Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Affaires : Crise ouverte entre Abdoul Service et IB Bank
15 avril 2019, 12:53, par
MAXWELL
Cette histoire défraye la chronique depuis quelques mois et ce n’est pas normal. En raison du secret bancaire, cette affaire ne devrait pas se trouver ni se régler sur la place publique. IB Bank devrait apprendre à mieux sécuriser l’octroi de crédit et AS devrait s’attacher les services de conseils très avertis sur les questions bancaires. Les 2 parties gagneraient à traiter le litige à l’amiable car comme on dit : un mauvais arrangement vaut mieux qu’un bon procès. Et puis en affaire, il ne faut jamais dire jamais. Ils n’ont qu’à essayer de s’entendre et repartir sur de nouvelles bases. Même si le crédit était de 1000F, cela a permis à AS de travailler avec, de fructifier pour que cela devienne 1500 et reverser 250F à la Banque sous forme d’intérêt. Le montant étant de 5 milliards, imaginez ce que chaque partie a pu engranger. Si ces 2 sont de vrais business men, l’un doit se dire que ce ne sont pas toutes les banques qui peuvent me financer à hauteur de 5 milliards, tandis que l’autre doit se dire que les clients qui peuvent me permettre d’encaisser des intérêts sur 5 milliards ne courent pas les rues. Au Burkina, on a pris l’habitude de traiter des faux problèmes à la place de ce qui peut nous faire avancer et c’est dommage.
Cette histoire défraye la chronique depuis quelques mois et ce n’est pas normal. En raison du secret bancaire, cette affaire ne devrait pas se trouver ni se régler sur la place publique. IB Bank devrait apprendre à mieux sécuriser l’octroi de crédit et AS devrait s’attacher les services de conseils très avertis sur les questions bancaires. Les 2 parties gagneraient à traiter le litige à l’amiable car comme on dit : un mauvais arrangement vaut mieux qu’un bon procès. Et puis en affaire, il ne faut jamais dire jamais. Ils n’ont qu’à essayer de s’entendre et repartir sur de nouvelles bases. Même si le crédit était de 1000F, cela a permis à AS de travailler avec, de fructifier pour que cela devienne 1500 et reverser 250F à la Banque sous forme d’intérêt. Le montant étant de 5 milliards, imaginez ce que chaque partie a pu engranger. Si ces 2 sont de vrais business men, l’un doit se dire que ce ne sont pas toutes les banques qui peuvent me financer à hauteur de 5 milliards, tandis que l’autre doit se dire que les clients qui peuvent me permettre d’encaisser des intérêts sur 5 milliards ne courent pas les rues. Au Burkina, on a pris l’habitude de traiter des faux problèmes à la place de ce qui peut nous faire avancer et c’est dommage.