Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Bobo-Dioulasso : La SONATUR lance son opération de vente des parcelles
16 avril 2019, 07:11, par
Kpièrou
Objectivement ce n’est pas une telle politique d’urbanisation qui va permettre au citoyen moyen de nos villes de se loger. D’après les données fournies par l’article, la parcelle est entre 3 859 000 francs cfa et 29 540 000 francs cfa puis il faudra maintenant le mettre en valeur. Quel le citoyen moyen qui dispose de ces montants ? Cette manière de faire est une forme déguisée de fournir des parcelles aux grands commerçants et à ceux qui ont les moyens de poursuivre la spéculation sur le foncier. Voici la première observation.
La deuxième observation est que chaque famille burkinabè ne saurait disposer d’une parcelle. Il faut arrêter l’extension en longueur et en largeur de nos villes pour construire en hauteur en apprenant à nos citoyens à vivre dans une ville. Les anciens quartiers peuvent être revus et avec l’aide des sociétés immobilières, construits en HLM où les propriétaires de parcelles peuvent bénéficier de 2 ou 3 appartements et les autres à la gestion (vente ou location) des sociétés immobilières.
Enfin pourquoi les gens viennent dans les grandes villes : si les petites localités disposent des infrastructures (lumière, eau et aménagements, espaces aménagés pour emploi : champs et jardins), l’exode rural sera amoindri.
Objectivement ce n’est pas une telle politique d’urbanisation qui va permettre au citoyen moyen de nos villes de se loger. D’après les données fournies par l’article, la parcelle est entre 3 859 000 francs cfa et 29 540 000 francs cfa puis il faudra maintenant le mettre en valeur. Quel le citoyen moyen qui dispose de ces montants ? Cette manière de faire est une forme déguisée de fournir des parcelles aux grands commerçants et à ceux qui ont les moyens de poursuivre la spéculation sur le foncier. Voici la première observation.
La deuxième observation est que chaque famille burkinabè ne saurait disposer d’une parcelle. Il faut arrêter l’extension en longueur et en largeur de nos villes pour construire en hauteur en apprenant à nos citoyens à vivre dans une ville. Les anciens quartiers peuvent être revus et avec l’aide des sociétés immobilières, construits en HLM où les propriétaires de parcelles peuvent bénéficier de 2 ou 3 appartements et les autres à la gestion (vente ou location) des sociétés immobilières.
Enfin pourquoi les gens viennent dans les grandes villes : si les petites localités disposent des infrastructures (lumière, eau et aménagements, espaces aménagés pour emploi : champs et jardins), l’exode rural sera amoindri.