, il s’en trouve qui, par ignorance ou par malhonnêteté politique, cherchent à semer la confusion, soit en voulant trouver des excuses, soit en voulant parler d’une responsabilité commune à l’opposition et au pouvoir.
Pour expliquer ou excuser leur échec, le pouvoir du MPP et ses supporters aiment à nous dire soit que c’est l’ancien régime qui leur met les bâtons dans les roues, soit que le phénomène du terrorisme est mondial et que le Burkina Faso n’est pas le seul pays touché.