Procès du putsch : Le Parquet militaire requiert la prison à vie pour les généraux Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé

Bravo ! Je confirme que le Burkina à tourner la page des jugements expéditifs : Avec le premier teste des condamnations de nos militaires voleurs d’armes pour sauver les généraux, les juges militaires viennent de confirmer leur crédibilité au peuple assoiffé de la vraie justice et que dans l’avenir le droit sera dit pour toutes et tous au Burkina Faso.

Même si les avocats des victimes ne sont pas allé en guerre contre les accusés, le mot clé de maître Hervé Kam à travers sa belle plaidoirie en disant à la fin : ‘’’Monsieur le président, dites le droit et laisser la réconciliation aux politiciens a suffi.’’’

Et si je reconfirme que les belles plaidoiries intelligemment faites par les trois avocats des victimes maître Farama, Yanogo et Kam, c’est qu’ils savaient que malgré les 80% des mensonges que les supposés accusés ont utilisés pour sauver leur peau, il y a des infractions exceptions comme les affaires d’atteinte à la sureté de l’état dont la présomption d’innocence est limitée : C’est pourquoi les avocats au lieu d’aller en guerre inutilement avec les accusés, ont dit au président de dire le droit, sachant que l’infraction atteinte à la sureté de l’état est sévèrement sanctionné jusqu’à la peine de mort, comme Blaise Compaoré et Diendéré Gilbert ont utilisé pour fusiller a la sauvette leurs ferres d’armes Lingani et Zongo. Mais aujourd’hui, la peine de mort est abolie. Avec ces supposés condamnations en attendant le jugement finale, disons Bravo aux juges militaires et les avocats de la défense, car le droit a été dit.