Prytanée Militaire de Kadiogo : Résultats du concours d’entrée en classe de 6ème

Entièrement d’accord avec Le Roi. C’est un phénomène que l’on observe depuis quelques années. Le "transfert" d’un certain "vécu" ou de certains "messages" dans les prénoms des enfants prend des proportions de plus en plus étonnantes. Un quidam de ma famille, qui ne supportait pas les conseils ou les reproches de membres de la famille, a baptisé son enfant (en langue locale) "laissez-moi respirer" ... Un autre, qui se voyait reprocher son existence dissolue, a donné comme prénom à son enfant "qui n’a pas de relations sexuelles ?" Je vous ai fait l’économie du terme très cru qu’il a utilisé ! Et, bien sûr, un prénom unique ne suffit plus ; il en faut désormais, au minimum, trois ou quatre. Encore une de ces modes ...