Grève du SYNTSHA : « Que je sois au service ou non, des gens continuent de mourir », Dr Abou Dao, médecin spécialisé dans le traitement des cancers

bonjour a tout le Burkina Faso que nous aimons tant.
En lisant les differents intervenants, ils ne font que relater ce que nous populations coonstatons sur le terrain. c’est vraiment dommage et les plus hautes autorités doivent prendre des mesures urgents pour pallier a la situation car ca urge.
je suis parfaitement d’accord pour de meilleures conditions materielles et salariale pour nos braves travailleurs de la santé.
Il est aussi vrai qu’au Burkina seule des actions fortes dans les revendications payent. Mais voici ce que je condamne :
1- revendiquer sans un minimum de service. c’est un crime
2- les reactifs, quand l’Etat fait des efforts pour les mettre à la dispositions des structures sanitaires, ces memes reactifs sont detournés par vous premiers responsables de ces memes services au profit de vos cliniques privées.
3- Certains appareils dans les hopitaux publics sont rudoyer expressement sans aucun egard dans la manipulation et l’entretien, si on ne les met pas expresement en panne pour orienter les malades dans vos memes clinique. la egalement c’est un crime, mais faute de preuve on accuse toujours le Gouvernement.
4- Dans un Hopiltal public tant que vous ne connaissez pas un travailleur de la boite, ou que vous ne vous approcher pas d’un des leurs comme il se doit, vous ne pouvez pas avoir un traitement diligent POURQUOI ?
4- Aucune notion d’une bonne gestion de la chose publique.
5- il faut souvent des semaines pour avoir un RDV avec un medecin. ce temps permet facilement au malade de rejoindre ses aieux. vous ayez pitié de nous population. soyez disponibles chers medecins. pas uniquement dans vos cliniques.
Maintenant par annalogie :
certains ont pris en otage le pays comme :
 la justice
 la securité
 les journalistes
 Pire les agents du MINEFID qui se sont vus occtroyer des sommes colossales cadeau pour des années lumieres obligeant le Gouvernement a abdiquer par rapports a ses premiers engagements.
Pourquoi maintenant au tour des agents de la santé on tourne au ralenti pour les satisfaire. c’est leur unique arme de pression qu’ils utilisent cela aussi a juste titre.
pour une question d’equité et de justice pour tous trouver la solution a nos braves travailleurs de la santé pour le bien de notre cher Faso a tous.
enfin, regulariser la situation salariale des agents de la santé sortie des ecoles de formation depuis pres d’une année et qui jusqu’a present trainent a etre retablis dans leurs droit.
paix au Burkina. que Dieu benisse notre chere nation.

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