Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Nations-Unies : La Burkinabè Rosine Coulibaly nommée représentante spéciale pour la Guinée-Bissau
30 juillet 2019, 11:22, par
gongoni
Armel bien dit . Effectivement le Burkina Faso est devenu un bien privé que l’on utilise au profit d’ amis ,de parents , de relations d’affaires . Compétence ,expérience dans la gestion des affaires publiques ,intégrité ne veulent plus rien dire .Plusieurs fois les nominations de complaisance basées sur l’amicalisme , la camaraderie politique la parenté ,le régionalisme ,l’ethnicisme ont été maintes dénoncées par des hommes de bonne foi ,mais tout cela s’est avérée comme une prêche dans le désert . Chaque ministre ,chaque président d’institution, chaque DG gèrent sa structure comme le champ de son père . Même des règles de nomination des DG des établissements publics et sociétés d’Etat par appel à candidatures édictées par des textes règlementaires sont bafouées sous divers prétextes aussi fallacieux les uns que les autres .
Dans ces conditions ,il ne faut pas s’étonner que de plus en plus ? les cadres burkinabè cherchent ’à aller monnayer leurs compétences à l’international . Après tout ,nul n’est prophète chez soi.
Armel bien dit . Effectivement le Burkina Faso est devenu un bien privé que l’on utilise au profit d’ amis ,de parents , de relations d’affaires . Compétence ,expérience dans la gestion des affaires publiques ,intégrité ne veulent plus rien dire .Plusieurs fois les nominations de complaisance basées sur l’amicalisme , la camaraderie politique la parenté ,le régionalisme ,l’ethnicisme ont été maintes dénoncées par des hommes de bonne foi ,mais tout cela s’est avérée comme une prêche dans le désert . Chaque ministre ,chaque président d’institution, chaque DG gèrent sa structure comme le champ de son père . Même des règles de nomination des DG des établissements publics et sociétés d’Etat par appel à candidatures édictées par des textes règlementaires sont bafouées sous divers prétextes aussi fallacieux les uns que les autres .
Dans ces conditions ,il ne faut pas s’étonner que de plus en plus ? les cadres burkinabè cherchent ’à aller monnayer leurs compétences à l’international . Après tout ,nul n’est prophète chez soi.